Vassili Sourikov peint La Boyarine Morozova en 1887 où il illustre l'arrestation de Feodosia Morozova par les partisans du patriarche de Moscou, Nikon. En signe de défi, elle lève deux doigts se référant au différend entre les vieux-croyants et les partisans du patriarche Nikon au sujet de la bonne façon de se signer, une des réformes de Nikon étant de faire le signe de croix avec trois doigts au lieu de deux précédemment.
La Boyarine Morozova (1887)
Galerie Tretiakov, Moscou