« Les rochers par lesquels l'art gothique suggère conventionnellement un site sauvage et désertique, sont présents. Comme d'aucuns l'ont remarqué, ces pics rocheux qui vont devenir, chez Patinier, indissociables de l'évocation d'un paysage ressemblent à ceux qu'il a pu voir dans la région dinantaise […] Mais il va de soi que les paysages représentés ne sont jamais dans leur ensemble la transposition de sites existants. L'espace tel que le conçoit Patinier est d'un autre ordre que celui qui s'offre au spectateur dans la réalité. »
— Stiennon, Duchesne et Randaxhe 1988, p. 67-72