Il se rattache au pré-impressionnisme par sa touche de ses paysages, et au réalisme par son style très atmosphérique et soucieux du détail, tant dans la représentation des personnages que des objets et de la nature.
Il est l’un des premiers, sinon le premier, des illustrateurs de son genre à son époque. il produisit bon nombre de peintures fort variées, montrant toujours un don aigu de l'observation et une maîtrise honorable dans des sujets traitant de la vie et des réalisations de Frédéric le Grand et des scènes de vie quotidienne, comme Aux Tuileries, Le Dîner de bal et À la Confession.
Il enterre progressivement le style adapté au goût petit-bourgeois, et jette son regard vers l'envers des choses, un coin de chambre ou d'atelier. Parmi ses œuvres les plus importantes figurent La Forge (1875) et La Place du marché à Vérone. Invité à peindre le couronnement de Guillaume Ier à Königsberg, il réalisa une représentation exacte de la cérémonie sans respecter les traditions officielles pour ce genre de peinture.
Outre les grandes scènes historiques, ses œuvres les plus marquantes sont certainement ses natures mortes d'atelier et ses carnets de dessins.