Le vieil Isaac sur son lit, presque aveugle, bénit Jacob à la place d’Esaü. Isaac est donc doublement trompé : il bénit Jacob en croyant bénir Ésaü et il mangera les chevreaux en croyant manger le gibier qu’il a demandé à Ésaü de lui ramener de la chasse.
Toute la scène est surveillée et contrôlée par l’épouse d’Isaac, Rébecca, à qui Dieu a prédit la supériorité de Jacob sur son aîné-jumeau Ésaü.
Isaac Blessing Jacob. 1639. Oil on canvas. 117 x 141 cm. Rijksmuseum, Amsterdam