Les Milesiens acceptèrent de quitter l'île et de se retrancher dans l'océan, derrière la neuvième vague, une frontière magique. A un certain signal, ils s'approchèrent du rivage, mais les druides des Dé Danann levèrent une tempête magique qui les empêcha d'atteindre la terre. Cependant, Amorgen invoqua l'Esprit de l'Irlande au cours de ce que l'on nomme Le Chant d'Amorgen, celui-ci put diviser la tempête et permettre aux navires d'accoster sans dommage. Amorgen sépara le pays entre ses deux frères, Eber prenant la partie Sud de l'Irlande, Eremon, le Nord. Selon le Lebor Gabála Érenn, c’est la première occupation humaine de l’île.
dans la mythologie celtique irlandaise, c'est un druide despotique, dont le surnom ailgesach signifie « l’Exigeant ». Il apparaît dans plusieurs récits du Cycle d'Ulster, dont la Courtise de Luaine et le Siège de Howth. Il a deux fils, Cuingedach (« l’Envieux ») et Apartach (« le Sarcastique »).
Les peintures d'Ivan Aïvazovski se distinguent par la recherche de la lumière et une approche émotionnelle remarquable. Grâce à cette atmosphère lumineuse et enchanteresse, les toiles du peintre s'emplissent de rêverie et d'émotion. Il peignait de mémoire et en retranscrivant ses sensations, sans études préalables, mais en se guidant simplement sur une esquisse brute au crayon.
Son œuvre est intimement liée à la mer. Le peintre sut avec une maîtrise admirable et une véracité surprenante traduire de mémoire le mouvement des flots, la transparence de l'eau tantôt calme, tantôt tumultueuse, tantôt furieuse, mêlant alors ses vagues au ciel orageux.
Delacroix parlait de son art en termes élogieux et Turner le qualifia de génie. Les thèmes d'inspiration d'Ivan Aïvazovski et sa manière de les traiter l'inscrivent au cœur du courant romantique du xixe siècle.
huile sur toile, 221 × 332, St Petersbourg, Musee Russe