Angela, maintenant seule avec dans sa chambre, troublante, et entièrement nue contre le mur. Cheveux blonds, des beaux seins, ronds et souples qui ballottent doucement au gré de ses mouvements, libres de toute contrainte, Des courbes ondulantes, elle doit avoir 20 ans, une peau lisse, délicatement bronzée. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies. Elle provoque mon émoi, je bande sans détour, elle le voit. Nous sommes seuls, face à face. Elle me nargue
subitement, elle m'attire vers elle, prend mes lèvres et me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes. Je sens alors sa main frôler mon pantalon qui a doublé de volume. Elle sourit et sans attendre de reponse, elle repose ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande ... à la limite de l'indécence. Elle s'en rend compte, me regarde fixement avec un léger sourire gourmand et plaque son ventre et le frotte contre mon maillot. Elle palpe sans pudeur mes reliefs, durs comme du bois.
- C'est pour moi tout ça ?
Cette belle plante a des formes à faire bander tout un monastere. Je suis toujours contre elle, elle me colle litteralement. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies qui me provoquent. Je continue à bander sans détour. Elle se colle alors franchement contre moi. Je bande maintenant comme un cheval, ça a l'air de lui plaire. elle glisse sa main dans mon pantalon et déjà elle me pétrit le sexe à pleines mains. Je me mets à petrir ses seins, fermes et opulents. Je n'ai dés lors qu'une hâte, celle de me planter dans son ventre. Elle est si mouillée que je sens sa toison trempée collée contre sa peau. Je prends sa merveilleuse poitrine. Je la palpe de plus belle en bandant comme un ours. Elle fait aller et venir son bassin sur mon ventre, ses seins me narguent, je bande douloureusement. Elle branle mon mat, et d'un coup, sans prevenir, elle se l'enfile dans ses chairs. J'ai a peine le temps de realiser ce qui se passe,
- Ne dis rien ! Et profite ! Prends ton plaisir !
Je ne me fais pas prier. Je m'enfonce en elle, je me sens aspiré, avalé, suçé, absorbé. Je glisse dans son ventre chaud, une pénétration franche, un rythme lent au début. Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux. Elle soupire, la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les bourses. Avec dextérité elle coulisse sur moi, je m'enfonçe voluptueusement en elle allant et venant lentement la faisant glisser le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté absolue épouse parfaitement son vagin étroit. Elle me va comme un gant, mon sexe coulisse dans son ventre avec de delicieux bruits de succion. Elle finit par engloutir mon membre sauvagement , je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, Tout en se frottant à moi, elle accélére sans cesse le rythme, Elle grogne, elle va venir… Des spasmes secouent soudain son corps, je sens sa mouille à nouveau couler. Et elle jouit ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle me conduit au bord de l'explosion et s'arrête juste à temps
- Et maintenant ... Lache toi ! Viens !
Nous accélérons. Elle grogne de plus en plus, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps. J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je me lache. Rendu au point extrême où tous les sens explosent, en son trou, offert, je me répands enfin en une apothéose …Je libére ma sève et lui remplit le ventre, abondamment. Elle me sourit,
- J'ai encore faim !
En moins de deux minutes, ma bandaison est repartie ! Je m'exécute et me glisse de nouveau en elle. Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre. Mon sexe se deploie dans son ventre, horizontal, dur, gonflé et brûlant. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre…
Puis elle se relève, prend ses affaires sort de la piscine au moment
- Tu me rejoins sous la douche ?
Nous etions desormais entierement nus l'un contre l'autre, dans la petite chambre d'Angela. nos peaux glissant l'une sur l'autre. Ses seins s'épanouissaient mollement contre mon torse. Elle écartait doucement les jambes, mi craintive, mi consentante, tout en me scrutant d'un regard mouillé, et je la pénétrai doucement, profondement, par incursions successives. Elle m'accueillait en elle avec une certaine apprehension mais de plus en plus d'abandon assumé, de maniere suave, comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Angela soupirait les yeux grand ouverts dans le vague. Ses chairs s'ouvraient et son corps peu à peu s'offrait à moi, telle une fleur. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrai doucement, tendrement. Son souffle etait lent, puis, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. Autour de moi, les lumières tournaient, je sentais les pulsations dans mon corps. Elle esquissa une grimace, puis inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas. J'atteignai bientot le fond, je restai un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres. Je glissai delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarda pas à relancer ma vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai à l'extrême au fond de son ventre. Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait aller en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Enfoncé au fond d'elle, je remuais pour bien la sentir tout en la fixant cherchant son accord pour poursuivre...
Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittai plus son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisasi partie d'elle, je l’habitai, en savourant cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait de ses lèvres intimes, me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissai dans ses chairs. Elle ondulait, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient.
Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de son corps... Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. agonie de plaisir, son plaisir devenait le mien. Elle remuait, imperceptiblement, ouvrant les yeux, cherchant les miens. Elle me serrait de sa bouche amoureuse. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser. Ele me regarda de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encouragea à lui donner le meilleur de moi ! Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide !
Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir. Je n’en pouvais plus... jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce. Elle resta blottie contre moi, inerte et si vivante. Je me sentais riche d'elle, toujours en elle, apaisé, vidé, comblé, je rêvais d’éternité, je voulais qu’en cet instant le temps se décompose,
- Angela ... Je vous sens contre moi, chaude, et douce et volontaire. Vous me donnez votre douceur, votre tendresse, votre fraîcheur, vous êtes belle et souveraine... Je glisse hors de vous ... Je vous embrasse, vous caresse...
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.