Je restais étendue là, le dard de mon homme encore planté en moi. comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. je réalisais ce que nous avions fait. et sentais entre mes jambes ouvertes couler tout son sperme. Il continuait à me limer doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Je l'ai senti de nouveau durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Ses dernières caresses intimes me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau.
Il fut mon bel amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il fut tendre et vigoureux à la fois, infatigable de son corps. Ses jouissances furent intenses, furent violentes. Les miennes furent sauvages. J'entends encore résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.