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dimanche 24 novembre 2024 - 18h26rech / rep
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(taille reelle)
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Je me sentis m'introduire en elle avec delicatesse, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je glissai en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude, elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien, elle semblait bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. mon souffle était encore lent. Elle me caressait de ses muscles intimes, je m'enfonçai par glissades subtiles, legerement, puis plus profondément, je ressortai et entrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, je lui agrippai les hanches pour la garder sous mon contrôle. Je m'arretai un moment pour me soucier d'elle,
- Tu es bien ?
- Oh oui... continue !
Puis mes mouvements devinrent plus amples, je plongeai en elle et gonflai en meme temps. Ma verge occupait maintenant son espace tout entier. Elle me faisait découvrir les douces contractions de sa vulve tendre et tiède, je me sentai aspiré, absorbé par son corps. Puis, la douce excitation devint un désir plus ardent,
- On continue ?
- Oh oui ! Je te sens bien !
Elle fermait les yeux, les rouvrait, offerte, chaude, et douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, je ne quittai plus le sien, j'oscillai en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avalait, m'absorbait, me digerait, comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, elle pouvait sentir les pulsations de mon sexe dur dans son corps, elle me pressait, je ressortai, poussai encore plus profondément. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. Je sentis à un moment mon plaisir s'annoncer, mon envie de me lâcher.
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore...
Son regard dans le vague semblait en réclamer davantage. Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, reprenai mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de mon corps glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! me supplia-t'elle
Elle inclina son bassin pour que j'aille plus au fond. Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mes mouvements, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs l'excitait visiblement. Elle se cabra, je poursuivis ma chevauchée. Elle jouissait et je continuai. Je m'activai dans sa chair, fou d’un désir que je ne me connaissais pas, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou,
- Maintenant ... Viens vite !
Elle sentit que j'étais sur le point de non retour. Je m'activai dans son ventre plus rapidement. Puis je m'enfoncai tout au fond d'elle. D'un coup, je me bloquai au fond de ses entrailles, je senti mon sexe se raidir, se contracter. Je poussai un cri rauque et long ... Elle me tira vers elle, et mon premier jet vint gicler au fond d'elle, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais que je défaillai. Je jouissai dans son corps, à me faire perdre la tête. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordillait les levres. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je déchargeai en elle en salves successives. À chaque secousse, je lui remplissai le vagin, c’était chaud. Je ressortai, entrai de nouveau, m’arrêtai.
Puis je m'affaiissai sur son corps avec des grondements d'ours blessé. Je lui envoyai une dernière giclée, me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. Je restai là contre elle, ma queue toujours bloquée en elle. Je l'inondai de ma douce chaleur. Elle en gémissait de bonheur. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Je sentis ma verge se rétrécir, libérant en abondance nos sécrétions amoureuses. Une fois les spasmes apaisés, je me laissai glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé. Elle conservait dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières.