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dimanche 24 novembre 2024 - 18h59rech / rep
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(taille reelle)
Lucas et Paulina (lui) ()
Elle avait 20 ans, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et de jolies rondeurs, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous dansions ensemble dans un recoin de la piste. Elle trébucha, s’appuya sur moi et l’effet de sa main fut instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarda. je l’attirai doucement par la taille, mes yeux se poserent sur elle. Je sentais contre moi la pointe de ses seins dure comme des crayons. Elle vint se lover autour de ma hanche et ce fut le premier baiser, le don pur. Elle se blottit contre moi la tête sur mon épaule. Je posais timidement les mains sur ses hanches. Nous ne parlions pas. Chaudement coincée contre mon corps ferme et le champagne aidant, elle se blottit contre moi encore plus. Embarrassé par un relief gênant sur le haut de mon pantalon, je tentais de me dégager jusqu'à ce qu'elle me souffla:
- Reste tranquille ! Ne dissimule rien ! ... Et serre-moi contre toi !
Je me suis alors laissé aller sans retenue contre elle. Elle me prit la main et la posa sur sa poitrine. Je la sentis chaude et souple à travers le satin. J'en épousais consciencieusement tous les contours. Elle me caressa alors la nuque et les cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je pris son visage entre mes mains Je lui caressais tendrement le visage et sa chevelure. puis, je posais mes lèvres sur les siennes, elle semblait même apprécier, jusqu'à ce qu'elle prenne, elle-même, l'initiative de m'embrasser, à pleine bouche, écrasant nos lèvres l'une contre l'autre, jouant avec nos langues et mêlant nos salives.
Le buste en avant. Son sein lourd gonflait le léger tissu blanc et soyeux. Je me suis mis à le palper doucement. Puis je glissais un doigt entre deux boutons du chemisier pour atteindre sa douce peau satinée. Je déboutonnais les trois premiers boutons. J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Je ne pus m'empêcher de baiser ce fruit mur. Je le suçais, je l'aspirais. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. J'ai écarté l'autre pan du chemisier. Je bandais de manière indécente. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive. ses cuisses étaient écartées, une culotte en satin blanc ornait son bas ventre. Je glissais ma main entre ses cuisses et lui caressais la vulve à travers l'étoffe, lorsqu'elle me murmura des mots à voix basse que je n'ai pas bien compris
- j'ai envie de toi !
Elle me regardait, presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le visage rayonnant. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde. Je lui palpais les deux seins presque sans ménagement.
- Lucas ! ... Tu me provoques ? me lanca-t'elle de maniere distincte, et elle proursuivit avec la même voix:
- Tu as entendu ? ... J'ai envie de toi !
Elle commençait à onduler son bassin. Ma main massait son ventre à travers la soie. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. J’ai senti sa main caresser mes cheveux. Elle s'abandonnait à moi. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais vers son entrejambe. Elle écarta encore les cuisses découvrant ses lèvres intimes déjà humides. Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts sous mes doigts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. je reprenais les douces caresses pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis devenir comme folle, elle ne contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva sur le canapé et un cri rauque jaillit bruyamment. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle s’est redressée pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Son souffle encore court bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mon sexe bandé et déformant mon pantalon frottait contre sa vulve chaude.
- ça va ?
- pfouh oui, je suis sur un nuage
J’'avais envie d'elle, j'avais envie de son sein, j'avais envie de son corps, et elle s'offrait à moi, ses jambes s’écartèrent. Elle me supplia de venir en elle.
- Viens ! Doucement, Je voudrais tant que l'on jouisse ensemble !
Elle s'ouvrit à moi, et je rentrai en elle. C’était un velours, total, une douceur qui m’enveloppait. sa jouissance nous inondait. J'allais et venais doucement et sa position changeait pour être totalement prise, l’offrande totale. puis le tremblement de sa crispation dans la jouissance se communiqua à l’intégralité de ma peau. Elle me massait avec son sexe, sans bouger mais avec la pression de toutes les parties de son intimité profonde, Le plaisir monta et elle jouit deux fois de plus avant que je ne l’inonde. Ses jambes se refermerent sur mes hanches et me maintenaient ancré au plus profond d’elle. Je n’osais pas rompre cette harmonie. Doucement elle me berçait en enfouissant sa figure dans mon torse. Je lui prodiguais des massages intimes au plus profond d’elle. les sensations étaient fortes et me prenaient du haut en bas. Je caressais ses flancs. Elle fermait les yeux en gémissant. Elle se crispait, ses ongles dans ma peau. Je me déversais en elle. Nous sommes revenus lentement sur terre, et je la quittais doucement, Elle avait toujours les seins découverts, elle sortit un tampon de son sac et se l’enfila en me regardant : Elle me sourit et se rhabilla complètement. J'étais mouillé de son plaisir, elle était pleine de moi.