La mère de Julien, soucieuse de la pruderie maladive de son fils, m'avait demandé un service délicat ...
La mère de Julien, soucieuse de la pruderie maladive de son fils, m'avait demandé un service délicat, elle m'avait mis dans la tête de l'initier aux choses de la vie. Elle m'avait expliqué que mes 50 ans face à ses 18 ans alimentaient souvent ses pollutions nocturnes et que moi seule, selon elle, était en mesure de liberer sa libido. Je l'entraînai ce soir là dans ma chambre dont le lit que j'avais préparé pour cette rencontre sentait agreablement le propre de la soupline.
- Tu es inquiet ?
Il me fit un oui un peu timide de la tete. Il était maintenant blotti tout contre moi. Entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie, et ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. J'ai alors commencé à ressentir, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. Il s'est agrippé à moi.
- Je suis content de t'aider mon cheri ...
il découvrait pour la première fois ma poitrine, mes deux beaux seins généreux, à peine affaisés sous la dentelle, qu'il commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Ses mains se déplaçaient maintenant tout au long de mon dos. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. Il s'est retrouve à hauteur de ma bouche. Il était sous l'emprise de mon souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mon cou. Il m'affolait de plus en plus.
- Regarde moi mon cheri, je ne suis pas trop vieille pour toi ?
- Tu es gentil ! ... On va se faire plaisir tous les deux !
J'ai alors posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord, puis, nous nous sommes embrassé à pleine bouche. J'ai introduit doucement ma langue, je le sentis s'abandonner à mon baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma combinaison. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapprochés, ses mains m'exploraient, nous avions, lui comme moi, besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, et l'ai regardé dans les yeux
- Vraiment ? C'est la premiere fois ? lui demandai-je dans le creux de l'oreille
Il me rassura avec un sourire d'envie. J'eu à ce moment une intense envie d'assouvir mon attirance violente pour ce jeune corps.
- Tu es seduisant, tu sais ! ... Ne sois pas gené ! Ce n'est pas honteux !
- Je vais t'emmener dans ma chambre, d'accord ? ... Viens ! Suis moi !
- Ferme la porte derriere toi ... Nous serons plus tranquilles
Mon armoire était restée ouverte, présentant sous ses yeux ma lingerie fine qui, face à ses 18 ans le faisait souvent fantasmer parait-il et alimentaient régulièrement ses pollutions nocturnes. Il n'avait jamais pu la toucher, respirer son parfum et elle était là, à sa portée. Il ne savait plus où poser mon regard, entre les piles de combinaisons et de jupons, les tas de petites culottes et de soutiens-gorge, les bas, les collants : une adorable combinaison rose, qui sentait bon, c'était chaud, c'était doux ! un soutien-gorge rose, deux culottes blanches en nylon, très douces. Tout cela n'arrangeait pas son état. soutiens-gorge adorables, petites culottes blanches, noires, rouges, fantaisie des culottes en nylon presque transparent. douces au contact. des combinaisons. une vingtaine, souvent des nouvelles.
- Tu m'aides à me deshabiller, lui demandai-je,
Je pris dans mes mains une combinaison couleur ivoire encore tiède, je respirai ses effluves. le contact du tissu soyeux aggravait systématiquement son etat ! Apres l'avoir observé un moment, je lui dis avec un sourire rempli de malice
- Tu veux choisir la lingerie dans laquelle tu aimerais me voir ce soir ? ... Je la mettrai pour toi !
Puis, délicatement, je dégageai devant lui les bretelles de ma combinaison. Sans que je fasse un geste, le fin tissu glissa doucement le long de mon corps et s'étala en corolle à mes pieds, ne laissant sur moi qu'une fine culotte de soie et un soutien-gorge valorisant mes magnifiques poitrines.
- Tu la veux ? Tu peux la prendre ! je te la donne ... en souvenir
Il prit la combinaison encore tiède et qui diffusait mes effluves. Puis je lui demandai de choisir une lingerie de nuit dans laquelle il avait envie de me voir. En ouvrant le tiroir, à coté de mes dessous intimes, de mes petites culottes en soie ajourées de dentelles rangées sommairement, il repaira une nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide
- Tiens ! prends la ! Je te laisse la mettre sur moi !
Il me la passa au dessus de ma tête et l'ajusta sur ma poitrine. le haut épousait la forme de mes seins comme un soutien gorge. Ses doigts glissaient sur le satin; descendaient vers mes cuisses, avec de longs va et vient . Le tissu devenait manifestement mouillé. Il glissa ses doigts sous la soie. La douceur, la fraîcheur du tissu faisait gonfler sa verge comme jamais. Ma douce lingerie sentait bon la femme, c'était chaud, c'était doux ! Je lui caressai le torse, les cuisses, les fesses, la jolie dentelle titillant agréablement son corps. Je devinais alors son sperme bouillonner dans ses bourses. Je le pris alors contre moi, passai une jambe entre les siennes, entoura sa cuisse du velouté de ma chemise de nuit. le doux tissu effleurait son ventre avant d'etre au contact de ma poitrine. Puis j'écrasai mes seins contre son torse et ne bougeai plus. Il semblait fou. Je lui donnai alors un tres sensuel baiser qui acheva de le faire fondre. Je le regardai fixement
- Tu comptes me regarder longtemps ? .. Tu veux bien ôter mon soutien-gorge ?
Il commença alors à passer ses mains sur ce corps offert, caressant mes seins à travers la dentelle. Puis il passa ses mains dans mon dos pour degrapher le doux tissu que je jetai negligement sur le lit. Puis je commencai à le deshabiller lentement. Je pris sa main et l'entraîna vers le lit. Je serrai mon corps contre le sien, le fixai de nouveau dans les yeux,
- Et maintenant, déshabille-toi, vite !
Une fois nu, je lui demandai de se glisser sous les draps de mon lit. Il s'executa, non sans cacher sa virilité brûlante par pruderie. Son sexe semblait à l'étroit. Je déboutonnai alors ma robe, et reajustai ma poitrine dans mon soutien gorge, tout en le regardant me dévisager. Il semblait dans un état d'excitation indescriptible. Je voyais sa queue durcir à vue d'oeil entre ses jambes.
Je refermai la porte à clé ! Tout doucement je vins m'asseoir à coté de lui sur le lit, mes seins libres ondulant sur une transparence lui laissant decouvrir mes pointes roses. Puis je glissai mes doigts dans sa chevelure. ma bouche couvrit ses lèvres, ses joues, son cou. Le contact du tissu et le moelleux de mon sein lourd aggrava son etat ! je pris sa main tremblante, la dirigeai sous le plissé, pour la poser sur le haut de mon sein, lui faisant apprecier le moelleux de ma chair, j'eus un regard sur sa peau de pèche qui se troublait : la sueur perlait en gouttes vers mon décolleté ; Avec ma main je cherchai et flattai ses testicules, serrai ses bourses.
- Julien je veux te faire plaisir ! Laisse moi faire !
Je me laissai alors couler le long de son corps, le caressant de toute la dentelle de ma combinaison. Ma douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait ses bourses. Mon souffle chaud se rapprochait de l'extrémité de son sexe. Je posai d'abord mes lèvres sur son gland violacé puis l'embrassai délicatement. Son premier frisson m'encouragea à poursuivre, et du bout de ma langue je vins effleurer la muqueuse Ses spasmes que je ressentai dans ma main me stimulaient, et c'est son sexe entier que j'aspirai, sur toute sa longueur. Je suçai sa verge dure comme l'acier, la lissait avec une vigueur qui l'excitait au plus haut point. Je montai, descendai, sur chaque millimètre de son mat dressé dans sa bouche. Les tréssautements, les contractions de sa verge sous ma langue et entre mes doigts l'excitaient au plus haut point. Son sexe était luisant de ma salive. Il se contracta pour ne pas jouir immédiatement, affolé de ce que j'étais en train de provoquer
- Marthe ... je ... je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Je dégageai ma tête de ses mains, dirigeai mon regard vers le sien.
- Julien, mon chéri, tu vas me donner toute ta sève.
Et je pris son sexe et me l'aspirai sans attendre engloutissant aussitôt son gland tumefié qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de mes mains plongea vers ma vulve. Mon vagin était aussi en ébullition et débordait de ma liqueur trempant littéralement la dentelle de ma si fine culotte. Je voulais moi aussi me faire jouir. Alors comme une démente, je m'enfonçai deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de ma grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de ma cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence je coulissai vigoureusement sur son dard pour me préparer au déferlement de son sperme qui s'annonçait proche
- Marthe ! Oh Marthe ... Je viens !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... il déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, je resserrai mes lèvres autour de son sexe pour ne rien perdre de ce nectar, alors qu'un terrible orgasme m'emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Je pompai avec ardeur son jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Je n'en finissai pas de pomper cette verge bandée, cette hampe luisante sur toute sa longueur. Les joues creusées pour tout aspirer, je lui adressai un regard langoureux. Mes lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté à la scene. Il rechercha son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il me regarda. Vision de rève, irréelle.
Je faisai onduler lentement mon bas-ventre contre le sien, mon excitation faillit plusieurs fois me faire jouir de nouveau. Je recommençai avec mes lèvres un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était de nouveau le paradis. Je sentis son corps se tendre une nouvelle fois, sa respiration s'arrêter et, tout d'un coup, il n'y tint plus ! la délivrance. Le feu partit de ses bourses, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes. J'attendis la fin de ses soubresauts, et vint m'allonger près de lui et l'embrassa violemment.
J'étais là, contre lui, allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. Mes lèvres reprirent possession des siennes et ma langue agile s'insinua dans sa bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre.
Je le pris dans mes bras, l'embrassa. Je passai ma main sur mon ventre et je m'aventurai jusqu'à ma touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai mes poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Je lui murmurai dans l'oreille :
- Regarde moi dans les yeux ! ... Je t'offre maintenant mon corps ! il a déjà faim de toi !
et je l'ai entraîné sur mon lit. Je me suis mise à nue pour me couvrir de son corps ...
- Je te sens bien dur contre moi !
- Viens, je veux maintenant te sentir dans mon ventre !
Excitée à l'idée d'initier mon bel adolescent aux délices de la pénétration... Je m'emparai doucement de son jeune sexe déjà bien dur et gonflé, j'en dirigeai le bout entre mes grandes lèvres déjà humides et je fis rentrer doucement cette jeune verge bandée, éprouvant une véritable jubilation au contact de ce sexe bandé
- Je suis toute ouverte pour toi, tu sens ? ...
- Viens ! doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
- Voilà, tu y es ! ... Tu es bien ? .... Moi aussi, je suis bien !
Il commencait à glisser à merveille dans mes chairs moites et je me suis offerte à lui.
- ça glisse tout seul, tu sens ? Tu es chez moi maintenant, bien au chaud !
- commence à bouger ... tu sens comme ca fait du bien ? Tu aimes ? ... Oui comme ça ! Cest bien !
- tu sens ? ta verge qui grossit et s'allonge dans mon ventre,
- tu as l'air d'aimer ca ! Moi aussi j'aime tu sais !
il glissait en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offrai mes douces caresses intimes, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre. ses mouvements se firent plus amples. Je lui faisai découvrir les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, je ne quittai plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne falait pas, pas maintenant. Je glissai sur son mat. Il oscillait dans ma chair, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalai, l'absorbai, je digerai ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps. Il esquissa une grimace, j'inclinai mon bassin pour qu'il aille plus au fond. Il s'activait dans ma chair, fou d’un désir que je ne soupçonnais pas. Je passai ma main dans ses cheveux, caressai son visage. Doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules, reprit ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son corps glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Viens vite !
Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée, Puis il s'arreta net. Je le sentis venir, il crispa son regard .....
- Donne moi toute ta sève ! ... Maintenant !
Je le tirai à moi. Et il vint, le voici ! il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. flot de vie me remplit. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Je m'effondre sur lui. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques.
- Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front
- Oh oui ! Je vous sens bien ! c'est tout doux ! C'est bon !
Etendu sous mon corps chaud et tendre, et fasciné par mes seins lourds se balançant doucement devant ses yeux, il se laissa alors aller à la jouissance de sentir le glissement onctueux d'un sexe mâle dans le sexe d'une femme mure.Je sentais sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants....
Emporté par sa fougue d'adolescent, il accelera. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser profondément son membre gonflé dans les moiteurs de mon ventre, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Je ne tardai pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Je serrai mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
-- Plus vite, mon chéri ! … Met le moi bien au fond !…
Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inondait d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de mon jeune adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, il s'activa de plus belle, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, l'affolant encore plus. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y ! ..
Il était en train d'atteindre le point de non retour, je l'enserrai encore plus fortement entre mes cuisses pour l'empêcher de s'extraire de mon vagin affamé. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, il empoignait mes deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu,
-Oui, maintenant .. Donne moi ton sperme chaud ! Donne moi tout ! Je n'en peux plus !
ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
- Oh oui ! ... Que c'est bon !
Le jet puissant de mon jeune amant inondait le point le plus profond de mon vagin. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon ventre malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer ce jeune corps devenu trop lourd, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit:
- Eh bien, mon chéri, qu'est-ce que tu m'as mis, m'exclamai-je en me penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement…
- Tu m'as rempli le ventre, J'en ai de partout… C'était bon ? Tu as aimé ? ... Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder un moment le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement.
- J'aime tes caresses intimes ... Tu sens ? mes petites contractions amoureuses ?
Mon corps recommença à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrassait très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches venaient une nouvelle fois à sa rencontre et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte, puis sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence qui s'écoulait sur mes cuisses. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement.
Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.