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dimanche 24 novembre 2024 - 18h32rech / rep
03--mag-julie-02

03--mag-julie-02
(taille reelle)
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- Vous pouvez glisser vos mains sur moi, sur mon corps, si vous voulez ... pour mieux sentir la douceur du tissu ! ...
- Allez-y ! vos caresses me font du bien à moi aussi, vous savez ! Je n'y suis pas insensible i
La pression monte. Je caresse les seins à travers la soie, la chair a un moélleux exceptionnel.
- Vos mains sont douces ... et chaudes ! .... J'aime bien ! ... votre dame doit aimer !
- Continuez ! ... oui, plus bas, je veux bien ! ... allez-y ! ...
- oh c'est bon ! ... vous savez faire avec les femmes je vois ! ...
Je soulève alors sa combinaison de nylon le long de ses hanches. Je profite de la douceur du nylon, la fraîcheur du tissu fait gonfler ma verge comme jamais. Sa douce lingerie sent la femme, c'est chaud, c'est doux ! Elle prend alors ma main et la fait glisser plus bas sur le doux tissu. Ses joues sont légèrement rougies. Elle me guide sous le fin nylon et me laisse en chemin. Tout se precipite. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle resserre fermement comme pour me garder, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide.
- Vous êtes en train de toucher des endroits tres intimes, vous en êtes conscient ? ...
- J'espere que vous savez ce que vous faites ?
- non ... continuez ! Je ne vous ai pas pas dis d'arrêter !
Je sens sous mes mains ses muscles trempés se dilater. Elle serre mon bras.
- tu sais que tu es en train de m'exciter, toi ! ...
- Excuse moi, je te tutoie ? ... au point on on en est ...
Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Elle tremble, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. elle ouvre les yeux, me lance un regard intense
- Ecoute-moi ! ... je crois qu'on en a trop fait ... ou pas assez ! ...
- on ne va pas en rester là, tu es d'accord ?
- Ne tournons pas autour du pot ! ... tu en as envie ! ... et moi aussi ! ...
- ma chambre est au premier ... on y va ? .... viens ! Je t'emmène !
La porte est desormais fermée a clé, elle commence aussitôt à defaire ma ceinture et liberer un sexe qui pointe d'un coup vers elle à l'horizontale. Puis elle fait glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, elle dégage l'épaule gauche, ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur, je bande desormais sans complexe contre elle. Délicatement, la combinaison s'affaisse, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds. Elle me tend la combinaison encore tiède. Je respire ses effluves.
- Ferme la porte ! .... et viens vite ! ...
- Et maintenant ? ... tu m'as donné faim ! ... Et bien, qu'attends-tu ? ...
- Je suis étroite et bien profonde, humide et toute ouverte ... pour toi ! ... tu viens ?
C'est elle qui me guide vers elle. Et je me sens aussitôt, impression delicieuse, aspiré, digeré, absorbé comme une gourmandise. Je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Elle m'aspire en elle. Je la penetre, doucement, puissement, profondement. Je m'enfonce entre ses lèvres larges et humides. Je m'immisce dans ses chairs au plus profond de ses reins. Ma queue glisse en elle, bien dressée et bien dure, la vue de ses deux beaux seins me donne de la vigueur ! Je bande monstrueusement au fond de son ventre. Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je sens ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle. Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle. Elle me fixe de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante. Puis elle se met à trembler. Elle se déchaîne, se met à geindre, la bouche ouverte, haletante, et se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte. Je sens que je viens. J'hesite à me retirer

- Oh c'est bon ! ... continue ! ... bien au fond ! ... C'est de celà dont j'avais besoin ! ...
- Non reste ! bien au fond ! ne t'inquietes pas, j'ai pris mes precautions ! ...
- Tu sens que tu viens ? ..... oui ? ...
- vas-y ! Lâche-toi ! Maintenant ... Oui, maintenant !
- Ouuuii ! ... Oh oui ! ..... encore ! .... ne t'arrête pas, Continue ! Tu me rends folle !!
- Quel homme !




- Non reste ! bien au fond ! ne t'inquietes pas, j'ai pris mes precautions ! ...
- vas-y ! Lâche-toi ! Maintenant ... Oui, maintenant !
Je me bloque bien au fond de son vagin. Je me lache. Et je pars en de longues giclées dans son ventre. Je jouis, laissant un flot de sperme gicler en elle par saccades.
- Ouuuii ! ... ne t'arrête pas, Continue ! Tu me rends folle !!
- Quel homme !