je cru entendre un gémissement venant de la chambre voisine ...
Malgré l'heure avancée de la nuit, nous ne dormions pas. Allongé dans le lit de l'hotel, je regardai María. La vue de son corps débarrassé de tout vêtement pouvait me faire supporter n'importe quel tourment. Alors que je la regardais, je cru entendre un gémissement venant de la chambre voisine, occupée par un couple de touristes allemands, séparés de nous par une mince cloison. Puis ce fut une serie de gémissements étouffés. L'excitation, décuplée par mon imagination, me sortit immédiatement de ma torpeur et je tendis l'oreille. Je perçu alors tres nettement quelques bruits de succion terriblement suggestifs. Alors que ces bruits infimes semblaient survenir à des intervalles de plus en plus courts, j'entendis clairement un râle rauque bien plus fort que les autres se détacher dans la nuit. Mon imagination s'affola. Je me sentis durcir outrageusement contre la cuisse de Maria. Désormais, mon érection était si forte qu'elle en était douloureuse. Surprise, ma tendre moitié se retourna et me lanca un regard interrogateur. Je lui proposai d'écouter avec moi les sons qui nous parvenaient de la paroi qui nous séparait de nos voisins. Les bruits avaient repris, et cette fois, étaient clairement féminins. María se retourna pour mieux écouter. Après quelques instants, je sentis que les soupirs et les gémissements étouffés, mais clairement audibles, commencaient à l'exciter elle aussi.
María est, comme beaucoup de latines, complètement désinhibée. Bien que fervente catholique, elle ne voit aucun mal à assumer son penchant pour les plaisirs de la chair, car si Dieu l'avait ainsi faite, c'est donc qu'il ne voyait aucun problème à ce qu'elle agisse en accord avec sa propre nature. L'oreille sur la paroi donc, Maria me decrivit alors le mouvement d'un sexe masculin qui rentrait et sortait d'un ventre feminin, des allers retours qui s'accélèrent, car les soupirs de nos voisins étaient de moins en moins discrets. Je me surpris alors à caresser le ventre de Maria d'une main et m'approchai en de lentes courbes de ses lèvres intimes. C'en est trop pour elle. Elle me fusilla du regard
- Viens vite ! .... Prends moi!
Elle me retourna sans menagement, monta sur moi, se saisit de mon sexe dur, me masturba et absorba ma verge avec un tres sensuel bruit de succion. Je tins environ 20 secondes, pas plus, à ce rythme infernal, avant de me repandre abondemment dans son ventre avec de longues giclées qu'elle reçu comme une récompense personnelle.
Visiblement, nos propres ébats n'avaient pas laissé indifférents nos voisins, qui ne prirent même plus la peine de cacher leurs gémissements, leurs râles et leurs cris. María devint comme folle et me supplia de la prendre de nouveau. Je me jetai presque sur elle et la pénètrai immédiatement avec une sauvagerie bestiale. Je vis le visage de María se déformer sous mes assauts. Elle avait le regard presque vitreux. Les cris stridents de l'allemande nous encouragent. Maria me hurla de la prendre plus fort. Elle me griffa les fesses qu'elle plaqua contre son bassin pour accentuer mon mouvement. Je l'entreprenais, la pilonnai, aussi fort et vite que je le pouvais. Elle se mit à crier aussi alors que je poussai de grands râles rauques.
Alors que nous changions de position pour éviter une conclusion trop rapide, nous entendimes soudain des gémissements distincts dans l'autre piece. Il s'agissait d'un couple d'anglais. Dans notre épopée avec nos amis d'outre-Rhin, nous en étions venu à oublier complètement leur présence dans la chambre 3. Elle, était une femme noire élégante, presque hautaine, et dotée d'une grande beauté. Son compagnon était un homme brun dont le regard m'avait paru désespérément vide. Nous avions immédiatement préféré les allemands, plus avenants. Mais voilà qu'ils se mêlaient à la partie.
L'anglaise cria à en faire trembler les murs. Rendu fou par nos voisins et par ma compagne déchaînée, je saisis Maria, et la collai violemment contre la paroi qui nous séparait des anglais. Avide et animal, je la pénètrai avec force. La sueur nous coulait sur chaque partie du corps et fut à l'origine de bruits de mouille qui me comblerent.
Nos trois couples furent saisis d'une étrange fièvre et l'émulation devint notre seule énergie. Nous mêlions nos cris avec un plaisir sauvage que nous n'aurions jamais soupçonné posséder en nous. Alors que je pénètrai María, je m'imaginais prendre tour à tour l'anglaise et l'allemande. Après que notre excitation ait atteint le firmament, Maria et moi ralentissions et puis nous arrêtames un instant.
Maria se retourna vers moi, me remercia, et nous nous enlaçames tendrement. Je la soulèvai et elle enroula ses jambes autour de ma taille. Je la pénètrai de nouveau et, rapidement, je jouissai d'un des plus longs et puissants orgasmes de toute ma vie avec elle. Nous restames ainsi serrés un long moment, mon foutre glissant de son vagin, coulant sur ses fesses et gouttant par terre avec un bruit qui devient tout le symbole du calme après la tempête.
Nos voisins avaient également terminé leur affaire. Maria et moi nous regardions, surpris, puis, progressivement, ravis. Nos sens enfin apaisés, nous retournames chacun dans nos lits en pensant jusqu'au lever du soleil à ce songe d'une nuit d'été.