- je t'aime bien tu sais ! ... et même plus que ça ! .... tu me crois ? ...
Quelque chose était en train de se declencher sans que aucun de nous deux ne puissions à ce stade prévoir la suite. Elle me troublait autant qu'elle m'attirait. Elle me troublait terriblement. Elle poursuivit en me prenant la main, tandis que je m'interrogeais sur la suite des evenements,:
- et ton mari ?
- mon mari ? ... il est en deplacement .. au moins pour trois jours ! ...
- je vais te dire: mon mari a sa vie, et moi, j'ai la mienne ... chacun mène sa vie comme il l'entend ! ...
- aujourd'hui, je suis avec toi .... et j'ai envie de profiter de toi ! ... me dit-elle en me posant un baiser sur les lèvres ...
Puis elle s'ecarta pour me faire cette confidence:
- je suis amoureuse de toi ! ... c'est pas bien ? ...
J'eu à peine le temps de realiser ce qui se passait qu'elle plaqua de nouveau ses lèvres sur les miennes, fouillant ma bouche avec ardeur. Ce contact électrique se mit à agir sur moi comme un interrupteur, et ce fut moi qui l’embrassai cette fois sans retenue, glissant aussitôt ma langue dans sa bouche. Notre baiser fut long et humide. Toute reserve ou retenue avait disparue. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Elle glissait sa main sous ma chemise, caressant ma peau de ses mains chaudes, tandis que je poursuivai mes acaresses en m'emparant de son sein. Notre baiser dura un très long moment, puis elle s'ecarta alors soudainement,
- tu penses la même chose que moi ? ... tu as envie ? ... comme moi ? ... je t'emmène dans ma chambre, viens ! ...
Elle me prit par la main et m'entraina dans le couloir. Arrivés dans sa chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle, elle commença à deboutonner ma chemise, je glissai mes mains sous son corsage deja à moitié defait, je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis et nous reprîmes nos etreintes ardentes qu'elle interrompit seulement pour me preciser la suite
- il y avait bien un lit pour toi dans la maison ... mais c'est dans le mien que je te veux maintenant ! ...
S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir terriblement envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Nous nous effeuillâmes rapidement. Elle m'entraîna sur le lit en relevant doucement sa chemise de soie, Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, elle me desirait. Elle me fixa alors droit dans les yeux en me tendant la main,
- Tu viens ? ... Viens vite ! ...
A peine allongé sur elle, nos deux corps reunis, je me sentis d'un coup aspiré en elle, comme dans un cocon mielleux, une sensation paradisiaque, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Je glissai avec délice entre ses muqueuses distendues. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. elle s'abandonna à mes attouchements. nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, Elle me fit cette remarque avec sourire
- C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne crois pas ?
Elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande. Je sentais ses douces caresses intimes. J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son souffle était lent. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience. Mes mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, sans faire de bruit. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple.
Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. Elle inclina son bassin pour que je la pénètre plus au fond, et doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'accélérai franchement, elle ferma les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, je sentais mon plaisir monter, inexorablement ...
- Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite !
Elle se cabra, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait à l'extrême. Elle me tira vers elle, se cabra de nouveau. Je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir.
Puis je m'affaissai sur son corps. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé.
- tu as été merveilleux ! .... un amant de rêve !
- Je n'ai pas eu l'occasion de t'embrasser comme je le voulais quand tu es arrivé ! ...
- tu me permets ? ...
- Je suis tellement contente de te garder ce soir chez moi, tu sais !
- je t'aime bien tu sais ! .. et plus que ça ! ...
- je peux t'avouer quelque chose ? ....
- je suis amoureuse de toi, c'est vrai ce que je te dis ! ...
- c'est pas bien de dire ça ? ...
- nous sommes seuls en ce moment ! .. qu'en dis-tu ? ...
- on devrait en profiter, tu ne crois pas ? ...
- tu as envie ? ... comme moi ? ...
- Viens ! ... ne restons pas là ! ... je t'emmène ! ...
- J'avais preparé ta chambre mais c'est dans la mienne que je veux t'avoir cette nuit ! ...
- je te demande un petit moment ... je voudrai me faire belle pour toi ! ....
- Installe toi ! ... commence à te deshabiller .... j'arrive ! ...
- comme ça, est-ce que je te plais ? ...
- j'ai envie de toi ! ... terriblement envie de toi ! ...
- tu viens ? ... je t'accueille ! ... viens vite ! ...