Isolés dans le couloir, nous avons besoin l'un de l'autre. De ses mains febriles, elle degaine mon épée, elle se l'enfile, pénétration profonde, elle se cambre sous mes assauts, répétés et répétés encore. Je glisse lentement dans sa chair, puis bien plus vite, elle gémit de plaisir d’être embroché de la sorte, par tant de frénésie. Et je jouis, et hurle mon bonheur de partir en éclats dans le ventre féminin. J'ai une belle générosité, elle m'en félicite.
Elle veut me remercier et se jete sur ma queue, elle veux me goûter, me sentir d’encore un peu plus près. Après m'avoir pompé au fond de mes entrailles, elle m'offre sa bouche, une si douce enveloppe, humide et chaude, gourmande à souhait. Elle suce et suce encore ma belle queue, ouvre grand, très grand sa bouche, et elle me branle. Et je jouis, et mon sperme dégouline sur le bord de ses lèvres. Le liquide dessine de jolies traînées blanchâtres aux commissures de ses lèvres. Elle passe sa langue sur ses rebords ourlés, elle goûte avec saveur ma sève chaude, se nourrit de ces giclées de plaisir jusqu’à la dernière petite goutte.
A peine remis de ces ébats, elle m'invite sous la douche. Nos deux corps à l’unisson glissent dans la mousse onctueuse. Elle glisse sur moi, au début doucement, presque tendrement, parce que mon sexe tout particulièrement met ses sens en émoi, j'ai tout pour lui plaire. Et elle prends un soin méticuleux à promener ses doigts dans mes moindres recoins, elle me caresse et me caresse encore, et encore, à n’en plus finir, elle aime, j'aime, je bande, Elle attend avec presque impatience que je daigne lui offrir ma rigidité et elle me fait profiter de la succion appuyée de sa bouche goulue. Mais l’eau du bain se rafraîchit un peu, et je souhaite, elle souhaite passer à des plaisirs plus intrusifs.
Sortir à la hâte, enfiler un peignoir pour se sécher le plus rapidement possible et nous jeter l’un sur l’autre. Plus besoin de discours, plus besoin d’explications, de justifications d’aucune sorte, le corps parle tout seul dans le corps à corps tant et tant désiré. Et à peine son enveloppe d’éponge est-elle tombée au sol que je lui agrippe les fesses dans une volonté démesurée de me glisser au cœur de son intimité. Et elle m'offre ses fesses de bonne grâce, avec un réel délice de se faire empaler par cette si jolie queue.
Louise Gabriel
- Monsieur, ce n'est pas bien ce que nous faisons, vous le savez !
- Allez-y, mais avec retenue ...
- Vous y êtes ... presque ... Oui ! ... Doucement ...
- Oh Monsieur ! ... Oh oui, c'est bon !
- Monsieur, nous ne sommes pas raisonnables !
- je ne vous ai pas dis d'arrêter ! oui, continuez !
- Oh Monsieur ! ... Mettez le moi bien profond !
- Oh oui ! Encore ! Plus loin ! Plus vite ! bien au fond !
- Continuez ! je suis folle ! Oh Que c'est bon !
- vous retirer ? Non, Restez ! ... bien au fond !
- Je suis prete ! ... Oui, maintenant ... Venez vite ! ...
- Ouuuii ! ... Oh c'est bon ! ... Vous m'avez remplie !
- Qu'est-ce que vous m'avez mis ! ... Ca coule de partout !
- Je suis remplie ! Vous m'en avez mis des litres !