Assise sur la console, elle me maintenait prisonnier de ses bras, de ses jambes ...
Assise sur la console, elle me maintenait prisonnier de ses bras, de ses jambes, elle m'agrippai, me suçait, me serrait, en rythme et de plus en plus fort, je l’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de ses halètements. les allées et venues violentes de mon sexe dans le sien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans nos deux corps, je continuais à coulisser en elle, furieusement, de plus en plus vite, mes mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : mon plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, je ahanais, ses yeux etaient rouges et exorbités, elle gémissait, j'allais et venais furieusement, tandis qu'elle enroulait ses jambes autour de mes hanches, me rendant prisonnier de ses cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...Elle hurlait ses encouragements. Je lui répondis d’un râle puissant annonciateur de la liberation... et puis ... les yeux crispés, tout mon corps se tendit, comme tétanisé, je me raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en elle ... une gerbe chaude qui se repandit dans son ventre ... je l'avais remplie ... je l'avais baisée !
Assise sur la console, je le maintenais prisonnier de mes bras, de mes jambes, je l’agrippai, le suçai, le serrai, en rythme et de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant,
et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre ... il m'avait remplie ... Il m'avait baisée !