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dimanche 24 novembre 2024 - 16h48rech / rep
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(taille reelle)
dans la douceur de ses draps ()
Je suis desormais au lit avec Marthe dans la douceur de ses draps et mon ventre au contact de sa douce lingerie de soie. J'ai toujours rêvé de coucher avec elle, et ce désir se réalise enfin, après quelques courts moments d'apprehension. Je m’oublie totalement dans la tiédeur de la chair feminine et dans son odeur de sueur et d’excitation sexuelle. Je pose une main timide sur ses seins, à l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est soyeuse et moite. Puis j'approche mon visage de ses belles poitrines opulentes et legerement pendantes. Un sein onctueux comme une boule de pâte à pain se presse contre ma poitrine, et un téton bandé, rugueux, me titille la peau. J'inspire le souffle tiède qui me baigne le cou. Nous sommes nus tous les deux, frottant nos corps l'un contre l'autre. Elle me serre contre elle, ses seins tremblent doucement. je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, mes lèvres sont à quelques centimètres des siennes. Je suis totalement sous son emprise. Elle se rapproche encore. Elle est vraiment superbe. Elle se tourne moi, me fixe, intensément, me regarde, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle caresse ses seins, qui pointent vers moi. Ils tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. Puis, elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes. Je suis tétanisé. Elle me fixe de nouveau avec, cette fois, un sourire gourmand. Je fond ! Elle se serre alors contre moi et m'enlace étroitement . Ses seins bougent légèrement au rythme de sa respiration. Nous restons un moment face à face, sans parler. Puis elle prend mes mains et les pose sur ses seins. Le contact m’électrise. Je caresse et palpe cette chair douce et ferme. Elle soupire, le regard vitreux.
Marthe remonte elle-même ma main vers son bas ventre. Elle écarte largement les cuisses et plonge son regard vitreux dans mes yeux ... Elle me supplie de venir en elle. Il y a si longtemps que j'attendais ce moment.
Je la pénètre ... avec douceur. Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans le ventre chaud. C'est suave. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres. Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum, tout son corps frémit … elle suinte de cyprine, et émet des bruits delicieux de succion, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des râles. Ses mouvements se font plus désordonnés, elle me supplie de venir, vite .Mon excitation atteind un paroxysme. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, et ... je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de gémissements et de spasmes ... se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence. Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives. Elle me caresse tendrement et se love dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi.

Les jambes recroquevillées, les corps face à face, l'un contre l'autre, dans le grand lit de Marthe. J'admire sans réserve son mélange sensuel d'angles et de courbes. Je l'observe. J'aime sa coiffure qui dégage sa nuque sur laquelle seuls quelques cheveux rebelles dessinent d'attendrissantes volutes. J'ai une soudaine envie de plonger dans ces spirales et de m'enivrer de leurs trésors que sont le grain de votre peau et son parfum sucré. Je m'y perds par la pensée un long instant.
Doucement j'avance ma main vers vous, vous ne remarquez rien. Votre tête est légèrement tirée en arrière. Vos yeux brillent, vous me fixez un instant puis baissez votre regard. Alors ma main glisse lentement vers votre nuque dont j'effleure les contours. Vous fermez les yeux. Je m'occupe de vous, tendrement.

La nuit est tombée, les enfants dorment paisiblement dans la chambre au bout du couloir. Nous sommes maintenant tous deux allongés côte à côte dans le lit conjugal, Nous nous regardons et je lis encore en vous toute l'émotion de mes caresses sur votre nuque. Vous vous approchez timidement pour embrasser mes lèvres. J'accepte. Alors je glisse ma main sur votre épaule pour remonter le long de votre cou. Je progresse en vous effleurant et de mes doigts. Je me faufile à travers votre chevelure. Je plante de doux baisers sur votre jugulaire puis je remonte vers vos oreilles. Ma main est toujours accrochée dans vos cheveux alors je tire encore un peu plus pour offrir l'autre côté de votre gorge à mes baisers. Vous tressaillez, j'exulte.

Le plaisir est arrivé comme souvent lorsque, tous deux, nous mélangeons nos corps et nos âmes. Je me suis retiré de vous, mon foutre dans votre ventre. Qu'il reste en vous le plus longtemps possible un peu de moi.