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dimanche 24 novembre 2024 - 16h45rech / rep
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(taille reelle)
douceur de l'interdit ()

elle me fit quelques caresses de ses doigts sur mon visage, puis elle posa doucement ses lèvres sur les miennes ...

Les lumières de la rue éclairaient suffisamment la chambre de l'hotel au travers des voilages. Elle me regardait dans les yeux. Comme je restais debout sans bouger, ce fut elle qui s’approcha de moi. Elle effleura mon bras doucement, caressa mon épaule, puis mon cou. Elle glissa sa main derriere ma nuque, ses doigts s'immiscerent dans mes cheveux, puis elle attira mon visage vers le sien. Elle s'écarta un moment de moi avec des yeux plus graves,
- Tu veux ? tu veux toujours ?
Elle crut d’abord que j'allais refuser son baiser, car je tentai de tourner la tête, mais ce contact électrique se mit à agir sur moi comme un interrupteur. Et ce fut moi qui l’embrassai cette fois, glissant aussitôt ma langue dans sa bouche.
- tu es inquiet ? ... C'est la première fois avec une autre femme ?
J'acquiesçai, comme si cet aveu avait déclenché une passion nouvelle. Sa langue douce et chaude s'infiltra habilement entre mes lèvres pour finalement s'enfoncer dans ma bouche. D'abord surpris par ce baiser, je me laissais faire, passif. Puis je lançais ma langue à la rencontre des lèvres de cette femme splendide. Elle s'ecarta alors en me fixant d'un regard plus grave,
- Vous savez ... dés que je vous ai vu, j'ai désiré ce moment !
Elle était donc là, seule avec moi dans cette grande chambre d'hotel ! J’avais esperé secretement ce moment. Mon corps tout entier s’enflammait déjà, appelant une fébrilité irraisonnée et puérile. L’émotion me submergeait. Pendant ces quelques secondes au cours desquelles mon regard ne pouvait se détacher du sien, j’avais la sensation que le temps s’était arrêté. Le visage empourpré, elle me fit quelques caresses de ses doigts sur mon visage, elle posa ses lèvres sur les miennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. J'avais le cœur dans la gorge. Elle me regarda de nouveau avec des yeux legerement humides,
- Maintenant J'ai envie de profiter pleinement de ce moment avec toi !
- Ne pense plus a personne d'autre ! Je te veux pour moi ! rien que pour moi ! entierement !
C'est elle qui commença à me deshabiller. Ses mains cherchaient les boutons de ma chemise, tandis que je m’affairai sur la fermeture éclair de sa robe. Pendant que je l’admirai, elle m'enleva ma chemise et une fois torse nu s’approcha à nouveau de moi. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser les seins. Elle m’intimidait toujours autant. J'aurais aimé savoir ce qu’elle aimait, pour être sûr de ne pas commettre d’erreur, mais tout dans son attitude montrait que peu de choses l’auraient troublée en cet instant. Elle m'invita à l'effeuiller doucement. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis elle me fit doucement reculer jusqu’au lit ou elle s'allongea en m'entrainant avec elle, je m’installai entre ses jambes, tout en la caressant, explorant son corps, chaque centimètre carré de sa peau si douce. Elle se pencha sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Notre baiser fut long et humide.
Allongée sur le lit, jambes écartées, offerte, elle me tendit la main pour que je vienne à elle. Tout en me fouillant l'intérieur du palais de sa langue experte, elle glissa sa main plus bas vers mes reliefs qui prenaient une ampleur insolente. Avec beaucoup de douceur elle me caressa la partie la plus intime de mon corps ce qui n'ameliora pas mon état. Nous restâmes un moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, elle releva sa fine combinaison de soie qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce corps si proche de moi. Elle se caressa les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Puis elle s'empara une nouvelle fois de ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, elle écarta ses jambes, m'agrippa alors la main et la dirigea vers ses tresors intimes
- tu sens ? ... comme je suis humide et toute ouverte !
Je commençais à caresser ses lèvres intimes, en accompagnant mes caresses de petites incursions appuyées, puis je la sentis se saisir de ma main pour l'immobiliser.
- Maintenant, j'ai envie que tu viennes ! J'ai envie de te sentir dans mon corps !
lorsqu'elle se rapprocha de moi, ses yeux se plongèrent dans les miens en une supplique ravageuse. Nos lèvres se trouvèrent d'abord avec douceur, puis s'entrouvrirent et nos langues se mêlèrent. Nos mains se mirent ensuite de la partie, nous caressant, nous palpant avec urgence. nous étions fébriles dans les bras l'un de l'autre. nous regardions nos corps, goûtions notre peau par de nombreux baisers lorsqu'elle s'ecarta, puis s'allongea à mes cotes, en s'ouvrant toute grande, ses yeux dans les miens en signe d'appel,
- tu viens ?
Ce n'était plus une suggestion, c'était une injonction, je n'osai l'esperer si vite.




Les lumières de la rue éclairaient suffisamment la chambre de l'hotel au travers des voilages. Elle me regardait dans les yeux. Comme je restais debout sans bouger, ce fut elle qui s’approcha de moi. Elle effleura mon bras doucement, caressa mon épaule, puis mon cou. Elle glissa sa main derriere ma nuque, ses doigts s'immiscerent dans mes cheveux, puis elle attira mon visage vers le sien. Elle s'écarta un moment de moi avec des yeux plus graves,
- Vous voulez ? Vous voulez toujours ?
Elle crut d’abord que j'allais refuser son baiser, car je tentai de tourner la tête, mais ce contact électrique se mit à agir sur moi comme un interrupteur. Et ce fut moi qui l’embrassai cette fois, glissant aussitôt ma langue dans sa bouche.
- Vous êtes inquiet ? ... C'est la première fois avec une autre femme ?
J'acquiesçai, comme si cet aveu avait déclenché une passion nouvelle. Sa langue douce et chaude s'infiltra habilement entre mes lèvres pour finalement s'enfoncer dans ma bouche. D'abord surpris par ce baiser, je me laissais faire, passif. Puis je lançais ma langue à la rencontre des lèvres de cette femme splendide. Elle s'ecarta alors en me fixant d'un regard plus grave,
- Vous savez ... dés que je vous ai vu, j'ai désiré ce moment !
Elle était donc là, seule avec moi dans cette grande chambre d'hotel ! J’avais esperé secretement ce moment. Mon corps tout entier s’enflammait déjà, appelant une fébrilité irraisonnée et puérile. L’émotion me submergeait. Pendant ces quelques secondes au cours desquelles mon regard ne pouvait se détacher du sien, j’avais la sensation que le temps s’était arrêté. Le visage empourpré, elle me fit quelques caresses de ses doigts sur mon visage, elle posa ses lèvres sur les miennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. J'avais le cœur dans la gorge. Elle me regarda de nouveau avec des yeux legerement humides,
- Maintenant J'ai envie de profiter pleinement de ce moment avec vous !
- Ne pensez plus a personne d'autre ! Je vous veux pour moi ! rien que pour moi ! entierement !
C'est elle qui commença à me deshabiller. Ses mains cherchaient les boutons de ma chemise, tandis que je m’affairai sur la fermeture éclair de sa robe. Pendant que je l’admirai, elle m'enleva ma chemise et une fois torse nu s’approcha à nouveau de moi. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser les seins. Elle m’intimidait toujours autant. J'aurais aimé savoir ce qu’elle aimait, pour être sûr de ne pas commettre d’erreur, mais tout dans son attitude montrait que peu de choses l’auraient troublée en cet instant. Elle m'invita à l'effeuiller doucement. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis elle me fit doucement reculer jusqu’au lit ou elle s'allongea en m'entrainant avec elle, je m’installai entre ses jambes, tout en la caressant, explorant son corps, chaque centimètre carré de sa peau si douce. Elle se pencha sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Notre baiser fut long et humide.
Allongée sur le lit, jambes écartées, offerte, elle me tendit la main pour que je vienne à elle. Tout en me fouillant l'intérieur du palais de sa langue experte, elle glissa sa main plus bas vers mes reliefs qui prenaient une ampleur insolente. Avec beaucoup de douceur elle me caressa la partie la plus intime de mon corps ce qui n'ameliora pas mon état. Nous restâmes un moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, elle releva sa fine combinaison de soie qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce corps si proche de moi. Elle se caressa les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Puis elle s'empara une nouvelle fois de ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, elle écarta ses jambes, m'agrippa alors la main et la dirigea vers ses tresors intimes
- Vous sentez? ... comme je suis humide et toute ouverte !
Je commençais à caresser ses lèvres intimes, en accompagnant mes caresses de petites incursions appuyées, puis je la sentis se saisir de ma main pour l'immobiliser.
- Maintenant, j'ai envie que vous veniez ! J'ai envie de vous sentir dans mon corps !
lorsqu'elle se rapprocha de moi, ses yeux se plongèrent dans les miens en une supplique ravageuse. Nos lèvres se trouvèrent d'abord avec douceur, puis s'entrouvrirent et nos langues se mêlèrent. Nos mains se mirent ensuite de la partie, nous caressant, nous palpant avec urgence. nous étions fébriles dans les bras l'un de l'autre. nous regardions nos corps, goûtions notre peau par de nombreux baisers lorsqu'elle s'ecarta, puis s'allongea à mes cotes, en s'ouvrant toute grande, ses yeux dans les miens en signe d'appel,
- Vous venez ?
Ce n'était plus une suggestion, c'était une injonction, je n'osai l'esperer si vite.