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jeudi 28 novembre 2024 - 10h19rech / rep
06-hfmektoub-my-love-canto-uno

06-hfmektoub-my-love-canto-uno
(taille reelle)
une reaction physiologique ()
Sa voix était chaude et un peu rauque. Ses seins lourds se devinaient sous un décolleté insolent, les pointes se détachaient en relief sous le tissu du chemisier. J'étais litteralement figé, paralysé. Elle le remarqua immediatement,
- Ils sont à ton goût ?
J’eu l’impression de manquer d’air tout à coup.
- Tu peux les caresser si le cœur t'en dit.
Je tentai de me ressaisir. Elle se pencha vers moi, posa ma main sur son sein, je m’étranglai en respirant son parfum. Je sentais la chaleur de son corps. Elle se colla et m’enlaça ... puis me tendit ses lèvres. Je tentai de resister mais plus bas, mon désir montait, presque douloureux, c'en était presque indecent.
- Dis moi ... je sens quelque chose de tout dur !
Gené, je cherchais à detourner le sujet en evoquant un phenomene physiologique
- Comment ça, une reaction physiologique ? C'est quoi une reaction physiologique ?
Elle se colla à moi. Je sentis ses seins s’écraser sur mon torse, un baiser sur mon cou et une main en train de jauger délicatement le relief de mon pantalon
- Dis moi , ta réaction physiologique s’est encore développée !
J'avais le corps en feu.
- Cool ! Vas-y, laisses-toi aller, la vie est belle.
J'avais du mal à garder une contenance et mon embarras sembla l'amuser
- Je sens ton regard et ça m’excite me lance-t'elle en se caressant un sein à travers son chemisier
- Ta reaction physiologique me perturbe !
- mes seins grossissent et mes pointes durcissent quand je vois ça ! ...
- Je ne peux pas te laisser comme ça ...

la suite ...

- Tu me laisse faire ? ...
Et d’un geste très naturel, elle défit ma braguette et extirpa mon sexe douloureux. elle se pencha, saisit mon sexe, l’avala tout entier puis le suça avec methode. Dieu que c’était bon ! Je me raidis sous la caresse J’avais l’impression que mon âme était aspirée par sa bouche. Le plaisir monta rapidement, monta jusqu’au jaillissement dans une telle jouissance que j’en eu des éblouissements lumineux. Elle se redressa d’un petit air satisfait.
- Te voilà soulagé ?
Je sentis alors un pied nu chercher le mien je m’abandonnais à la caresse. elle se colla contre moi, m’enlaca et se frotta à moi doucement. Sa main toucha la bosse de mon pantalon.
- Hé Paul, tu sais quoi, il y a ton érection qui t’as repris.

Elle commence à me masturber tout en continuant à se frotter dans moi. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire bander comme un taureau. Elle se colle à moi, par devant cette fois, elle m’enlace et m'embrasse, nos langues se mêlent et mon esprit s’emballe. Mon pantalon tiré vers le bas, elle se déshabille devant moi. soutien-gorge et petite culotte sur le parquet, puis m’entraîne et me pousse sur le lit. Ses longs cheveux noirs retombent sur ses épaules. Les seins pourtant lourds se dressent fièrement. Elle s’allonge sur moi, commence à se frotter ravivant mon désir. Je l’enlace. Quelques frottis frotta puis je sens mon sexe aspiré en elle. Je la penetre, elle m'engloutit. Cette fois notre union dure longtemps, longtemps. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi

Je me reveille le lendemain matin, elle est là dans l'embrasure de la porte Elle porte une nuisette noire qui ne cache pas grand chose. Elle est là debout, passivement provoquante. Ses yeux me sourient, ses seins palpitent doucement sous la nuisette.
- Dis-moi, j'ai encore faim !
Je suis litteralement aimanté vers elle. Je me colle à elle. Je palpe un sein. J’en lèche longuement le bout jusqu’à ce qu’il se redresse, puis passe à l’autre. Elle se laisse glisser sur le sol. Je remonte doucement tout en l’embrassant le long de son corps jusqu’à la pénétrer d’un seul coup. Je reste un moment immobile, enfoncé au maximum et nous savourons la sensation de sentir l’autre. Alors doucement je me retire puis reviens, encore, et encore, de plus en plus vite. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre. Nous avons fait l'amour pendant trois jours !