Une ondine, seule, troublante, et entièrement nue dans l'eau claire de la grande piscine de l'hotel. Cheveux blonds, des beaux seins, ronds et souples qui flottent nus entre deux eaux, libres de tout maillot, Des courbes ondulantes dans les reflets liquides. Elle doit avoir 20 ans, une peau lisse, délicatement bronzée. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies. Elle provoque mon émoi, je bande sans détour, elle le voit. Les derniers baigneurs sont partis. Nous restons seuls, face à face. Elle me nargue
subitement, elle se rapproche, prend mes lèvres et me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes. Je sens alors sa main frôler mon maillot de bain qui a doublé de volume. Elle sourit et sans attendre de reponse, elle repose ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande ... à la limite de l'indécence. Elle s'en rend compte, me regarde fixement avec un léger sourire gourmand et plaque son ventre et le frotte contre mon maillot. Elle palpe sans pudeur mes reliefs, durs comme du bois.
- C'est pour moi tout ça ?
Cette belle plante a des formes à faire bander tout un monastere. Je suis toujours contre elle dans la piscine, elle me colle litteralement. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies qui me provoquent. Je me mets à bander sans détour. Elle se colle alors franchement contre moi. Je bande maintenant comme un cheval, ça a l'air de lui plaire. et déjà elle me pétrit le sexe à pleines mains. Je me mets à petrir ses seins, fermes et opulents. Je n'ai dés lors qu'une hâte, celle de me planter dans son ventre. Elle est si mouillée que je sens sa toison trempée collée contre sa peau. Je prends sa merveilleuse poitrine. Je la palpe de plus belle en bandant comme un ours. Elle fait aller et venir son bassin sur mon ventre, ses seins me narguent, je bande douloureusement. Elle branle mon mat, et d'un coup, se l'enfile dans ses chairs. J'ai a peine le temps de realiser ce qui se passe,
- Ne dis rien ! Et profite ! Prends ton plaisir !
Je ne me fais pas prier. Je m'enfonce en elle, je me sens aspiré, avalé, suçé, absorbé. Je glisse dans son ventre chaud, une pénétration franche, un rythme lent au début. Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux. Elle soupire, la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les bourses. Avec dextérité elle coulisse sur moi, je m'enfonçe voluptueusement en elle allant et venant lentement la faisant glisser le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté absolue épouse parfaitement son vagin étroit. Elle me va comme un gant, mon sexe coulisse dans son ventre avec de delicieux bruits de succion. Elle finit par engloutir mon membre sauvagement , je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, Tout en se frottant à moi, elle accélére sans cesse le rythme, Elle grogne, elle va venir… Des spasmes secouent soudain son corps, je sens sa mouille à nouveau couler. Et elle jouit ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle me conduit au bord de l'explosion et s'arrête juste à temps
- Et maintenant ... Lache toi ! Viens !
Nous accélérons. Elle grogne de plus en plus, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps. J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je me lache. Rendu au point extrême où tous les sens explosent, en son trou, offert, je me répands enfin en une apothéose …Je libére ma sève et lui remplit le ventre, abondamment. Elle me sourit,
- J'ai encore faim !
En moins de deux minutes, ma bandaison est repartie ! Je m'exécute et me glisse de nouveau en elle. Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre. Mon sexe se deploie dans son ventre, horizontal, dur, gonflé et brûlant. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre…
Puis elle se relève, prend ses affaires sort de la piscine au moment
- Tu me rejoins sous la douche ?