Elle est là devant moi, un beau corps de femme, sensuelle, ensorcelante, elle me fixe, elle me provoque ...
Elle est là devant moi, elle me fixe, elle me provoque, un beau corps de femme. sensuelle, ensorcelante. Ses seins sont beaux et pointent vers moi, mon corps s'émeut. Elle s'en rend compte. Elle me regarde droit dans les yeux. Je la fixe moi aussi. Elle me devine. Elle a compris. Sourires, connivence, un plissement de paupière. Je me rapproche, discrètement, elle me laisse venir. Prise de contact. Marché conclu. Elle m'invite alors à à la suivre à l'etage de ce petit hotel. Je la suis. Elle me prend la main, m'entraine dans une petite chambre coquette et ferme la clé derrière nous. Nous sommes face à face. Regards intenses. Tout en me fixant avec des yeux humides, elle glisse ses mains sur ma chemise et sous ma veste qu'elle ecarte doucement, mes doigts la touchent, la palpent, au plus pressé, l'explorent, glissent sous sa robe, soulèvent et s'immiscent sous de fins dessous, elle agrippe mes épaules de ses mains douces, je l’embrasse, nos langues se rejoignent, mes mains glissent plus bas et l'agrippent par les fesses. Elle plonge ma main dans mon pantalon, me teste, me branle, je plonge la mienne sur ses lèvres, déjà ouvertes et humides Elle me fixe dans les yeux. son regard est vitreux. Je bande. Une couleur légèrement ambrée. Ses seins sont splendides, je les petris, j'apprecie leur souplesse. Elle reprends le branle. Mes doigts palpent sa vulve. Tendresse et sauvagerie mêlée. Je deguste ses rondeurs, ma main gauche sur son sein. l'autre sous l'élastique de sa fine culotte que j écarte et qui tombe, mon pantalon qu'elle ouvre dans la foulée. Mon sexe, énorme, bien bandé et droit, se déploie, se lève entre ses cuisses chaudes. Elle enroule sa robe jusque sous ses bras. Elle m'offre son corps. Elle est humide et grande ouverte, Elle relève sa jambe, elle me guide et, sans attendre, elle m'aspire en elle. Je glisse, je m'enfonce dans ses chairs humides et chaudes, elle m'aspire en elle, je m'engloutis dans son doux nid. C'est un soyeux intense, le charnel infini. Je suis aux anges. Son paradis moite qui ouvre grand ses portes. Soupirs, râles, encouragements. Je vais et je viens, je glisse et coulisse entre ses tendres muqueuses, et encore et encore. Ses mains agrippent mes hanches. Je m'extrais puis m’enfonçe à nouveau, tantôt lentement, tantôt plus rapidement. Elle gémit, de plus en plus. Je râle, de plus en plus fort, je me donne, elle se donne, elle en veut plus. Elle me tire vers elle, je pétris son sein, doucement, puis plus fort. Je la baise ardemment, sauvagement. Le sang monte, je m'engoufre dans son ventre, profondeur abyssale. Elle jouit dans mes bras. Mon sexe gonfle, durcit et s'allonge encore en elle, je vais jouir, je me contracte, me fige, un cri rauque, je me tend .... puis me lache dans son ventre, une humeur abondante, bien blanche qui coule et déborde sur ses cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tends mes muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà. Elle me tend un kleenex. Je retire le préservatif et regarde son corps une dernière fois. Elle remets sa robe, range ses affaires. Je range mon sexe. Elle me sourit et m'embrasse.
- C'était bon ! ... tu as aimé ? ... Tu reviens quand tu veux !