Je venais de jouir en elle. Elle avait joui aussi, avec moi, c'était une brûlure douce. Mon sperme chaud s'écoulait hors de son ventre, sur ses cuisses, sur les draps. Elle semblait repue, nos secretions abondantes coulaient toujours entre nos jambes. Elle venait de m'offrir son ventre, dans lequel je me suis répandu en une apothéose … c’était bon. Oh oui… Que c’était bon !
- C'est ta première relation avec une femme mure ? ... ça t'a plu ? ...
J'acquiescai de bon coeur. Elle était maintenant là, blottie contre moi, les cuisses ouvertes, béante. sa toison humide me donnait le frisson. Elle était encore toute oouverte, obscène presque. Elle relèva la tête, j'étais toujours là contre elle, je la fixai à nouveau avec un regard d'envie. Je me remis à bander, sans complexe. Je remis mon sexe qui durcissait dans le sien, le poussai un peu en elle, plus loin, puis, le ressortait, une nouvelle fois .. je m'enfoncai doucement, j'écartai ses chairs rosées, je le lui mis tout au fond et fit durer le plaisir. J'accélèrai. Elle n'en pouvait plus. Elle jouissait ! et moi aussi ! Je me vidai, je n'en finissai plus de me vider en elle, ses lèvres intimes toutes ouvertes. Je prenai de nouveau mon sexe et caressai sa fente avec mon gland. Elle soupira, les yeux fermés. Et sans précipitation, je la pénétrai de nouveau. Ses chairs laissairent entrer mon sexe sans contrainte. Nous nous regardions l'un l'autre. Je recommencai à coulisser en cadence, en caressant ses flancs. Elle ferma les yeux en gémissant à chaque retour de ma verge dans son fourreau. Je m'agrippai à ses hanches. Je ressentai mon plaisir monter. Le sien aussi. Son vagin se contracta et des spasmes formidables souleverent son corps. Je continuai mon va et vient, je rugissai très fort et finis par gicler une nouvelle fois en elle.
Elle avait 40 ans, de longs cheveux blonds tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous venions de faire l'amour comme des bêtes dans son lit. Lorsque je me suis retiré d'elle, sortant ma longue verge gluante de son fourreau trempé, elle revenait lentement à la réalité, et restait là, contre moi, comme dans un rêve éveillé, s'affolant probablement de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de son corps. Nous réalisâmes alors ce que nous avions fait. Sa robe de nuit était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles. Sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de mon sperme. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, le long de ses jambes. Elle était ouverte comme jamais, chancelante, du sperme coulait sur ses cuisses et descendait jusqu'à ses pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil.
Quelle femelle ! Quel femme ! comme je les aime ! J'ai adoré son regard éperdu au moment de l'orgasme, ses râles de plaisir quand je la remplissais de moi. Elle m'irradiait de sa chaleur. Je me suis vidé dans son ventre puis ma queue s'est glissée doucement hors de sa vulve, liberant un flot de semence. Elle mit un certain temps à reprendre ses esprits. Elle semblait épuisée. J’étais aussi épuisé qu'elle. Elle me regardait sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je voyais le liquide poisseux se répandre entre ses fesses et sur ses cuisses qu'elle serrait, par pur réflexe.
Je sentais que j'aurais pu repartir pour un second service tant mon excitation était encore vive. Je lus de la reconnaissance et une pointe d'étonnement dans son regard encore trouble. J'aurais voulu rester planté en elle encore un moment, me sentir mee relacher complètement, mais je savais que c'était impossible : il ne fallait tout de même tenter le diable, et c'était miracle que nous n'ayons pas été surpris. Nous nous rhabillâmes en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, elle se glissa hors de la piece.
J'ai repensé toute la nuit à nos caresses et mes succions sur ses seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, ma verge gonflée de sève qui enflait puis giclait dans son ventre, lovée autour de sa vulve, son vagin qui me serrait convulsivement et me massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos
Elle dénoua sa robe de soie, qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce corps si proche de moi. Elle se caressa les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Puis elle posa une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, elle écarta ses jambes me laissant deviner sa vulve rose et luisante. Marthe m'agrippa alors la main et la plaqua contre sa vulve ouverte et trempée. Elle me guida, appuyant fortement ma main contre sa longue fente, et m'encourageant d'une voix rauque :
- Tu sens comme je mouille, me confia-t-elle d'une voix hachée ... à cause de toi !
Timidement, je commençais à caresser ses lèvres intimes, en accompagnant mes caresses de petites incursions appuyées.
- Oui, c'est bien, m'encouragea Marthe… là… Tu me fais du bien …
Marthe se mit à pousser des petits gémissements, Puis je sentis ses deux mains se saisir de ma main pour l'immobiliser. Agitant son bas-ventre d'avant en arrière, elle entreprit de frotter avec fougue, son sexe était de plus en plus ruisselant de sécrétion, puis elle cessa tout mouvement, s'immobilisant brusquement, tandis qu'une douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de la chambre. Au bout de quelques minutes, elle me libéra.
- Tu viens de me faire jouir délicieusement ! C'était bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire !
- Tu as envie de me faire l'amour ?
- Nous allons nous donner du plaisir tous les deux, tu veux bien ? ...