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dimanche 24 novembre 2024 - 16h37rech / rep
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(taille reelle)
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Nos corps febriles, maladroits et gauches se frottent, se trouvent, mêlés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, baisers, éperdus .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. corps à corps ... exaltation des sens, caresses ... j'ai envie de son ventre. Elle a envie de moi. Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou...

Nos corps febriles, maladroits et gauches se frottent, se trouvent, mêlés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, baisers, éperdus .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. corps à corps ... exaltation des sens, caresses ... j'ai envie de son ventre. Elle a envie de moi. Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... Je la pénètre d'un coup, profondemment, très longtemps ... le plaisir est si fort. Sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me lèche avec lenteur, me mordille les lèvres. Je la colle contre moi .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair. Elle se laisse embrasser, partout, sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule... Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs.
Je sors, je rentre, je coulisse en elle ... elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque. Accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... Je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques ... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur. Elle m'absorbe telle un poulpe. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent les cuisses merveilleusement charnelles, féminines... peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe.
Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Je me sens basculer. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge.
Sa poitrine bat avec force. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés... Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glisse, se frotte, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés. Elle s'allonge sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés.