Sa vaporeuse nuisette relevée à mi hauteur sur ses cuisses écartées, je la sentais chaude et mouillée d'excitation. Elle me guida vers elle, se cambra et d’un coup de rein, m'aspira dans son ventre, m'enfoncant jusqu’aux bourses. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud.
- Je veux te sentir bien profond !
- Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi ! Baise moi ! Avec ardeur !
Notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour assouvir nos pulsions, le contact humide entre nos peaux fievreuses, notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, Nos vetements malmenés. Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. Elle suçait, lissait mon sexe au fond de son ventre en surveillant mes réactions. Ces pénétrations affolaient nos sens. Je la sentais excitée, toute entière autour de mon mat, l'enveloppant, comme si tout son corps m'enserrait. La sensation était affolante. Je voyageai en elle. Je m'enfoncai dans son ventre, profondément, goutant ses succions intimes. Nos tempes claquaient, la chaleur monta en nous comme une sève brûlante. Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'étais bientôt sur le point de non retour. Elle râlait de plus en plus. Je me retenai .... Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle s'abandonnait, cèdait à la volupté, ne cherchait plus à se contrôler. Apres une serie d'allers et venues dans ses chairs, je butais au fond d'elle. Et très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, et commencai à me retirer pour eviter l'eruption imminente
- Non ! Reste ! ... Jouis en moi ! ... Bien au fond ! ...
De violentes secousses lui traverserent les entrailles... Elle se mit à trembler, se crisper et s'immobiliser toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. Elle clama sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent la désarçonna. Elle se cambra, comme tétanisée, se laissa emporter dans un long râle. Vingt mille volts lui remonterent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un vrai feu d’artifice. Elle se déchaîna, cria, la bouche ouverte, haletante, elle frissonna, elle trembl .....Tout son corps vibra. Elle partit ... envolée prodigieuse, elle brâmait, elle rugissait, une longue plainte sauvage, un long râle de volupté. Elle se déhanchait, se tortillait, tout en soupirant de plus en plus fort. Elle halètait bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements, la sueur lui perlait sur le front, ses cheveux noirs commençaient à lui coller aux tempes. Nos deux corps mélangés se mirent à vibrer au son de nos soupirs.
- Jouis en moi ! Vite ! bien au fond de mon ventre ! ... Je veux que tu remplisses mon vagin !
Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me crispai, me bloquai au fond de son ventre. Mon corps se tendit et vibra, je me lachai, je jaillissai dans son ventre qui m'avala, qui me but. Je me vidai, par saccades, Je m'immergeai dans son corps, je me noyais en elle. Elle m'attrapa les cheveux, me serra la tête, puis jouit longuement. et je déchargeai abondamment , en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Elle resta là devant moi, les yeux ebahis, siderée, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Puis elle s'abandonna, se livra aux flots qui l'absorbaient... Elle me repoussa un peu, laissant ma verge ressortir, entraînant le foutre qui coulait dans sa fente. Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante,
- Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que tu m'a mis !
- Jerôme, je ne me doutais pas que tu avais autant de ressources !
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi.