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jeudi 28 novembre 2024 - 10h20rech / rep
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(taille reelle)
fièvre amoureuse ()

Cinquante-cinq grammes de nylon séparés febrilement de cinquante-cinq kilos de chair tendre ...

Cinquante-cinq grammes de nylon séparés febrilement de cinquante-cinq kilos de chair tendre, Soutien gorge, paire de bas, fine combinaison, et petite culotte à dentelles, jetés, éparpillés sur le parquet, au bas du lit, nous etions desormais nus l'un contre l'autre, fous de désir, avides de nous assouvir l'un dans l'autre. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, violemment. J'ai pénètré son corps sans attendre, d'un coup. Elle m'aspira en elle avec gourmandise, ses chairs se distendaient. Je la tenais par les hanches et elle m’accompagnait. Elle mouillait de plus en plus sous mes coups, des gémissements contenus. Ses lèvres cherchaient les miennes et elle attrapa ma bouche. Elle me suppliait de la fouiller, la remplir. La sensation était puissante, suave, elle se propageait, s’éteignait, renaissait, nous étions emboités l'un dans l'autre. Je glissai en elle amplement, de plus en plus profondement, entrant et sortant de toute la longueur de mon sexe, nous approchant un peu plus du moment sublime. Ses jambes emprisonnaient mon corps et m'attiraient en elle chaque fois que je m'en éloignais. Nos deux corps comme des vagues allaient et venaient, éclaboussant les draps de sueurs, de désirs. Puis je m'enfonçai plus loin, plus profondement et plus fort. La tension alla s’amplifiant. Je me sentis gonfler et grandir dans son ventre. Elle frissonnait, elle tremblait , elle montait, irrémédiablement. En rythme, je l’agrippai, elle me suçait, me serrait, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de ses halètements. les allées et venues violentes de mon sexe dans le sien provoquerent une forte houle de sensations dans nos deux corps. Je continuai à coulisser en elle, furieusement, de plus en plus vite, mes mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux. Son plaisir s’annoncait, elle allait jouir d'un instant à l'autre, puis, tout son corps fut ébranlé, je sentis ses muscles se contracter autour de mon sexe, lui arrachant les tripes à chaque fois que je ressortais. C’était violent, le plaisir nous envahissait, balayant tout sur son passage. Tout son corps se mit à vibrer. Elle tremblait, se contractait, elle jouissait. Un gigantesque frisson se mit a l'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans sa nuque, je sentis ses muscles vaginaux se contracter sur mon sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond d'elle.
C'en était trop, je n'en pouvais plus. D’un coup de rein, je m'enfoncai au plus profond d'elle, en poussant un long râle, je m’immobilisai, je me crispai, je ahanai, les yeux rouges et exorbités. Elle enroula ses jambes autour de mes hanches, me rendant prisonnier de ses cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils..., tout mon corps se tendit, comme tétanisé. Je me raidis des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, mon corps entier bascula en avant, s'enfonçant tout au fond, gemissant très fort,je me suis figé avec un regard vitreux, et j'ai lâché mes premiers salves. J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et je giclai en elle avec toute la force et l'intensité de mon orgasme. La sensation était inimaginableable ! Je sentais mon jet liquide jaillir en elle ... une gerbe chaude qui se répandait et inondait son ventre, La seule chose qu'elle faisait était de cramponner mes fesses pour m'amener en elle le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, je sentais mon sperme chaud commencer à ressortir et couler entre ses fesses pendant que je continuai de me lâcher. Je ne pouvais pas croire que j'en avais tellement en moi.
Je retombai lourdement sur son corps, et restait affalé sur elle, amorphe... je l'avais remplie. Ses hanches ont recommencé à onduler contre moi sans qu'elle cherche à les contrôler. J'eu alors eu un dernier orgasme intense. Alors que les décharges faiblissaient, elle restait étendue là, comme dans un rêve éveillé, s'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de son corps. puis je m’immobilisai au fond de son ventre, pressé entre ses muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Je jouissai encore en elle. Elle jouissait aussi, une douce brûlure.