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jeudi 28 novembre 2024 - 10h18rech / rep
-06hf-voit

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(taille reelle)
Mme la baronne ()

je sentis sa main prendre doucement la mienne, et la guider vers elle ...

C’était une chaude journée d’été, sans brise. Nous roulions depuis une vingtaine de minutes. Le ciel était noir, dégagé, la lune était pleine. Moi, la chemise ouverte. Elle, les cheveux soigneusement arrangés sous un vaste chapeau, sa robe d’été legerement transparente, rabattue sur d'admirables cuisses. Gardant ma main gauche sur l'accoudoir, l'autre sans vraiment m'en rendre compte, effleurait sa cuisse, la caressai doucement. Le constatant avec malice, elle me souria, se décala un peu pour se rapprocher de moi, mon souffle devint un peu plus court. Tandis qu'elle me regardait avec une intensité inhabituelle, je sentis sa main prendre doucement la mienne, et la guider vers elle, sur sa jambe, un moment, puis plus loin, entre ses deux jambes,

Je m'aventure, je glisse une main moite et tremblante. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu, j'ai l'impression que sa poitrine gonfle sous son décolleté. Ma main s'égare sur la cuisse, encore couverte du tissu soyeux d'une douce combinaison, nouvelle barrière infranchissable ... Puis ma main avance, cavalière, indiscrète, trop rapide peut-être, trop pressée, trop empressée ... elle glisse dejà sous sa robe, vers des endroits plus secrets, elle me suggere alors de manière on ne peux plus explicite, de poursuivre plus avant cette tendre intrusion. Ma main glisse sous le tissu, au contact de sa peau douce ... et chaude. Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Mes doigts tentent d'épouser la forme ... le tissu gêne, les cuisses s'écartent, se resserrent sur ma main... qui reste prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent de nouveau, un premier soupir, une vague de désir.

Mes mouvement se font legers, puis de plus en plus precis, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, ses cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, encourageant sans detour mes douces incursions. Oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait, elle semblait apprecier ce traitement. Prise d'une serie de legers spasmes, elle exprima sa jouissance dans un râle long. Elle s'agrippa à moi, serrant ses cuisses sur ma main, son entre-jambe suait d’excitation… Je me penchai vers elle et l'intensité de son parfum mêlé à son odeur de femme m’excitait moi aussi de plus en plus. Comme mes mains remontaient le long de son entrejambes, sous sa jupe à la recherche d’autres endroits plus intimes, elle agita son bassin, elle glissa une main entre mes jambes et testa ma vigueur devenue insolente. j'étais mur ... et elle aussi. Desormais, j'en voulais plus, elle en voulait plus, et elle me le fit comprendre.
- je connais un petit hotel à deux pas d'ici ! ... Qu'en dites-vous ? ...
Nous primes congé du chauffeur au bas de l'hotel.

la suite ...

A peine la porte de la chambre refermée, elle m'attira à elle violement en me fixant avec un sourire carnassier. Elle approcha son visage du mien. Je ne me fis pas prier. Le baiser fut long ... et profond. Elle s'agrippa à mon cou, tandis que mes mains exploraient son corps. Je l'embrassai fiévreusement. Son souffle s'accelerait. Je glissai ma main sous sa robe, elle glissa les siennes sous ma chemise, je m'immiscai sous la fine dentelle, sur la peau douce de ses seins. Je lui mordais doucement le cou. Je glissai ma main dans son corsage entrouvert. Elle ne portait pas de soutien gorge et j'en profitai. Elle deboutonna ma chemise tandis que sa robe tombait en corolle à ses pieds, puis sa fine combinaison, je degraphai febrilement son soutien-gorge, ses légers dessous tomberent à terre à leur tour. Mon torse reçut ses seins qui se déformerent contre ma peau. Elle défit ma ceinture et glissa une main dans mon pantalon. Le sexe devenait énorme. Elle le dégagea et le prit en main. Il était brûlant, je le sentais palpiter. Je saisissai ses deux seins qui durcirent sous mes doigts. Elle s'allongea à demi-nue sur le lit. Elle écarta les jambes, en me lançant un regard rempli d'impatience,
- Je vous en prie ! ... Venez vite !
Je m'allongeai sur elle. Elle ferma les yeux .... et je la pénètrai d’un coup, lui arrachant un interminable Aaaaaah. Je m'enfoncai dans ses chairs. Penetration divine. Sensation d'une suavité infinie. Son ventre était chaud. Il m’enserrait, me pressait. Elle croisa et resserra ses jambes derriere mon dos pour m'attirer au plus profond d'elle. Son intérieur était si humide que je touchai le fond à chacun de mes va-et-vient. elle s’offrait à moi sans retenue. Mon membre palpitait dans son ventre, puis elle fut secouée de spasmes. Je m'enfoncai un peu plus, m'extrayai, puis revenai, j'accélèrai. Peu à peu, les plaintes se transformerent en gémissements moins équivoques. Je me frottai contre elle, mon bassin contre le sien. Je bandai sans complexe dans son ventre, elle le sentait, ça lui plaisait. Elle gémissait de nouveau, elle se donnait totalement. Elle poussa un long soupir de plaisir quand je la pénètrai tout au fond, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guettait. Je coulissai en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée de ses lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau. Je voyais ses prunelles bleues s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. La vibration devint communion, les deux corps ne faisaient plus qu’un, les chairs étaient en fusion, les fluides et les odeurs se mélangaient. Elle ondulait toujours de la croupe, Son apparent désarroi décupla mon excitation. la sensation de mon sexe qui travaillait en elle, le clapotis indecent de nos va et viens annoncerent une jouissance proche. Je la besognai vigoureusement, je me déchaînai sans ménagements tandis qu'elle se mit à crier de plus en plus.
Et soudain, elle se redressa, à moitié accroupie sur moi, se mit à jouir, deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclencha chez elle une jouissance instantanée. Fin du concert. Nous nous affalâmes l'un sur l'autre, vidés de toutes substances. Nos peaux moites, nos respiration haletantes. Elle me supplia de rester
- restez ! ... j'ai encore faim !
Elle m'offrait son corps une nouvelle fois, et me le fit comprendre dans la position la plus adequate. Je suis revenu tout naturellement en elle. Elle entoura de nouveau mon mâle appendice de son ventre brûlant. Elle se soulèva un peu et je me glissai à nouveau dans ses chairs accueillantes, les yeux à moitié fermés, elle s'agita un peu plus, mon sexe se tendit et s'allongea rapidement dans ses chairs. Elle voulait encore profiter pleinement de ce moment fou, sans restriction, ni excès. Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait. De ses muqueuses, elle me suçait, m’aspirait, me tirait, me poussait, s'appliquait, en jouant de mon corps pour que je puisse mieux venir me perdre au plus profond d'elle. Ses seins lourds et mobiles se mirent à ballotter librement. Je les empoignai et les palpai de mes deux mains, puis serrai mes deux fesses pour bien me planter au fond d'elle. Mon corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Elle s’empalait maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, me suppliant de jouir vite en elle, ce que je fis bien volontiers.