arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
jeudi 28 novembre 2024 - 10h15rech / rep
gpe-trio-hfh-prty-00-140 copie

gpe-trio-hfh-prty-00-140 copie
(taille reelle)
basic instinct ()
il s’est approché de moi, je me laissais faire. Il a commencé à me caresser, les bras, les hanches. Puis j'ai senti sa main devenir plus audacieuse. Je tentais doucement de le repousser. Je n'avais pas prévu de succomber si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même approcher ses lèvres au contact des miennes. Cétait un beau mâle, plutôt bien bâti. Le désir, intense, envahissait mon corps, en prenait possession. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. J’entrouvrais à peine la bouche, il en profita pour glisser ses levres contre les miennes. Je tremblais comme une feuille. Je n'étais pas encore décidée.
Nos visages se sont rapprochés, il prit doucement et mordilla ma lèvre inferieure. Puis Sa langue s'insinua et s'enroula autour de la mienne. Ma salive se mêlait à la sienne. Puis il commença à relever ma robe, exposant mon ventre. Je cherchais à retirer ses mains qui se faisaient de plus en plus pressantes. Mais il s’imposa, fort, viril, dominant. Je feignais de résister, mais sa manière à lui de me contrôler, de me soumettre à lui, m’excitait bien plus que je ne le pensais et je finis par me laisser aller. J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Mon coeur lâchait Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais encore.
C'est alors que j'ai senti sa main chaude glisser sous mes dessous et me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord le bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce, puis, plus bas, des endroits plus intimes. Je sentis une main s'immiscer entre mes cuisses trempées, m'explorer, me penetrer, je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue… je ne savais plus ce que je voulais. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. C'était vraiment bon. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter le plaisir. Je guettais toutes les sensations de mon corps. Je sentais sa virilité s'affermir et se lever contre moi. Il bandait ... et j'en étais la cause. Je mouillais abondement. Il m'excitait de plus en plus et je commencai à repondre à ses avances subtiles. A présent, c'est clair, je le désirais. Je le désirais de plus en plus fort. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais à lui. Je le voulais. Je le voulais à moi, je le voulais en moi. Je voulais que ses mains me dominent, me caressent, me fasse jouir. Il prit mes seins en main, les palpa, les tritura, Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus. J'avais abdiqué.

J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par l'envie, par le désir. Il était impressionnant. Il était contre moi en pleine érection. Mon corps frissonnait. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. Je réalisai l’effet que me faisait cet homme en train de bander sans retenue contre moi. Mes jambes tremblaient. Mon cœur battait à la chamade et ma respiration saccadée. J'étais en chaleur, je mouillais abondement qu point que je sentais l'intérieur de mes cuisses.....glisser l'une contre l'autre..... J'étais sexuellement à bout. Mon cœur battait à tout rompre, mon estomac se nouait.. Mes seins me faisaient mal... Je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, pincer. Je sentais mon jus couler entre mes cuisses, mouillant mes dessous de soie. Je ne pouvais détacher ma pensée de son membre erigé qui m'attirait comme un papillon la lumière. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi.
Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Quittant toute convenance, Je me laissais aller à tester de la main une virilité impressionante. Je la pris en main et elle continua à grandir et grossir sous mes tactiles caresses. Le sexe devenait énorme. Je tremblais .... Sans m'en rendre compte, je le masturbai sans vergogne. Je sentais la chaleur de ses jambes contre mes cuisses. Mon corps était secoué de frissons incontrôlables. il m'excitait terriblement. Mon corps ne m'appartenait plus. Je cambrai le dos… Je sentais maintenant sa queue, qu'il avait liberée, frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Sa langue continuait un mouvement circulaire avec la mienne tandis qu'il continuait à flatter mes seins, excitant les pointes. Je sentais sa salive sur ma peau. Je fermais les yeux, vivant chacun de ses mouvement, de ses attouchement. Il laissa mon sein, me poussa doucement au fond de la salle. Je fermai les yeux. Sa main descendit de nouveau, faisant frissonner ma chair, Mes cuisses s’entrouvrirent légèrement, lui permettant de glisser son index à l’intérieur de moi. D’un mouvement à peine perceptible, j’écartai les cuisses un peu plus. Il me branlait lentement, doucement. J'avançais mon bassin. Son sexe enorme était maintenant contre moi. Son gland, rouge vif, luisant, prêt à faire son oeuvre.
Je voulais maintenant qu'il vienne sans attendre. Je sentis alors son sexe venir naturellement au contact de mes grandes lèvres trempées. C'est alors que je l'ai senti ! Il s'enfonca en moi, d'un coup il me penetra puissement, profondement, et je ne faisais rien pour l'en empêcher, je resserrais mes jambes, et cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentis son membre s'allonger et grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler.
Je le sentais bestial, animal, il entrait en moi et ressortait, violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je gemissais de plaisir, de douleur, de désir. J'avais de plus en plus chaud, j'étais bouillante. Je ne pouvais que donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait a la jouissance. Il entrait et ressortait, s'enfoncant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit en moi, me remplissant complètement. Mon excitation était à son comble Je recommencai à gémir du bout des lèvres, et je sentis son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps. J'explosai avec ce qui devait être le premier orgasme de cette soirée.
Lorsque je récupérai un peu, je réalisai que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Je gémissai de plus en plus bruyamment pendant qu'il coulissait au fond de moi. C'était terriblement agreable de sentir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, je sentis alors mon deuxième orgasme qui commençai à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir tandis qu'il râlait de plus en plus fort contre moi. Je réalisai alors qu'il était sur le point de venir aussi.
Et il arriva !.... Son corps entier bascula en avant, se contracta, se figea. Il se mit à gemir très fort et lâcha ses premiers salves au fond de mon ventre. Il jouissait en moi ! J'étais au bord de l'extase absolue. J'essayai de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tennaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Mes hanches recommencaient à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'enroulais mes jambes autour de sa taille et l'attirai encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je sentais la chaleur de son sperme tapissant les profondeurs de mon corps. Je restais là, affaissée contre lui, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi.

Quand je revins à la réalité, je réalisai alors ce que nous avions fait. Je regardai entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commença a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommencait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrassa très doucement et recommenca à lécher doucement mes mamelons. Je sentais que son membre recommençai à durcir encore. Mes hanches recommencaient à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il libéra mes mains et nous recommençames ce qui s'avéra être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous restames longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. Je soulèvai ma tête et je commencai à sucer les mamelons sur son torse lorsque je me rendis compte qu'il voulait jouir encore. Il me sourit, m'embrassa, et accéléra son rythme.
Sa grosse queue se raidit de nouveau, et je le sentis une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance. Le resultat ne tarda pas, il finit par se bloquer au fond de moi et je le sentis ... tirer un chargement incroyable de son sperme tout au fond de mon vagin, je poussai mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.
Lorsque, finalement, il se retira, il glissa lentement hors de moi, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me redressai lentement sur mes coudes et je regardai vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma combinaison était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune, toute humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, j'étais ouverte comme jamais.