Ils m'ont carressée, mille fois, laissant libre cours à leurs inconscients. Regards troublés, désirs naissants, ils me sentaient à la fois proche et rebelle, une main sur ma taille, chaude caresse, et leur rêve qui prend forme, comment m'ensorceler me faire leur. Je suis belle. Où sont mes failles...? Je les avais, ce jour là, mis en transe, de ma souplesse sensuelle, de mon décolleté offert à leurs yeux gourmands, car leurs yeux, d'une même lueur ont lui: Moi, cette femme si désirable, ils allaient m'aimer. De concert, en symbiose, d'une même flamme, d'une même tendresse, des mêmes caresses ! Pour me porter au pinacle, (Cyr)
Pour l'un j'e suis l'acquise, pour l'autre l'insoumise. Le brun est impudique Le blond est angélique, mais les deux sont phalliques Comme deux soleils magiques, et tous les deux m'ont prise, et bien qu'ils soient ardents, j'ai comme le sentiment que j'ai tout le temps pour ces deux amants, car j'aime, un point c'est tout, Peut être un point de trop, mais au fond je m'en fous J'ai l'amour qu'il me faut. Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour, et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour.
Je sens dans mon ventre leurs deux sexes qui entrent, et sortent, et se frottent l'un contre l'autre en ma chair et mon sang. Bon sang Que c'est bon ! Je m'y vautre dans cette jouissance. Joyeusement je m'empâle sur leurs pieux, l'un devant l'autre derriere, et je les sens s'activer dans mon ventre de concert pour bientôt me faire jouir dans cette symphonie du plaisir !
Ils se pressent contre moi, émus, tremblant beaucoup, ils me mangent de baisers en me serrant le cou, tandis que grave et fière, et sans trouble, et sans crainte, muette, je tends la joue à leur étreinte. (Guy de Maupassant)
Lentement, ils jouent de mon corps, éveillant au désir, le grain de ma peau, caressant mes seins avec douceur, me faisant découvrir mille plaisirs, m'incitant à l'impudeur, Me forçant sans douleurs, allant et venant, m'oubliant, pour mieux me faire vibrer, et revenir en vainqueurs, pour enfin, me faire partir... Sous leurs doigts musiciens... (BB)
Transcendée dans un mélange De douleur et de plaisir, je me retrouve aux anges par les coups de reins de l'un qui s'aventure dans mes profondeurs, et l'autre qui vole soupirs et cris, tant la promenade de son ami lui fait voir mille couleurs. Alors je suce et aspire leurs boules, leurs glands et leurs pénis tout entiers ! A chaque passage sur mon clitoris, un frisson de délice. Lui parcours mon échine et me rend plus que jamais... féline !
En une galipette je présente ma douce ornière. Devant cet appel à la fête, lui, large et bien bandé, s'introduit et glisse au plus profond de ma sombre marée, et dans un cri comblé je reçois en ma vulve ouverte de Marc bien inspiré, la queue prestement offerte. Une fois leurs deux tiges dans ma chaude chair, alternativement, et même, parfois, de concert, léchée, sucée, branlée Jusqu'à satiété ! De hi de han en va en viens, mes deux amants font le plein dans ce corps qui en souplesse ondule entre deux pistons : L'un qui m'encule et l'autre, qui dans mon ventre fond.
Sur ma peau douce… caresses et passes, leurs sexes face à face, se glissent et s’effacent, se faufilent… Ça glisse…et coule ... fesses impasses… petite mort lasse… bouches et lèvres tracent et tissent un fil de délices sur la peau douce et lisse… Ca y est ! Ils jouissent. (Prune)