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jeudi 28 novembre 2024 - 09h58rech / rep
17-cote

17-cote
(taille reelle)
chez lui ()
Il m'avait entrainée chez lui, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments ardents. Il était venu près de moi, j'ai senti à un moment ses mains venir discretement sur mes hanches et j'ai senti alors son souffle chaud dans mon cou. C'était un bel homme, seduisant, plutôt bien bâti. Il était beau, viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. Il était aussi très tendre, comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je n'avais pourtant pas prévu d'abdiquer si vite. Malgré tout, quelque chose m'attirait vers lui, et je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Il était en train de m'attirer dans ses filets et j'y allais naturellement. En fait, je le désirais de plus en plus fort. je le désirais ardemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Il savait me ménager. Je retournais instinctivement la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me prenne, qu'il m'enlace de ses douces caresses. Mon corps tout entier était là pour l'encourager à poursuivre. Ses mains étaient longues et fines, elles étaient chaudes, J'aimais ses caresses, le plaisir qu’elles me donnaient. Elles étaient presque trop sages. Je voulais les toucher, sucer chacune de ses phalanges, les soumettre enfin à mon plaisir, les guider sur mon corps, les accueillir pour qu'elles se perdent dans mon écrin. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Je pressentai qu'il me voulait et, de plus en plus, je le voulais moi aussi.

Une fois refugiés dans la chambre, tout s'est passé très vite, j'étais soûle d'amour, nous nous dehabillâmes, avec febrilité. Nous nous allongeames, nus sur le lit, et, tout naturellement, il m'a recouvert de son corps, il est venu sur moi, m'a recouvert de caresses, puis il est venu en moi, doucement, tendrement, comme une onde joyeuse et tendre qui se propageait dans mon corps. Je voyais dans ses yeux le soleil, les etoiles. Je m'agrippais à sa taille. Je ne l'entendais plus, je voyais le mouvement de ses lèvres, de sa bouche, de ses doigts. Un feu me ravageait l'intérieur, j'ai passé mes doigts sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner, il m'a devinée ... il s'est glissé un peu plus en moi, de plus en plus profondement, allant et venant dans ma chair avec délice, ses mains sur mes seins chauds, nos corps se mêlerent. Je l'aspirai en moi, doucement, interminablement. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens. Je m’offrais à son plaisir, à mon plaisir, sensation délicieuse, affolante. Il était en moi, et plus rien ne comptait. Pendant quelques secondes nous restions immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre. Je lui souriais et me penchais vers ses lèvres, savourant mes propres sensations comme les siennes. Je le sentais palpiter dans mon ventre. Mes moiteurs intimes l'enveloppaient. Tout mon corps l'encourageait.

Je fus secouée alors d'un premier spasme annonciateur de jouissances imminentes. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Il s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. C'était comme une vague qui m'emportait.

Puis, je l'ai senti venir, je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Il s'arrêta net et crispa son regard. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahirent au même moment. Une ultime envolée, au milieu des nuages, j'avalai ses cris, mêlés d'agonisantes plaintes, nos corps furent agités par de violents frissons, Nous nous contrôlions plus ... il se lâcha et se rependit dans mon corps, jaillissante osmose, en une vive et abondante apothéose, comme foudroyé au sein du ciel bleu. J'ai senti un flot liberateur me remplir. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. J'en gémissais de bonheur. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de mon delicieux amant. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps amoureux.

Il s'effondra sur moi en me couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relacherent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être. Nous nous nous sommes serrés l'un contre l'autre dans une étreinte sensuelle, tendre et langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre. Nous nous sommes aimés, toute la nuit, sans restrictions.

Il fut total, secret, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et pris sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. il me fit decouvrir en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offris ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était beau, vigoureux, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Il est devenu cette nuit-là mon merveilleux amour !