Dans un véritable feu d'artifice, il déchargeait à longs traits dans mon ventre chaud. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant son sperme abondant au plus profond de mon ventre. Je me laissai emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de mon mâle. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés, lui aussi totalement vidé et anéanti. Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes.
Il déchargeait encore en moi, plus faiblement, me provoquant encore quelques spasmes. Je serrai son sexe bandé entre mes muqueuses gourmandes. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Je m'abandonnai à lui dans un long râle de volupté. Puis il se retira de moi, un peu, entra de nouveau, s’arrêta, et m'envoya une derniere giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougea plus.
Il resta là, affalé contre moi, sa queue toujours en moi, Je le repoussai doucement, je le laissai glisser hors de moi. Sa verge ressortit, dans un indecent bruit de succion, entraînant le foutre qui coulait dans ma fente. Sa queue glisse hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J'étais aussi épuisée que lui.
Je m'abandonnai, me livrai aux flots qui m'absorbaient... Il s'abîma, sombre, s'anéantit... milles bulles éclataient. Nous nous regardames sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là
Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer le corps masculin devenu trop lourd, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement