Alors que les décharges faiblissaient, il retomba lourdement sur moi, affalé, amorphe... il m'avait remplie. je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, affolée par la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. Il jouissait encore en moi par de legers soubresauts. Je jouissais aussi, une douce brûlure. puis il s’immobilisa au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Nous sommes restés ainsi un moment, l'un dans l'autre, enlaces, nos sexes emboités,
Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.