je sentis sa main prendre doucement la mienne, et la guider vers elle ...
C’était une chaude journée d’été, sans brise. Nous roulions depuis une vingtaine de minutes. Le ciel était noir, dégagé, la lune était pleine. Moi, la chemise ouverte. Elle, les cheveux soigneusement arrangés sous un vaste chapeau, sa robe d’été legerement transparente, rabattue sur d'admirables cuisses. Gardant ma main gauche sur l'accoudoir, l'autre sans vraiment m'en rendre compte, effleurait sa cuisse, la caressai doucement. Le constatant avec malice, elle me souria, se décala un peu pour se rapprocher de moi, mon souffle devint un peu plus court. Tandis qu'elle me regardait avec une intensité inhabituelle, je sentis sa main prendre doucement la mienne, et la guider vers elle, sur sa jambe, puis plus loin, entre ses deux jambes, puis sous sa robe, vers des endroits plus secrets, me suggerant même de manière on ne peux plus explicite, de poursuivre plus avant cette tendre intrusion. Je m'executai aussitôt, debutant mes caresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, ses cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, encourageant sans detour mes douces incursions. Oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait, elle semblait ne pas pouvoir tenir longtemps à ce traitement. Prise d'une serie de legers spasmes, elle exprima sa jouissance dans un râle long. Elle s'agrippa à moi, serrant ses cuisses sur ma main, je n’en pouvais plus, elle non plus. Elle avait chaud, son entre-jambe suait d’excitation… Je lui mordais doucement le cou. Je glissai ma main dans son corsage entrouvert. Elle ne portait pas de soutien gorge et j'en profitai. Je me penchai vers elle et l'intensité de son parfum mêlé à son odeur de femme m’excitait moi aussi de plus en plus. Au travers de sa robe, elle devait me sentir pointer vers elle sans complexe. Comme mes mains descendaient le long de son dos, puis remontaient sous sa jupe à la recherche d’autres endroits plus intimes, elle agita son bassin, elle glissa une main plus bas et testa ma vigueur devenue insolente. Elle s'interrompit alors brusquement,
- je connais une petite auberge à deux pas d'ici ! ... Qu'en dites-vous ? ...
J'étais mur ... et elle aussi. Desormais, j'en voulais plus, elle en voulait plus. Nous primes congé du chauffeur au bas de l'hotel. A peine la porte de la chambre refermée, elle m'attira à elle violement en me fixant avec un sourire carnassier. Elle approcha son visage du mien. Je ne me fis pas prier. Le baiser fut long ... et profond. Elle s'agrippa à mon cou, tandis que mes mains exploraient son corps. Je l'embrassai fiévreusement. Son souffle s'accelerait. Je glissai ma main sous sa robe, elle glissa les siennes sous ma chemise, je m'immiscai sous la fine dentelle, sur la peau douce de ses seins. Elle deboutonna ma chemise tandis que sa robe tombait en corolle à ses pieds, puis sa fine combinaison, je degraphai febrilement son soutien-gorge, ses légers dessous tomberent à terre à leur tour. Mon torse reçut ses seins qui se déformerent contre ma peau. Elle défit ma ceinture et glissa une main dans mon pantalon. Le sexe devenait énorme. Elle le dégagea et le prit en main. Il était brûlant, je le sentais palpiter. Je saisissai ses deux seins qui durcirent sous mes doigts. Elle s'allongea à demi-nue sur le lit. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, violemment. Elle écarta les jambes, en me lançant un regard rempli d'impatience "venez vite !" .... (la suite ...)
Cinquante-cinq grammes de nylon séparés febrilement de cinquante-cinq kilos de chair tendre, Soutien gorge, paire de bas, fine combinaison, et petite culotte à dentelles, jetés, éparpillés sur le parquet, au bas du lit, nous etions desormais nus, febriles, l'un contre l'autre, enlaçés sur le lit, fous de désir, avides de nous assouvir l'un dans l'autre. J'ai pénètré son corps sans attendre, d'un coup. Elle m'aspira en elle avec gourmandise, ses chairs se distendaient. Je la tenais par les hanches et elle m’accompagnait. Elle mouillait de plus en plus sous mes coups, des gémissements contenus. Ses lèvres cherchaient les miennes et elle attrapa ma bouche. Elle me suppliait de la fouiller, la remplir. La sensation était puissante, suave, elle se propageait, s’éteignait, renaissait, nous étions emboités l'un dans l'autre. Je glissai en elle amplement, de plus en plus profondement, entrant et sortant de toute la longueur de mon sexe, nous approchant un peu plus du moment sublime. Ses jambes emprisonnaient mon corps et m'attiraient en elle chaque fois que je m'en éloignais. Nos deux corps comme des vagues allaient et venaient, éclaboussant les draps de sueurs, de désirs. Puis je m'enfonçai plus loin, plus profondement et plus fort. La tension alla s’amplifiant. Je me sentis gonfler et grandir dans son ventre. Elle frissonnait, elle tremblait , elle montait, irrémédiablement. En rythme, je l’agrippai, elle me suçait, me serrait, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de ses halètements. les allées et venues violentes de mon sexe dans le sien provoquerent une forte houle de sensations dans nos deux corps. Je continuai à coulisser en elle, furieusement, de plus en plus vite, mes mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux. Son plaisir s’annoncait, elle allait jouir d'un instant à l'autre, puis, tout son corps fut ébranlé, je sentis ses muscles se contracter autour de mon sexe, lui arrachant les tripes à chaque fois que je ressortais. C’était violent, le plaisir nous envahissait, balayant tout sur son passage. Tout son corps se mit à vibrer. Elle tremblait, se contractait, elle jouissait. Un gigantesque frisson se mit a l'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans sa nuque, je sentis ses muscles vaginaux se contracter sur mon sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond d'elle.
C'en était trop, je n'en pouvais plus. D’un coup de rein, je m'enfoncai au plus profond d'elle, en poussant un long râle, je m’immobilisai, je me crispai, je ahanai, les yeux rouges et exorbités. Elle enroula ses jambes autour de mes hanches, me rendant prisonnier de ses cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils..., tout mon corps se tendit, comme tétanisé. Je me raidis des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, mon corps entier bascula en avant, s'enfonçant tout au fond, gemissant très fort,je me suis figé avec un regard vitreux, et j'ai lâché mes premiers salves. J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et je giclai en elle avec toute la force et l'intensité de mon orgasme. La sensation était inimaginableable ! Je sentais mon jet liquide jaillir en elle ... une gerbe chaude qui se répandait et inondait son ventre, La seule chose qu'elle faisait était de cramponner mes fesses pour m'amener en elle le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, je sentais mon sperme chaud commencer à ressortir et couler entre ses fesses pendant que je continuai de me lâcher. Je ne pouvais pas croire que j'en avais tellement en moi.
Je retombai lourdement sur son corps, et restait affalé sur elle, amorphe... je l'avais remplie. Ses hanches ont recommencé à onduler contre moi sans qu'elle cherche à les contrôler. J'eu alors eu un dernier orgasme intense. Alors que les décharges faiblissaient, elle restait étendue là, comme dans un rêve éveillé, s'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de son corps. puis je m’immobilisai au fond de son ventre, pressé entre ses muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Je jouissai encore en elle. Elle jouissait aussi, une douce brûlure.