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jeudi 28 novembre 2024 - 10h12rech / rep
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(taille reelle)
pleine lune ()
C'était après une soirée arrosée. J'étais sur la terrasse de sa chambre d'hotel, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, et tout en s'appuyant légèrement contre moi, il a engagé la conversation:
- La lune est belle ce soir, vous ne trouvez pas ?
J'acquiesçais, et je perçus alors très nettement ses mains se poser sur mes hanches. Je soupirais en lui répondant, amusée
- Elle est bien seule là-haut, vous ne pensez pas ?
Il accentua alors la pression sur mon bassin, et caressa mes hanches de bas en haut, tout en me susurrant à l'oreille
- Elle mériterait d'etre davantage explorée, vous ne trouvez pas ?
Il se serrait encore un peu plus contre moi. Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, Devais-je si vite lui succomber ? Je n'avais pas prévu d'abdiquer si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou.
Je sentais sous le tissu de ma robe légère, la douceur de ses mains. Petit à petit, il me caressait le ventre sous ma robe. Ma peau etait chaude, un peu moite. J'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous le fin tissu, il atteignait désormais mes seins qu'il caressa et palpa avec beaucoup de douceur, érigeant mes pointes sensibles. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte. Il me fit ce commentaire:
- La lune a de jolis reliefs !
- Comme moi ? lui demandai-je, en entrant consciemment dans son jeu
- Oui ! Comme vous ! me repondit-il tout en continuant à me caresser un sein,
Je l'ai alors senti passer son autre main plus bas, entre mes jambes. Je faisais semblant de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées mais sa main se faisait de plus en plus pressante sur mon intimité. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
- Les explorateurs aiment explorer les terres inconnues, me souffla-t'il à l'oreille
- Ces terres inconnues sont dans l'attente fievreuse d'une expploration prodonde, lui repondis-je
J'entrais sans complexe entièrement dans son jeu. Je réalise en fait aujourd'hui que je le désirais violemment. Je le désirais de plus en plus fort. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais.
- Il y a encore tant de terres à découvrir, poursuivai-je, consciente de ce que j'étais en train de déclencher
J'étais en train d'abdiquer. J'étais en train de m'abandonner à lui. Ses mains effleuraient maintenant mes rondeurs laiteuses, descendant au niveau de mes hanches, puis remontant lentement pour venir se caler sous mes bras.
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Il caressait les pointes de mes seins, et me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer les reliefs indécents de son pantalon, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Très clairement, je me sentais prête à me donner à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais ses reliefs indécents et explicites, je les caressais et les jaugeai doucement, les jugeant tres prometteurs.
C'est alors qu'il m'entraina doucement vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, je pris une de ses mains, et le guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. Il devenait intrusif, presque animal et j'aimais ça ! il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque son envie de moi. Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je tournais la tete, pour le fusiller du regard sans autre preliminaire:

- Je n'ai rien sous ma robe ! Viens, dépêche-toi, je suis prête !
Je sentis ma jupe se relever, son pantalon s'affaisser, J'ecartai encore mes jambes, je m'offrais toute entière à lui, je sentis alors son sexe chaud et dur glisser contre ma vulve ouverte et déjà trempée, puis, je le sentis s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, Il s'enfonça en moi, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs. Mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses intimes, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi J'exprimai ma jouissance dans un râle long. Je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur son sexe encore dur. Puissamment, il glissait dans mon ventre, exprimant de longs râles.

Puis je l'ai senti s'enfoncer d'un coup en moi. D’un coup de rein, Il enfonça son sexe tout au fond de moi, me faisant percevoir le contact de ses bourses, prêtes à exploser. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra.

Il ne résista pas très longtemps. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Apres quelques va et viens tres rapides, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Et la fusée partit ! ... Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants, il gicla au fond de mon ventre, abondemment, par jets successifs. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêta, envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il s'immobilisa, s'affaissa sur moi. Je sentis son sexe ressortir dans un délicieux bruit de succion. Je me retournais vers lui et lui sussurrai:

- l'autre face a aussi besoin d'être explorée ! Ne me laisse-pas comme ça !
Il se rapprocha, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre. son sexe qui se dressait à nouveau reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Il me pris doucement. Avec délicatesse, il caressa mes seins qui durcirent à nouveau. Sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses. Mes jambes s'écarterent, mon corps se tendit. Et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, puis nous avons accélérions la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats.

Il restait là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après une longue nuit amoureuse Je ne connais pas son nom, je ne l'ai jamais revu