Mère célibataire, je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas très longtemps qu’il sortait avec ma fille. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seule avec lui. Nous avons passé deux bonnes heures à visser les équerres et à manier du niveau. Tout en travaillant, il me parlait de lui et de l’affection qu’il portait à ma fille. Curieusement, je le sentais sincère, mais il me regardait en même temps d'une manière qui me destabilisait. Bien que flattée par les regards de ce beau jeune homme de 25 ans, je ne me sentais pas très à l’aise… Nous avons bu un peu de vin pour nous récompenser de l’effort fourni. Je n’aurais pas dû ... Nous nous etions assis sur le canapé, un peu grisés. C'est alors que, tout en parlant, il a chassé une mèche rebelle de mon visage d’un geste tendre de la main. Pourquoi l'ai-je laissé faire ? Il s’est encore rapproché et a osé un baiser timide dans mon cou, je ne reagissai toujours pas, puis ses mains sont descendues jusqu’au creux de mes reins. Je devinai, inconsciente, que les evenements prenaient une tournure de plus en plus incontrolable. Mais je le laissai faire, de plus en plus excitée par cette aventure inopinée. Que s'est-il passé ensuite ?
Ensuite ... Nos sens se sont alors réveillés brutalement, nos langues se sont mélangées, nos peaux se sont frottées l’une à l’autre, ses mains se sont égarées sous mon pull pour s'emparer de mes seins. Les pointes ont durci sous ses doigts. Je me suis laissée aller à ces douces caresses, oubliant qu’il était mon gendre. Je ne contôlais plus rien ... il en profitait, et j'en profitai moi aussi. Lui comme moi étions instinctivement prêts desormais à precipiter les choses. Il me demanda où était ma chambre, je lui demandai si c'était serieux, tout en lui indiquant l'endroit. Sans me repondre, il me souleva et me prit dans ses bras jusqu’à ma chambre. Je trouvai ça à la fois déplacé mais tellement romantique et tellement excitant ! Il me déposa sur mon lit, et nous nous déshabillames avec febrilité. Sa bouche parcourait mon corps de la tête aux pieds, s’attardant sur mes seins et mes tresors intimes, de plus en plus humides. Il bandait à la limite de l'indecence, je n’attendais plus maintenant qu’une chose : qu'il ne s'arrête pas en chemin ... Il m'a allongée puis s'est étendu sur moi. Mon regard s'est figé sur son engin qu'il sortait de son pantalon et qu'il pointait vers moi, tout en me fixant d'un regard de feu c'est alors que, sans attendre plus longtemps, il se positionna sur moi et enfonça d'un coup sa virile fierté entre mes muqueuses trempées jusqu’à buter au plus profond de ma matrice. Arrivé à bon port, il leva ses yeux brillants de désir vers moi. Il ne bougeait plus, comme en attente de ma réaction, un peu comme s’il venait de faire une grosse bêtise. Pour le rassurer, je lui caressai le visage et je m'accrochai à son cou, lui laissant le soin de poursuivre la bêtise déjà bien engagée. Doucement, j'enveloppai son sexe qui s'enfoncait en moi, et me remplissait, il semblait aux anges, baignant dans mes humeurs intimes comme dans une bain mielleux. Tout doucement, mes chairs les plus tendres s'ouvraient et l'accueillaient dans mon intimité douce. Il goutait mes douces moiteurs, un glissement onctueux, une penetration lente. Je sentais sa queue danser en moi, je balançais mon bassin au rythme de ses allées et venues cherchant à le faire rentrer encore plus profondement. Il me regardait avec des yeux de plus en plus brillants. Avec application je le lustrai, l’aspirai, le tirai, le poussai en jouant de son corps. Je lui donnai du plaisir en me donnant du plaisir, nous en gémissions de bonheur tous les deux. Il effectuait d'amples va et viens, doucement, interminablement, en me fixant toujours avec des yeux humides et en surveillant mes réactions. Je l'encourageai sans reserve. Petit à petit, j'absorbai toute la longueur de son sexe, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Je sentai ses reliefs noueux contre mes parois intimes. La sensation était délicieuse, affolante. Il se penchait vers mes lèvres pour les embrasser sans interrompre ses puissants va et viens. Ces pénétrations massives et rapides finirent par me couper le souffle, je poussai un cri, restai un moment comme tétanisée. Je me retenai de toutes mes forces, et il essayait d'en faire autant. Il commença alors à se retirer de moi craignant l'explosion imminente, je l'en dissuadai... Sa frénésie redoubla. Il était en sueur, moi aussi je voulais jouir, vite. Je ressentais les contractions de mon vagin sur son gland qui me fouillait. Je le sentai venir. Je me mis alors à jouir sans retenue. Ce fut pour lui le signal: il s'enfonca en moi, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Le trait lui échappa ... et il se libèra completement, se laissant aller en moi, sans retenue, inondant mon ventre en abondance. Il gicla sa sève par spasmes riches et généreux. Je digerai son gland qui trempait dans nos secretions intimes. En de savantes contractions, je cherchai à extraire toute sa semence qui libérerait ses tensions, mes mains griffaient ses cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, il semblait complètement déboussolé et tombait dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions doucement à la réalité. Je venais d'être baisée par mon gendre .... et curieusement, je m'en trouvai bien, j'avais retrouvé toute ma jeunesse !