C'était le frere d'une copine. Il était manifestement en manque affectif. Je l'avais croisé dans la rue. Il m'avait abordée et m'avait demandé de venir chez lui. il était plutôt beau garçon. Il ne m'a pas parlé d'amour. Il m'a simplement dit : "J'ai envie de toi". Il m'a emmené dans sa chambre. Je me suis deshabillée devant ses yeux impatients, et dans son lit, je me suis offerte à lui. Je l'ai laissé glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude, je lui ai fait sentir mes douces caresses intimes, il était bien. Un moment de douceur et de plaisir controlé que j'appreciais moi aussi. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait puissemment, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une agreable douceur. Il fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède. Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter
Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent. Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait pourtant en réclamer davantage. Je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas. Je passais ma main dans ses cheveux, carressai son visage, je me mordillai les levres, et doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue. Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi, jouissant dans mon corps à lui faire perdre la tête. Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservai un moment dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
pendant que je me rhabillais Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude J'aurais voulu qu'il me retienne Pourtant il m'a laissée partir sans faire un geste