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dimanche 24 novembre 2024 - 16h27rech / rep
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(taille reelle)
Sa peau est douce et chaude ()
Il y a moins de danseurs, les lumières s'assombrissent. Sa peau est douce, son souffle chaud, mon cœur tangue, mon corps chavire ! Ses baisers dans mon cou me diffusent des frissons. Mes seins s'affermissent contre lui et deviennent sensibles. Ses mains s'attardent sur moi, sur mon corps, sur mes seins, Il me fait tressaillir. Nos corps se cherchent et se frottent. Sa jambe se glisse un peu plus entre les miennes. Nos jambes s'enlacent et s'enserrent. Son bras, entoure ma taille, nos corps se rapprochent. ma main est dans la sienne. Il me serre contre son ventre. Je sens plus bas contre moi se lever son désir qui me donne le vertige. Les lumières sont plus discrètes. Je sens sa joue sur la mienne, puis ses levres pour un baiser furtif. nos levres se rapprochent, se rencontrent. Le contact m'électrise. J'entrouvre la bouche, sa langue s'y introduit avec sensualité. Son relief explicite me fait tourner la tête. Je suis dans un état second. Je mouille. Il me glisse dans l'oreille:
- Ne restons pas ici ! Montons dans ma chambre !
Sa chambre est au bout du couloir. A peine la porte refermée, nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Je sens sa main sous ma robe, je glisse les miennes sous sa chemise. nous nous frottons, ma tête sur ses épaules, son cœur bat à coups sourds. Il ouvre mon chemisier. glisse sa main et dégrafe mon soutien-gorge, je déboutonne sa chemise, son torse reçoit mes seins. qui se déforment contre sa peau Il s'affole, ses mains s'activent en tous sens et de tous cotés. Je défais sa ceinture et glisse une main dans son pantalon. Le sexe est énorme. Je le dégage un peu et je le prends en main. Il est brûlant, je le sens palpiter. Il saisit mes deux seins. Il joue de mon corps. Il me suce, me mordille, mes seins durcissent, sa bouche me fait frémir. le tire vers moi. Il m'allonge sur le lit. J'écarte les cuisses. Je dirige son sexe au bon endroit, je m'offre toute grande.
- Je suis prête ! Venez !
Il s'enfonce dans mes chairs. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Son sexe palpite dans mon ventre, de plus en plus vite. Je suis secouée d'une série de spasmes. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. accélère ... et se fige dans un râle discret, il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. Il replonge en moi et gonfle en meme temps. il m'investit totalement. Je suis comblée.
- Vous êtes bien ? me souffle-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
- Vous voulez ? Maintenant ?
- Non ... encore un peu !
Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde, intensément. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son énorme sexe au fond de mes entrailles me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue de plus belle.
Puis il s'arrete net et crispe son regard. Je sens un flot de lave chaude me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Enfin Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.