Il m’ont tirée sur la paille, ils m’ont allongée sur le dos, ils se sont emparés des morceaux de mon corps qui les excitaient le plus, sans le moindre souci de ce qui pouvait me déplaire. J’étais le jouet de ces deux beaux mâles. Jérôme, accroupi sur mon ventre me bloquait de tout son poids, et Raphaël coinçait mes cuisses avec les siennes. Les deux complices me fouillaient, comme dans les films, et qui, sans aucun doute, les inspiraient.
Pas un brin de timidité. C’est par trois ou quatre qu’ils s'enfonçaient dans mes orifices. Je laissais les sensations m’envahir, fulgurances de plaisir Ils n’allaient tout de même pas revenir tous les jours ? Et s’ils rameutaient d’autres copains ? Là, ça pourrait vraiment être l’enfer.