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jeudi 28 novembre 2024 - 10h00rech / rep
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(taille reelle)
Lettre à l'amant d'un soir ()
Très Cher,

Je repense tous les soirs à ces instants magiques. Nous étions enlacés dans le grand canapé, vous souvenez-vous ?
Et pendant que vous m'embrassiez passionnément, je sentais votre vigueur d'homme se lever et durcir entre mes jambes. Vous aviez envie de moi, et j'avais envie de vous. Et pendant que vous me câliniez très sensuellement, je vous ai senti tout doucement venir en moi, délicieuse intrusion dans mes chairs intimes. Vous êtes resté un moment sans bouger avant d’entamer un doux et lent va et vient glissant tres agréablement sur mes muqueuses. Je vous sentais grossir et vous allonger encore a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. Vous faisiez de petits mouvements, avec toujours cette pénétration lente, et mes seins doucement palpés et caressés de vos mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie à ce moment là,
Vous, mon amant d'un soir, vous êtes mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles vous encouragaient. Vos mouvements se firent plus amples, plus profonds. Votre sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continuait ses va et vients réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Vpus enfonciez votre sexe sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui vous remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour vous faire perdre complètement le contrôle de vos actes. Vos mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de mon bel amant fougueux. J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi. Je m'agrippai a vos épaules, et passai mes jambes autour de vos hanches pour que vous vous enfonciez encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma douce lingerie, la caresse de ma chair tendre sur vos fesses vous électrisait.
Vous avez alors commencé à accélérer, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais votre sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir sans réserve. Mes jambes tremblaient, je répondais a chaque penetration en creusant les reins pour que vous puissiez aller le plus loin possible. Je n'en pouvais plus. Profitant de vos poussées fulgurantes, mes deux jambes autour de votre taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni, vous m'avez empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de votre proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je criai mon plaisir. C'était comme une vague qui m'emportait, j’étais au bord de l’explosion lorsque vous avez encore ralenti le rytme de vos intrusions allant de plus en plus loin en moi. J’ai senti votre sexe gonfler encore et puis ...
le plaisir est arrivé, fort, puissant, mon corps s’est mis à trembler. Vous vous êtes alors enfonçé bien au fond de moi, vous vous êtes arrêté de bouger ... puis, vous vous êtes liberé en moi. J'ai senti le jet puissant de mon fougueux amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de votre divine colonne de feu.
A bout de souffle, vous avez enfoui votre tête dans mon cou, m'assenant vos derniers coups de belier Je revenais lentement à la réalité et laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon beau mâle. Vos dernières caresses intimes me comblaient de bonheur. Je caressais doucement vos cheveux et votre nuque, vous qui m'aviez tant fait jouir, m'embrassant tendrement dans le cou pour une dernière étreinte.

Vous avez été total, amant, secret, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif.
Vous avez donné et pris sans retenue, usé et abusé de mon corps, de mes sens, de mes forces.
Je vous ai appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux.
Je vous ai offert ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Vous étiez infatigable de votre corps.
Vos premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages.
J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements,
mes cris rauques quand je vous sentais vous crisper et me saisir comme pour mieux me garder.

Nous fîmes l'amour longtemps. Vous étiez malhabile. Je vous fis passer pour un amant exemplaire,
Vous m'avez remercié de vos caresses appuyées, de vos enlacements enfiévrés, du plaisir que vous ressentiez.
Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique.
Vous n'y étiez pour rien. J'ai été là au bon moment, où vous aviez besoin de vous sentir mâle.