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dimanche 24 novembre 2024 - 16h46rech / rep
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- Regarde moi ! ... Nous allons nous faire plaisir tous les deux ! Tu veux bien ?
- Je te sens ! là, plus bas contre moi ! bien dur, bien gros ... et bien long !
- Et moi, je suis étroite et bien profonde ! ... tu vas aimer ! ... Tu viens ? ... Je te guide !
- Tu y es presque ! ... Oui, là ! ... ça y est, tu es chez moi ! Tu as senti ? Tu es rentré tout seul !
Elle me fixe de ses yeux legerement humides en aspirant mon sexe qui s'enfonce, et remplit son vagin. Elle s'empale sur moi, je me perds en elle. Elle m'enveloppe, comme si tout son corps m'enserrait, comme un doigt qui s'enfonce dans le beurre tendre !
- Tu sens mes douces caresses ? Nos va et viens sont délicieux, tu ne trouves pas ?
- Je te fais du bien ? dis moi ? A moi aussi tu me fais du bien, tu sais !
Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle se frotte, s'empale, se soulève, redescend, ondule. Mon sexe glisse, grossit, s'allonge dans ses chairs et remplit son vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompe, me lisse, aspire ma verge gorgée de sang, l'engloutit et la brûle. Elle se fait plaisir en glissant allègrement sur moi tout en surveillant mes réactions. Ces pénétrations affolent nos sens. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation est affolante. Ses beaux seins ballottent au contact de mon corps.
- Je vais te faire un aveu ... depuis longtemps, je pense moi aussi à ce moment !
- Tu sens ? Mes petites contractions ! Je suis si bien avec toi ! Quel bonheur !
- Je t'offre mon corps, et tu m'offres le tien ! Je suis une femme comblée
- Prends mes seins ! Donne moi ta bouche ! ... tes lèvres sont toutes chaudes !
Elle savoure ses propres sensations et les miennes, je voyage en elle, je m'enfonce en elle, profondément, goutant ses succions intimes. J'ai le corps en feu. Elle aussi ! Elle offre sa vulve à mon dard, Elle m'affole. Scene incroyable, là, sous ses dessous de soie que j'ai relevée sur ses hanches, mon sexe est bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de puissantes caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles.
- Continue ... Pas trop vite ! J'ai encore besoin de tes douces caresses !
- Oh mon dieu ! Je jouis ! ... Tu viens de me faire jouir ! Je veux que nous jouissions ensemble, tu veux ?
- Accelere doucement ! ... oui, comme ça !
- Tu sens comme le desir monte dans nos deux corps ? Tu es bientôt prêt ?
Nos tempes claquent, la chaleur monte en nous comme une sève brûlante. Elle râle de plus en plus. Elle me lèche les lèvres, le cou, puis m'embrasse fievreusement. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés. Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle s'abandonne, cède à la volupté, ne cherche plus à se contrôler. Elle s'offre à mon corps, à nos sens ! Je me retiens. Elle resserre ses jambes, ce qui ne fait que m'exciter davantage. Je sens mon sexe littéralement gobé, aspiré en elle, je la pénétre jusqu'à la garde.
- Et maintenant ... J'ai envie que tu viennes ! Accelere ! ... Plus vite !
Je vois dans ses yeux qu'elle est à deux doigts de jouir, ma verge dure comme du bois s'enfonce cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixe un moment de maniere crispée, se met à trembler avec un regard vitreux, puis elle jouit devant moi en serrant les dents. Elle se reprend et me fusille du regard,
- Je suis prête ! Maintenant ! ... Viens vite !
Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme. Je me sens aspiré, je ne peux me retenir longtemps, Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe, je me libère en elle, sans retenue, je gicle par spasmes riches et généreux, elle suce et aspire ma queue qui se vide. J'explose au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui coupe les jambes, elle est pantelante contre moi. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle digere mon gland qui trempe dans mon sperme. elle cherche à extraire toute ma semence qui libérera mes tensions, ses mains griffent mes cuisses, un voile bleu passe dans mes yeux, j'entends à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restons un moment inertes, tetanisés
Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.
- Oh ! Que c'était bon ! me souffle-t'elle dans les oreilles
- Tu es si tendre, si genereux et desirable ! ...Je suis remplie de toi ! .
- Ne t'inquiètes pas de mes larmes. Je pleure de joie.
- Je te conserve dans ma chair ! Reste bien au fond de moi.
- Restons l'un dans l'autre, enlaces, nos sexes emboités, délicieusement,
- Tu es devenu ce soir mon bel et merveilleux amant !