- Ca me fait plaisir de te revoir, Alex, içi dans mon lit !
- Oh ... je sens ! ... Je crois que tu es à point !
- Tu veux mettre ton bijou dans mon écrin ? Tu as envie ?
- Tu viens ? ... Viens, n'aies pas peur ! Je ne vais pas te manger !
- Tu sens ? Je suis toute ouverte ! ... pour toi !
- Je te guide ! ... Tu y es ... presque ...
- Oui ! ... Ca y est, Rentre, installe toi dans mon nid,
- c'est doux ! ... tu ne trouves pas ? ...
- Fais le moi bien gros ! bien long ! et bien dur !
- Maintenant, ferme les yeux ... et goûte mes caresses intimes !
- Je te veux bien au fond ! Plus profond ! Vas-y !
- commençe tes va et viens réguliers, méthodiques.
- je te donne du plaisir ! ... Et tu me donnes du plaisir ...
- Tu sens ? ... J'enrobe ta verge comme un coulis enrobe un fruit !
- Sens-tu cette molle et humide profondeur dans laquelle je t'aspire ?
- Sens-tu mes muscles intimes, mes légères contractions ?
- Tu sens comme le desir monte entre nous deux ?
- Caresse mes seins ! ... Ca fait du bien ? à moi aussi !
- Tu t'en occupes avec dextérité, tu titilles les pointes dures, c'est bien
- J'ai l'impression que tu connais mes points sensibles ! ...
- comme si nous étions des vieux amants !....
- Enfonce-toi plus franchement, Sois plus ample, plus profond,
- envahis moi ! Ressors un peu ... et rentre à nouveau !
- Tu entends ? ... ces delicieux bruits de succion ? Ca t'excite hein ?
- Je sens tes bourses se remplir ! ton sexe qui se tend
- Je sens ton regard affolé, tes râles de plaisir a l'approche du jouir,
- Je sens tes bourses pleines ! Et ta sève toute chaude et prête à gicler en moi.
- Nous allons jouir ensemble, tu veux bien ?
- Prends mes seins, palpe les ! ils t'excitent ? ... C'est bien !
- je passe mes jambes autour de tes hanches, tu permets ?
- c'est pour que tu ailles encore plus loin, encore plus fort.
- Et maintenant ... Accelère ! ... Oui ! ... Plus vite ! ...
- Tu es prêt ? ... Je suis prete ! ... Oui, maintenant ...
- Non, ne te retires pas ! Bloque toi au fond de mon ventre !
- Reste bien en moi, au fond de moi ... j'ai pris mes precautions !
- Et maintenant ! ... Lache toi ! .... Gicle en moi ta chaude sève !
- Décharge ! ... Oui, ... vas-y ! ... Oui ! Encore ! ...
- Tu me remplis de toi ! ... Continue ! ... Et donne moi ta bouche !
- C'est bien ! Un vrai Lion ! Comme je les aime ! ...
- Tu es plein de ressources dis moi ! ... Ca promet !
- Encore ! ... Oui ! ... Ton foutre me remplit et coule entre nos jambes.
- Je sens ta verge ramollir, baignée de nos sécrétions
- Tu m'en as mis des litres dis moi ? ... C'est bien !
- Tu te retires de moi, déjà ? c'était bon, tu ne trouves pas ?
- regarde tout ce que j'ai reçu de toi ! Tu m'as inondée, comblée !
- J'ai dans mon corps cette sensation de puissance
- Et ta semence qui coule et m'envahit, tu m'as remplie de toi !
- Donne moi tes lèvres ! Donne moi ta bouche !
- Fermons les yeux ... détends-toi ... et goûte mes caresses !
- Je sens ton sexe qui palpite encore dans mon corps repu
- C'eut été dommage de manquer ça, tu ne trouves pas ?
- Et bien je crois que tu m'as revelé toute ta vigueur
- Tu reviens me voir demain ?
- Je t'apprendrai encore des choses nouvelles !
- Serre moi contre toi ! ... Ton corps est tout chaud !
- Mais dis-moi, tu sembles bien équipé ! ...
- Tu sais que tu m'interesses !
- Allons là-bas, nous serons tranquilles !
- Je m'aère un peu, tu permets ?
- Non, je n'ai pas de soutien-gorge
- ma petite culotte ? elle te gêne ?
- Vas-y, doucement ... tire-la vers le bas
- Tu peux la prendre, je te la donne en souvenir !
- Et maintenant je n'ai plus rien sous ma robe !
- Je suis humide, et toute ouverte, Ca te dit ?
- Avec cette foule, personne ne va nous remarquer
- Je suis etroite et bien profonde ! Tu vas aimer !
- Vas-y ! rentre ! ... Et prend ton plaisir !
- c'est doux ! ... tu ne trouves pas ?
- Plus profond ! Vas-y ! Tu es très doux !
- Oui ! C'est bon ! Je te sens bien ! Tu sais faire !
- Laisse toi aller ... Baise-moi fort ! ...Encore ... Plus vite ! ....
- Maintenant ! ... Viens vite ! .... Libere toi, Décharge !
- OUIII ! .... Oh que c'est bon !
- Eh ben, Quelle reserve ! .. Tu m'as remplie !
- Ne restons pas là,
- tu me raccompagnes chez moi ?
- On ne vas pas terminer là une soirée si bien commençée
- Maintenant ! ... Viens vite ! .... Libere toi, Décharge !
- OUIII ! .... Oh que c'est bon !
- Eh ben, Quelle reserve ! .. Tu m'as remplie !
- Ton foutre me remplit et coule entre nos jambes.
- Ton sexe palpite encore dans mon corps repu
- Donne moi tes lèvres ! Donne moi ta bouche !
- Ferme les yeux ... et goûte mes caresses
- C'eut été dommage de manquer ça, tu ne trouves pas ?
- Je t'enmène chez moi ? ... pour finir la soirée ...
Mon patient allait beaucoup mieux. Mes douces attentions lui avaient redonné du tonus et une certaine vigueur. L'idée d'une aventure avec lui m'occupait désormais l'esprit. Ce soir là, n'en pouvant plus, et excitée à l'idée à l'idée de m'adonner avec lui aux délices d'une relation plus intime ... je suis venu discrètement dans sa chambre, sans faire de bruit, je déboutonnai ma chemise, mettais à l'air mes deux belles poitrines qu'il avait souvent célébré, puis, je suis monté sur son lit, me plaçant à califourchon sur son corps, je m'emparai du sexe gonflé de mon beau patient, j'en dirigeai le bout entre les grandes lèvres de ma vulve ruisselante et m'empalai doucement sur ce pieu béni du ciel. J'éprouvai une merveilleuse jubilation en sentant ce beau et vigoureux sexe dur glisser dans mes chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, mon jeune patient, étendu sous le corps sensuel de sa chaude infirmière, fasciné par mes seins opulents se balançant doucement devant ses yeux se laissa alors emporter par ses pulsions. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs de mon sexe trempé, j'éprouvai un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous ces agréables intrusions, je ne tardai pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Serrant mes jambes sur les cuisses agitées de mon patient, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
- Plus vite ! … bien au fond !…
De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de mon vigoureux patient, Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de son infirmière amante, il s'activa de plus belle dans mon ventre accueillant, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, je m'étais mis à haleter en m'arquant frénétiquement, m'offrant avec rage à chaque pénétration. Je sentais chez mon partenaire d'un soir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. J'avais compris que ce dernier atteignait le point de non retour, aussi l'enserrai-je encore plus fortement entre mes cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de mon vagin affamé. Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa sève ... à longs traits dans ma vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond de mon sexe dégoulinant. Je me laissai emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs du jeune homme. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous mon jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, je fits basculer le corps devenu trop lourd de mon patient à mes cotés, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit :
-- Ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis, m'exclamai-je en me penchant sur le jeune homme pour l'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? lui demandai-je maternellement. Tu as aimé ?
-- Oh Oui !
-- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
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J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendis plus rien. Le silence dura une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de déglutir. Je ne pouvais plus parler. Je sentis à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, puis de nouveau le contact d'une main. Frissonement. Je sentis une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapprochait. Sa chaleur m'envahissait. Mon corps se raidissait. Je sentais des gestes lents. Elle était désormais à mes côtés, avec son parfum discret, entêtant. Elle parcourait ma peau de ses levres humides. Je me cambrais sur le lit. Le désir enflait en moi. Je sentis sa poitrine au contact de ma peau. Je caressai ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisissais ses chairs à pleines mains. La sensation me comblait. Sa respiration s'accélera. je sentis mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. J'étais exténué, vidé, j'avais envie d'elle, je voulais la posséder. Je cherchais sa poitrine, la touchai avec douceur. Je sentis son corps s'embraser. Je me cabrais pour aller en elle. Nos sexes étaient au contact. Elle halèta de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fit de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en pouvais plus, j'essayais de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tint à distance, un court moment seulement.
Et puis vint le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescendit lentement, tout doucement. Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, je m'enfouissais dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Elle s'agitait de plus en plus. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient. Je sentais un corps voluptueux. Suivit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guidais de plus en plus vite sur mon mat, bercé par ses gémissements, qui montaient en intensité au rythme de son bassin, je commençai à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévasta simultanément et nous laissa pantois. Une vague nous inonda. Les corps se tendirent une derniere fois, puis retomberent. Nous retrouvions le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.