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jeudi 28 novembre 2024 - 09h56rech / rep
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(taille reelle)
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- Tu es content d'être avec moi ces quelques jours ?
- Ta mère m'as dit que tu avais encore beaucoup de choses à apprendre ...
- Et que si tu le voulais, je pourrai combler quelques lacunes ...
- Qu'en penses-tu ? ... Tu me regardes beaucoup ...
- J'ai l'impression que je ne te laisse pas vraiment indifferent, c'est vrai ?
- J'ai bien vu ton regard depuis un certain temps, ce n'est pas la premiere fois !
- Tu aimes bien me regarder ? Je te plais, dis moi ?
- A chaque fois que tu viens, ton regard ne me quitte pas !
- Toi, tu as besoin d'une bonne initiation !
Je n'ai pas compris tout de suite le sens de cette phrase, jusqu'à ce qu'elle se dirige vers la porte qu'elle ferma à clef, puis elle abaissa le rideau et revint vers moi. Elle vint se positionner face à moi dans cette chambre.
- Tu es d'accord pour que je t'apprenne certaines choses
- Tu regardes mes seins ? ... Ils te plaisent ? ... Tu veux les voir ?
Puis, sans dire un mot, et tout en me regardant fixement, elle commenca à déboutonner, un à un, les boutons de sa robe, livrant à mon regard une gorge affolante, la naissance de deux splendides poitrines, à peine comprimées par le doux tissu d'un combinaison ornées de dentelles fines. Les caresses du tissu sur sa peau laissaient saillir les pointes de ses seins, épousant au plus pres son corps de belle femme mure. Puis elle fit glisser subrepticement la bretelle droite de son soutien-gorge, dégagea l'épaule gauche. Ses seins s'affaisserent un peu, tout en gardant leur lourde rondeur. Mon sexe se leva d'un coup sous le fin tissu de mon pantalon, il durcissait et pointait maintenant de maniere indecente. Elle remonta ses mains sous ses lourdes poitrines qu'elle soupesa et malaxa lascivement sous mes yeux jouant avec les plis du tissu leger. une peau somptueuse, de longues jambes fines, moulées par le tissu luisant, j'étais interdit. Mes yeux buvaient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes.
- Tu veux les toucher ? Ne sois pas timide ...
Je commencai alors à la carresser, à palper ses beaux seins, souples sous la soie. La pression montait de nouveau d'un cran. Encouragé par l'absence de reactions negatives, ma main droite glissa plus bas, sur sa peau douce au dessus de genoux, je remontai alors doucement ma main sous la combinaison de soie blanche au contact d'une cuisse douce et chaude,
- Tu es en train de toucher des endroits plus intimes, tu le sais ?
Elle ne reagissait toujours pas mais son sein droit vint s'appuyer plus franchement sur mes lèvres. Je continuai ma progression entre ses deux cuisses qui se sont alors écartés comme si elle m'encouragait à poursuivre. Ma main remontait plus haut, se glissait maintenant entre ses deux cuisses la ou le peau est si douce et chaude, elle arrivait au contact d'une fine culotte de soie legerement humide, lorsque brutalement, elle serra ses cuisses autour de ma main et me fixa avec des yeux presque severes. Son visage se transformait. Elle tremblait legerement.
- Tu viens de me faire jouir ! tu t'en rends compte ?
Je sentais le doux tissu effleurer mon ventre. Je touchai cette lingerie fine et douce, pleine de de son odeur. Puis elle se leva, tout en me regardant fixement, elle m'aida à defaire discretement sa fine culotte de soie qui tomba à terre. Puis, tout en me fixant, elle me chevaucha sur le siege, releva sa jupe, extirpa mon sexe raide comme une barre et le presenta devant sa vulve humide et grande ouverte. Puis, elle se laissa glisser lentement, tout doucement sur mon mat congestionné,
- Et maintenant, prenons notre plaisir !
oh moment sublime ! Je m'enfoncai en elle avec un rare délice, elle m'aspirait dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça absorbant ma verge comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient.
- Tu es bien ? Ca te fait du bien ? ... A moi aussi, tu sais !
Puis son regard devint plus brillant, legerement vitreux au rythme de mes profondes penetrations, je m'enivrai de ses effluves. Elle m'encourageait, le spectacle de ses seins ballottant sous mes yeux me donnait encore plus de la vigueur, nos ventres se touchaient, se frottaient l'un contre l'autre. Empalée à fond, elle remuait pour bien me sentir en elle, tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, ses seins ballottaient de droite à gauche, elle gemissait, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait !
- Je t'en prie ! Viens, maintenant, viens viite !
Je n'y tins plus ... je me figeai, je me bloquai ... et je me lâchai au fond de son ventre. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je m'affaissai sur elle.
- Ca va mieux ? ... Tu as bien déchargé, tu t'es bien liberé en moi
- Tu m'as donné toute ta bonne crème ...
- Je sens que ca coule de partout ... tu en avais des litres dis moi i
- Tu as aimé ? ... Moi aussi tu sais ! ...
Lorsqu'elle s'est relevée, mettant mon sexe à nu, lentement, sortant ma verge ramollie de sa vulve trempée, je restais assis, affalé sur le fauteuil avec mon sexe gluant posé tristement à travers mon bas-ventre. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, sur ses cuisses, et descendait jusqu'à ses pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Elle me fit un baiser, puis se ravisa, elle se rhabilla et me signifia qu'il était temps de sortir
J'ai repensé toute la nuit à la tendre caresse de mes mains sur ses seins, ses rales éperdus au moment de l'orgasme, ma verge gonflée de sève qui enflait dans son ventre, lovée autour de sa vulve, son vagin qui me serrait convulsivement et me massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos