Elle est là devant moi, un beau corps de femme, sensuelle, ensorcelante, elle me fixe, elle me provoque ...
Elle est enveloppée d'une lumière tamisée qui semble la caresser. Son regard projette plus de désir que mes yeux ne peuvent en recevoir. Grâce ou perversion. Eclat impudique du désir. Et ce magnetisme qu'elle degage, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle me provoque avec un art consommé de petits gestes discrets, de petits regards, divinement sensuels. J'ai les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attirent comme un papillon la lumiere. Elle tourne son regard dans ma direction, me fixe, plus intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. Je suis sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Elle me trouble terriblement.
Je vois se mouvoir doucement sa poitrine lourde sous sa robe fluide. Ses soupirs se font plus sonores. Je suis comme ivre,
Mecaniquement, je me rapproche d’elle un peu plus, sans précipitation, ni brusquerie, j’entame la conversation avec des banalités. Elle m'écoute, réceptive, tour à tour grave et ironique. Nous discutons librement mais ses yeux brillent d'un eclat ravageur, elle ne quitte plus mon regard, je ne quitte plus le sien. Elle semble ignorer superbement mes plates considerations sur la soirée, Je lui fais part de mon admiration pour les belles femmes. Nos visages se rapprochent un peu plus, je la desire, et elle me desire, je le sens. Elle fixe maintenant mes lèvres, puis soudainement, Elle passe sa main sur ma nuque, ses doigts dans mes cheveux, attire mon visage vers le sien. et c'est elle qui m’embrasse avec sensualité, glissant aussitôt sa langue dans ma bouche. Notre baiser est long et humide. Apres un long moment qui me parait une eternité, elle s'ecarte enfin,
- tu as envie ! ... et je te plais ! ... C'est vrai ?
- Tu es inquiet ? ... tu es marié ? ... mais
- alors ... ne pensons plus à rien d'autre ! ....
- viens ! ... c'est par içi ! ...
Nous voici dans sa chambre. Lumiere tamisée. Pendant que nos bouches et nos langues dansent l'une avec l'autre, ses mains cherchent les boutons de ma chemise, tandis que je m’affaire sur la fermeture éclair de sa robe, devoilant ainsi une fine combinaison de soie blanche à dentelles que je m'empresse de caresser. Puis elle defait un à un mes boutons et une fois mon torse en partie dénudé, elle s’approche à nouveau de moi, plaquant ses mains sur mon torse. Elle est maintenant là contre moi, en partie dévêtue, elle me fixe, elle me provoque, un beau corps de femme. sensuelle, ensorcelante. Ses seins sont beaux et pointent vers moi, mon corps s'émeut. Elle s'en rend compte. Elle me regarde droit dans les yeux. Je la fixe moi aussi. Elle me devine, je la devine. Sourires, connivence, mes doigts la touchent, la palpent, au plus pressé, l'explorent, glissent sous sa robe, soulèvent et s'immiscent sous de fins dessous, elle agrippe mes épaules de ses mains douces, je l’embrasse, nos langues se rejoignent, mes mains glissent plus bas et l'agrippent par les fesses. Elle plonge ma main dans mon pantalon, me teste, me branle, je plonge la mienne sur ses lèvres, déjà ouvertes et humides. Elle me fixe d'un regard est vitreux. Je bande. Une couleur légèrement ambrée. Ses seins sont splendides, je les petris, j'apprecie leur souplesse. Elle reprends le branle. Mes doigts palpent sa vulve. Tendresse et sauvagerie mêlée. Je deguste ses rondeurs, ma main gauche sur son sein. l'autre sous l'élastique de sa fine culotte que j écarte et qui tombe, mon pantalon qu'elle ouvre dans la foulée. Elle enroule sa robe jusque sous ses bras. Elle m'offre son corps. Elle est humide et grande ouverte, Elle relève sa jambe, Ma fierté de mâle se déploie, se lève entre ses cuisses chaudes, bien dure et et bien droite.
Elle me guide et, sans attendre, je me sens aspiré en elle. Je glisse, je m'enfonce dans ses chairs humides et chaudes, je m'engloutis dans son doux nid. C'est un soyeux intense, le charnel infini. Je suis aux anges. Son paradis moite qui ouvre grand ses portes. Soupirs, râles, encouragements. Je vais et je viens, je glisse et coulisse entre ses tendres muqueuses, et encore et encore. Ses mains agrippent mes hanches. Je m'extrais puis m’enfonçe à nouveau, tantôt lentement, tantôt plus rapidement. Elle gémit, de plus en plus. Je râle, de plus en plus fort, je me donne, elle se donne, elle en veut plus. Elle me tire vers elle, je pétris son sein, doucement, puis plus fort. Je la baise ardemment, sauvagement.
Le sang monte, je m'engoufre en elle, au fin fond de son ventre chaud, profondeur abyssale. Elle jouit dans mes bras. Mon sexe gonfle, durcit et s'allonge encore en elle, je vais jouir, je me contracte, me fige, un cri rauque, je me tend .... puis me lache dans son ventre, une humeur abondante, bien blanche qui coule et déborde sur ses cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tends mes muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà. Elle regarde son corps une dernière fois. Elle remets sa robe, range ses affaires. Je range mon sexe. Elle me sourit et m'embrasse.
- C'était bon ! ... tu as aimé ? ... moi aussi ! ... Tu restes avec moi cette nuit ?