Henri de TOULOUSE-LAUTREC - jeune fille endormie ()
Je ne bougerais pas, délicate et sereine,
Un long temps, pour qu'il rêve et qu'il soit étonné
Et pour que, dès ce jour, à jamais il comprenne
Le geste de mon corps immobile et donné
Car, par ma voix où vit toute l'âme indicible,
Il saura que je l'aime et qu'il est mon amant.