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dimanche 14 décembre 2025 - 21h55rech / rep
amour poetique 1

amour poetique 1
(taille reelle)
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Je veux te donner, si tu le veux, ce tout petit peu de moi, l'extrait, L'intime,
Le sublime, l'élixir, l'essence, La quintessence, le zeste, Le divin, Le céleste,
Hume de mes lèvres humides le parfum qui s'offre à toi entre mes cuisses gourmandes.
De ma jolie petite faiblesse, à la courbe de mes fesses, je sais pour toi le goût de mon corps,

de la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins, De ma petite fleur intime,
de tous ses aromes, parfums secrets et interdits. et plus encore, si tel est ton désir
fais-moi rêver dans mon âme et jusqu'au au bas de mes reins.
Réveille chez moi des sentiments déments, réveille mes sens endormis et morts.

Tu glisses entre mes jambes une main chaude et froide. Tu dessines sur ma peau des oiseaux, des cascades,
Tu souffles des orages sur les méandres de mes veines, Tu fais porter ma voix plus loin que le ciel.
Tu serres nos corps jusqu'à la douleur. Ta voix me fait l'amour entre un cri et un soupir‚ Tu m'aimes. Je t'aime.

Tes doigts attisent mon feu Et me pénètrent lentement Libérant doucement De mon plaisir, le tendre aveu
Nos langues qui se caressent au-delà de tes doigts Ont envie de tendresse et laisse parler leur émoi
Sens-tu mes seins qui, sur toi, se frottent doucement ?
Sens-tu mes mains vagabondes qui caressent tes flancs ?


Tu as sur ton ventre un miracle de chair, dressé, gonflé, prêt à s’aboucher à mes flancs qui déjà s’inondent.
Ta vigueur m'impressionne, Ne dissimule rien ! J'aime sentir chez un homme le désir se lever.
Laisse mes mains caresser ton arbre divin, Regarde, il se dresse, il grandit,
il se gorge de ta sève chaude qui va bientôt pouvoir jaillir dans ma rose humide ! (Fleur de plume)

Tu es la vigueur du soleil Et ta sève embaume. Elle est un ruisseau de mai sous l\'aubépine,
Plus douce que la fleur du sureau.Tu te dresses et tu es la force de la forêt!
Tes reins blessent mes mains nouées, Tu es rude comme un chêne.
Je t'ai baisé comme un rouge-gorge dans ma main, J'aime la tiédeur de ton corps dans ma main.

Je me rassasie de ton odeur sauvage; Tu sens les bois et les marécages
Tu es beau comme un loup, Tu jaillis comme un hêtre Dont l'énergie gonfle l'écorce.
Le noeud de tes épaules est dur sous les mains; L'axe du monde est dans ta chair.
Mais je louerai ton cri sauvage, Mais je louerai ton corps qui embaume,

C\'est un bois sauvage aux rudes fleurs. Je louerai ta brutalité, Le sanglot rauque de ta chair;
Je louerai ta sève immense où l'univers est en puissance.
Je louerai tes poings et comment ils se déouent Tout à coup quand tu retombes
Au creux d\'une épaule, Plus doux qu'un petit enfant Et plus innocent qu'un ange. (Marie Dauguet)


Je suis comme cette feuille, de dentelles vêtue, révélant mes courbes à ton oeil éffleurant,
prête à me dénuder pour toi, lentement, jusqu'à nu. Donne moi tes lèvres. Enflamme ma bouche
Mon corps frémit déjà sous le satin, Eveil de sensations troublantes sur mes seins,
Sens le bruissement de ma douce lingerie qui glisse sur ma peau, depuis hier fievreuse

Déshabille-moi, oui mais pas tout de suite, pas trop vite Sache me convoiter, me désirer, me captiver
Dévore-moi des yeux, mais avec retenue, pour que je m'habitue, peu à peu...
Sache m'hypnotiser, m'envelopper, me capturer, avec délicatesse, en souplesse, et doigté
Choisis bien les mots, dirige bien tes gestes Ni trop lents, ni trop lestes, sur ma peau

Effeuille moi, doucement, tendrement. Patiemment écarte le pétale de mes émois,
Prends moi comme on cueille un fruit, Déguste-moi avec délice et gourmandise,
Effeuille mon corps dans un soupir, Caresse mes lèvres à ta guise.
Fais éclore mon buste, degage mes appats.

Conduis-moi a l'Olympe, à l'étreinte, là où coule le divin,
Partons dans les brumes, enrobées de satin de lune,
corps à corps vivant la passion,
Dévoile les courbes de ma chair, celle d'une blonde pour te plaire,

A tes pieds glissent les oripeaux qui calfeutraient ma pétulance,
Découvrant juste un peu de peau, un rien de soie et d’impatience.
De mes bretelles de dentelles, de mes épaules descendues,
En un frou frou de bagatelle, mes seins te sont là déjà dus.

Sous ma robe, qui glisse en un frôlement d'aile,
tu devines mon corps, les lys ardents des seins, l'or blème de l'aisselle,
mes flancs doux et fleuris, mes jambes d'Immortelle,
Le velouté du ventre et la rondeur des reins. (d'après Renée Vivien)

Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un silence.
Je suis là, tout près, tu sens mon parfum qui t'ennivre. Tu n'endends plus rien.
Le silence dure une éternité. le contact de ma main. Tu tressailles.
Ton corps se raidit. Tu sens mes gestes lents. ma peau qui glisse contre la tienne,

Rondeurs de satin, courbes, contre-courbes, vertiges, tendresse, offrande,
petites jupes affolantes, chemisiers échancrés, Et sur le cintre, ma robe de nuit.
Etoffe légère, délicate et de soie, tenue par de fines bretelles
A l'approche de mes pas, rayonnement de lumière, mon corps et mon parfum envahissent l'alcôve.


A tes mains mes courbes sont offertes.
A toi, la douceur de ma peau sous ta caresse experte
Fais-moi vibrer et trembler. Caresse de tes doigts ma peau lisse et douce.
Réveille chez moi des sentiments déments, réveille mes sens endormis et morts.

Regarde mes seins qui pointent vers toi. Regarde les, palpitants, arrogants,
Ils réclament tes lèvres, tes mains, Prends les. Palpe-les. Interpelle leurs rondeurs rebelles.
Sois enrobant, modèle, pétris mes pommes rondes,
Sens ! Ils réagissent et pointent à ton tactile appel.

De mes seins qui t'affolent, je veux qu'ils soient l'oasis de nos orgasmes
Je veux que mon soleil t'enflamme, qu'il te brûle, te vide de ton corps.
A ta bouche je t'offre ma peau douce, avant les secousses.
Sache mordre mes rondeurs, avant les chaleurs.

J'ai envie de te caresser dans les dunes, de te regarder sous la lune
J'ai envie de t'offrir ma bouche, de t'embrasser très fort
de sentir la chaleur de ton corps, de sentir tes bras m'enlacer
de te prendre par la main et de te faire l'amour avec entrain

J'ai envie de toi qui soudain m'étreint.
Je sens, contre moi, ton désir qui se dresse.
Prends moi ! Et glissons nous ensemble dans la joie de nos sens.
Je suis chaude comme un four. J'ai envie de toi mon amour !