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dimanche 14 décembre 2025 - 21h55rech / rep
-amour poetique 15

-amour poetique 15
(taille reelle)
mon bien aimé (17) ()
Une nuit avec toi ...
C'est un ciel qui s'illumine, des milliards d'étoiles C'est l'amour qui domine, c'est un oui dans un râle
Des caresses intimes que l'on dit immorales Nos corps qui s"animent aux allures animales
C'est le désir présent c'est le oui de nos corps La maitresse, l'amant c'est le silence qui dort

Les yeux réclamant à grands cris des "encore" Des caresses s'engageant en des doux accords
C'est les non, c'est les oui, c'est nos corps qui réclamment des ébats dans un lit,
nos désirs qui s'enfflamment, des jeux interdits à faire perdre nos âmes
Ce sont nos corps qui crient les plaisir que l'on damne

C'est un plaisir sans fin dans un désir assouvi
C'est le mien c'est le votre, c'est un cadeau de la vie
Que l'on veut quotidien, c'est les étoiles qui brillent
Quand le soleil revient dans nos yeux qui scintillent

Ce que j'aime par-dessus tout, c'est cet instant un peu fou quand tu viens tout contre moi, que la raison n'est plus loi ...
On se cherche on s'attire, sans rien se dire, c'est la force de nos corps à corps qui en redemandent plus encore
Le parfum enivrant, le décor La douceur, la saveur de ton corps Nos désirs, nos délires, exaltants, envoûtants
Ce sont ces moments tendresse, nos silences et puis le reste

Allongés, repus, vainqueurs, sur le lit de l'impudeur Sans dessus dessous
Et savourer par-dessus tout le goût de toi Ce tout dernier plaisir Et puis s'endormir
Ce que j'aime mon tendre amour, dans la richesse de nos jours
C'est la déraison, qui nous unit dans la passion (Jean-Michel Leleu)

Souviens-toi de nos nuits, de tendresse, de douceur, de nos serments, de nos désirs qui se réveillent,
des mots que tu soupires plus que tu ne les dis, de mon corps qui s'alanguit, offert,
de mon regard pour t'inviter à venir en moi, de mon ventre chaud, là où c'est si doux, si tendre,
de tes soupirs, de ta fougue qui se déclenche de mes mots doux, pour te demander d'attendre un peu.
de ton puissant jet de vie qui investit mon ventre, de la jouissance qui nous prend, tous les deux.
de mon sourire, moi femme fécondée, de la joie de se donner une promesse de vie

Mon corps s'est réveillé au goût de tes caresses Et le temps s'est figé au miel de nos baisers,
Le monde entier s'est tu à nos mots murmurés. A l'éclat de tes yeux, je me suis crue déesse.
Mais je sais qu'au-delà des murs de cette pièce La vie reprend ses droits t'emportant loin de moi
Et me livre à l'oubli, compagnon triste et froid. Je sombre amèrement au puits de ma détresse.
(Mangouste)

Les nuits sont trop brèves pour mon corps inassouvi Je t'attends encore et c'est déjà l'aurore
Et le matin s'empêtre dans les draps froissés Une fois encore je demeure vacante
Respirant sur ta lèvre ton souffle trop calme Toutes mes nuits sont de silence
Volontairement captive, je te donnerai ma chair et mon sang

Je serai l'amante impudique de tes nuits Tu seras le cri pourchassé sur mes lèvres
Dans la fièvre de tes étreintes Tu seras la main aux doigts d'acier Qui me force et me plie
Entre mes cuisses s'ouvre le dernier secret Que ta main hésitante lentement pénètre
Et nos corps répétés à l'infini dans les miroirs multiples Diront la sublime jonction

Tu es en moi comme un arbre vivant Tu t'enracines L'arbre de ton sexe fleurit en ma chair
Il épanouit en mes veines La lente germination de sa sève
Et ta sève coule en longs flots continus Ton visage extasié aux yeux clos
Me renvoie l'image de ma joie

Ce corps chaud encore sitôt le spasme retombé Homme, tu es ma force et ma misère
C'est par toi que je nais au monde C'est par toi que je m'enlise
Quand tu me donnes à la terre Et que tu te perds en mon ventre
(Nicole Gherhardt)

oh mon amour adoré, quand reviendras-tu ? je me languis de toi
Ta place à mes côtés dans le lit reste froide, mon corps à faim de ta présence
je sens ton odeur sur ton oreiller et nos draps de toi restent parfumés
mais en attendant ton retour, ton arôme me rend fou

encore deux jours mais c'est une éternité je me réserve pour toi, ma peau frissonne à ton seul souvenir
à celui de ta bouche parcourant mon corps tu me hantes comme une idée fixe
je me meurtris dans cette attente tout prêt à te recevoir à voir tes lèvres se poser ici et butiner plus bas
je meurs de me retrouver entre tes bras brûlants de tendresse de sentir tes mains généreuses de caresses

j'espère ce jour où de nouveau, tu plongeras goulûment ta bouche entre mes seins
pour redécouvrir leur langueur, leur indolence et leur mollesse
ce jour ou cette nuit où je pourrai suivre des doigts la courbe de tes hanches celle de tes fesses
et alors on se collera corps à corps peau contre peau pour que nos chairs exultent
reviens-moi vite je m'impatiente et ne pense qu'à toi je t'embrasse. Ton amour fiévreuse


Te souviens-tu des premiers pas de notre amour ? Il était tout de charme et de vague contour,
Et tes mains s'attardaient à leurs prises premières ; Nos yeux savaient déjà se prendre leurs lumières :
Les miens plus clairs vivaient dans les tiens plus foncés, Nos voix disaient bien plus que les mots prononcés,
Ton timbre frais et tendre encore me remue... Alors tu m'appelais... Tu m'attendais émue

Tandis que je volais, plus jeune qu'à vingt ans. Ivre de me sentir par toi vainqueur du temps,
Vers ta forme, ô ma Nymphe, en belle robe blanche...Alors... Tu m'accueillais comme une fleur se penche,
Et moi, sur ton sein tiède et doucement mouvant, Je respirais en toi mon poème vivant.
Tout nous était joyau, songe, sources, délices, Ton amour m'entr'ouvrait ses intimes calices

Où je buvais la soif éternelle de toi. Tu m'étais le trésor d'espérence et de foi
Nous sentions qu'à jamais nous étions l'un à l'autre, Qu'il n'était de bonheur au monde que le nôtre,
Qu'entre nous rien de vil ne surgirais jamais, Que rien n'était plus sûr entre nous désormais,
Plus sûr, plus clair, plus vrai, plus nécessaire et juste Ni plus doux que ce don d'une tendresse auguste

Et d'un secret très pur d'indivisible orgueil. Tout s'élevait de nous vers un superbe seuil
Si beau, que d'y songer, je pleure, et ma main tremble... L'acte, alors, de nous prendre et de "jouir ensemble"
N'était point le vain jeu de spasmes attendus, Mais l'offrande en commun de nos êtres fondus,
Nus, perdus, et trouvant une même agonie, Au mystère qui veut notre étrange harmonie...

Te souvient-il des temps bénis de notre amour ? Il y eut un jour... Et puis il vint un autre jour...
Ô Palpitante, ô tendre, Souffriras-tu d'entendre Ce que chante la cendre De notre premier jour ?
(Paul Valery)

Quand tu reviendras, je prendrai tes lèvres aussitot. Nous irons dans l'ombre et les coussins,
tu m'y feras tomber, longue comme une morte, et, passionnément, tu chercheras mes seins.
A travers mon bouquet de voile, ta bouche prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs,
et m'écoutant gémir du baiser qui les touche, tu me désireras, jusqu'aux pleurs !
De tes lèvres a mon sein, ta main fera vibrer mon corps intime et moite
et exaltera ma chair sensible pour toi. Toi mon amant ami, je t'en prie, reviens moi vite !