Je suis nue contre toi, dans nos draps en désordre, Tu aimes me regarder courir droit à ma perte
mon ventre, mes seins et mes cuisses en sueur La pointe de mes seins redressée fièrement.
Se jouent de la lumière et se frottent en cadence. Tu allumes un feu qui m'éblouit bien fort.
Tu enflammes nos corps, et nos sens, mes nerfs soudain s'affolent,
Tes veines gonflées palpitent dans mon ventre, Tu durcis ! ... tu t'allonges !
Tu bandes comme un Seigneur ! Je sens grandir en moi la raideur de ta queue
tu glisses entre mes muqueuses, tu ondules à plaisir Explore mes recoins.... Oh oui !
Continue ! Encore ! ... encore ! bien au fond ! Oh Oui ! Comme ça ! ... Oh C'est bon !
J'ai envie, là, tout de suite, de me faire posséder, de me faire envahir.
La danse de mes reins s'accélère, plus rythmée, mes yeux deviennent fous sous ton invasion franche,
Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément.
Je veux que tu m'enflammes, que tu m'essouffles, que tu me fasses jouir, que tu me finisses,
Bruits de succion, excitation, explosion. penetrations, contractions, accélération
Tu me sens trembler et je t'entends gémir. Nos corps sont agités par de violents frissons,
J'étouffe mes sanglots, j'avale mes cris, Et ce plaisir qui monte, nous touchons aux étoiles !
dans nos sexes en transe, l'orgasme et la jouissance montent en puissance !
Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, tendue comme un arc, tu remues en moi la terre et le feu
Mon ventre tel un poulpe, t'aspire et te digére. La frénésie s'empare de nos corps,
Je me crispe sur ton corps, je tremble de tous mes membres J'ai le corps frémissant, .
je me sens emportée par une serie de spasmes. Je n'en peux plus... toi non plus ...
Fouille moi, pille moi, incendie moi, dévaste moi, perfore moi, brutalement, sans concession
De ton corps, je veux tout ! Que tes lèvres me savourent, qu'elles me sucent, m'engloutissent.
Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.
Je te veux cru tout à moi. Plante toi profond, généreux en ma terre.
Laboure mes entrailles à faire germer ma peau Perçois ma chaleur, mon odeur. ma sueur !
je veux t’appartenir, sentir la saveur de tes doigts, te sentir palper les rondeurs de mes fesses,
admirer le vacillement de tes yeux, Fusion, fièvre et cataclysme !
Je jouis ! Oh oui ! que c'est bon ! Reprend ta course tendre au plus profond de moi
Je me redresse un peu pour agripper ton corps Et te laisser tanguer entre mes cuisses ouvertes.
Sens mon corps contre toi Sens mes seins qui s'étalent sur ton torse
Non...Pas encore... Pas trop vite ! ... Prend le temps... Profite de mon corps, je profite du tien !
Vas-y ! fais moi jouir ! fais moi jouir encore ... OUI !
La danse de tes reins accélère, plus rythmée, je serre l'autre des dents,
Nos souffles, nos gémissements, nos soupirs, Une plainte étouffée,
de légers tremblements et puis, un presque cri.
Nos corps sont agités par de violents frissons, Ton souffle devient brûlant,
Tu allumes un feu qui m'éblouit bien fort j'étouffe mes sanglots, tu avale mes cris,
nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes
nous mourons foudroyés au sein du firmament...
Et nous restons ainsi, confondus, emmêlés, collés, anéantis, du dernier de nos souffles
au plus petit frisson, accrochés l'un à l'autre jusqu'à l'apaisement.
Laisse moi, avec mes yeux, te déshabiller je sens la douceur indécente de tes mains.
Je goute la rigidité de ton désir
J'adore ton abandon lorsque tu jouis en moi
Tu m'as envahie de ton sperme chaud !
J’ai aimé t’emmener avec moi dans mon jardin secret (Louise Gabriel)
Tu m'abreuves de toi,
... Je suis remplie de toi !
Reste bien au fond. Restons l'un dans l'autre, enlaces, emboités, délicieusement !
Garde moi dans tes bras encore quelques instants, Ne bouge pas.
En posant ta poitrine sur la mienne que tu presses, J'emprisonne tes jambes en te serrant les fesses;
Nous gémissons ensemble d'une tendre détresse, Pris d'une passion commune pour ce qui nous oppresse.
Je ramène mes genoux aux côtés de tes hanches,