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dimanche 14 décembre 2025 - 21h56rech / rep
-amour poetique 05

-amour poetique 05
(taille reelle)
mon bien aimé (06) ()
Je veux que tu me donnes ce tout petit peu de toi qui vaut tant pour moi,
L'extrait, L'intime, Le sublime, l'élixir, l'essence,
La quintessence, le zeste, Le divin, Le céleste,
d'un désir intense, appuyé, infini,

Hume le désir qui monte entre mes cuisses gourmandes.
Ecoute bruire le plaisir qui s'annonce entre nous
Donne moi tes lèvres, enflamme ma bouche,
enserre mes reins de tes bras et de tes chaudes mains

De mes lèvres humides, à ma douce fleur intime,
de la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
De ma jolie petite faiblesse, à la courbe de mes fesses,
je sais pour toi le goût de mon corps,
de tous ses aromes, senteurs sucrées de longues nuits,
parfums secrets et interdits. et plus encore, si tel est ton désir

Caresse-moi de tes chaudes mains, donne-moi des frissons,
fais-moi rêver dans mon âme et jusqu'au au bas de mes reins.
Fais-moi vibrer et trembler. Caresse mon charnel corps.
Réveille chez moi des sentiments déments, réveille mes sens endormis et morts.

Tu glisses entre mes jambes une main chaude et froide.
Tu dessines sur ma peau des oiseaux, des cascades,
Tu souffles des orages sur les méandres de mes veines,
Tu fais porter ma voix plus loin que le ciel.
Tu serres nos corps jusqu'à la douleur.
Ta voix me fait l'amour entre un cri et un soupir‚ Tu m'aimes. Je t'aime.

Ta main posée sur mon ventre, semble hésiter,
puis... reprend ses caresse et se glisse sur ma peau
Ton corps qui me rechauffe, tes jambes qui m'enserrent
soupirs, flammes dans le regard. Sourire sur ton visage

Tes doigts attisent mon feu Et me pénètrent lentement
Libérant doucement De mon plaisir, le tendre aveu
Nos langues qui se caressent au-delà de tes doigts Ont envie de tendresse et laisse parler leur émoi
Une flamme dans ton regard Ma main hésitante Nos respirations s'accélèrent Nos corps se tendent
Mes mains se font caressantes effleurent... du bout des doigts parcourent ta peau ... doucement

J'aime l'odeur de tes mains quand tu me caresses, de liqueurs et de sucre mêlés ;
J'aime l'odeur odeur de ton corps quand tu t'approches, d'animal aux aguets et de végétaux mêlés ;
J'aime l'odeur odeur de nos draps quand je vais avec toi m'y glisser, de fraîcheur et propreté mêlés ;
J'aime l'odeur odeur de ton sexe quand tu vas me pénétrer, nos deux corps mêlés.

Tu as sur ton ventre un miracle de chair désirante.
Tendu, dressé, gonflé, prêt à s’aboucher à mes flancs qui déjà s’inondent.
Laisse - toi le temps de laper l’eau de mes aisselles
Respirer mon odeur de femelle entre mes cuisses

Ta vigueur m'impressionne, reste donc tranquille ! Ne dissimule rien !
J'aime sentir chez un homme le désir se lever.
Sens-tu mes seins qui, sur toi, se frottent doucement ?
Sens-tu mes mains vagabondes qui caressent tes flancs ?

Laisse mes mains caresser ton arbre divin, et flatter tes bourses pleines,
Sens mon doigt, sur l'extrémité qui se dessine,
Regarde, il se dresse, il grandit, il se gorge de ta sève chaude
qui va bientôt pouvoir jaillir dans ma rose humide !
(Fleur de plume)

Je parie qu'une hausse de ton ferme penis me fera le calice de ce mat qui se hisse.
Je gage que l'étroitesse de ma rose forteresse Causera les déices de ta tendre verge
Et que dans ma douce fosse, ta petite bosse Plongeant en mon mucus aura vite le tonus
de ce que l'homme pourchasse : La corne dure et grosse d'un fier rhinocéros !
(Arthémisia)

Je lêche ton vit de mes lèvres gourmandes, je caresse tes bourses lentement
Ma langue est douce comme l'eau, crue comme une bouchère, rouge comme un gigot
Ta pointe est un coucou criant, ton vit sanglote de ma salive
(Georges Bataille)

Je saisis à pleine main ton membre vainqueur, un met de choix s'offre à moi
me délectant de douceur et de chaleur toute de braise et d'émoi par mes vas et viens enjôleurs.
J\'attend ta jouissance te défiant du regard en sortant ton dard de ma bouche ...

Entre mes lèvres ouvertes tu as tendu ta tige, mais, c'est ma main qui s'est saisi de l'érection de ton vit
et qui, à ma bouche gourmande, l'a porté pour mieux en posséder la vigueur épicée
puis, de ta jouissance jaillie en fracas et pertes, honorer ainsi mes courbes offertes...


Je veux que tu me dises tout bas tes plus folles pensées, que tu me dévores avec de tendres baisers,
que mes lèvres t'enflamment, te savourent, te sucent, et nous engloutissent.
Que ma bouche déguste tes épices, crie le plaisir de nos corps, de nos salives qui se mélangent.
que tu m\'emmenes au paradis, que tu me donnes de la magie de la passion et du plaisir

Ecoute mon corps impatient qui frémit, ma chair qui s'ouvre et se ferme, mon coeur qui palpite,
Dévore-moi des yeux, avec retenue, pour que je m'habitue, peu à peu...
Sens le bruissement de ma douce lingerie qui glisse sur ma peau, depuis hier fievreuse
Mon corps frémit déjà sous le satin, Eveil de sensations troublantes sur mes seins,

Et ce désir qui monte en murmurant ton nom C'est un désir infini bien au delà des mots
Un désir insensé au-delà des raisons. Il envahit mon corps et brûle dans mes veines
Il coule entre mes cuisses en lentes traînées de feu Il me coupe le souffle et je respireà peine
Le désir est puissant et j'en ai presque mal. Je veux tes mains sur moi, ta peau contre ma peau,

Tu es la vigueur du soleil Et ta sève embaume. Elle est un ruisseau de mai sous l\'aubépine,
Plus douce que la fleur du sureau.Tu te dresses et tu es la force de la forêt!
Tes reins blessent mes mains nouées, Tu es rude comme un chêne.
Je t\'ai baisé comme un rouge-gorge dans ma main, J'aime la tiédeur de ton corps dans ma main.

Je me rassasie de ton odeur sauvage; Tu sens les bois et les marécages
Tu es beau comme un loup, Tu jaillis comme un hêtre Dont l'énergie gonfle l\'écorce.
Le noeud de tes épaules est dur sous les mains; L'axe du monde est dans ta chair.
Mais je louerai ton cri sauvage, Mais je louerai ton corps qui embaume,

C\'est un bois sauvage aux rudes fleurs. Je louerai ta brutalité, Le sanglot rauque de ta chair;
Je louerai ta sève immense où l'univers est en puissance.
Je louerai tes poings et comment ils se déouent Tout à coup quand tu retombes
Au creux d\'une épaule, Plus doux qu'un petit enfant Et plus innocent qu'un ange. (Marie Dauguet)

Je ne bougerai pas, délicate et sereine, pour que tu rêves et que tu sois étonné
Et pour que, dés ce jour, à jamais tu comprennes le geste de mon corps immobile et donné
Car, par ma voix où vit toute l\'âme indicible,
Tu sais que je t'aime et que je te veux comme amant.
(Jane Catulle-Mendès)


Caresse-moi de tes chaudes mains, donne-moi des frissons,
fais-moi rêver dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins.
Fais-moi vibrer et trembler. Caresse mon charnel corps.
Réveille chez moi des sentiments déments, réveille mes sens endormis et morts.

Tu glisses entre mes jambes une main chaude et froide. Tu dessines sur ma peau des oiseaux, des cascades,
Tu souffles des orages sur les méandres de mes veines, Tu fais porter ma voix plus loin que le ciel.
Tu serres nos corps jusqu’à la douleur. Ta voix me fait l’amour entre un cri et un soupir…
Tu m’aimes. Je t’aime.

Tes doigts attisent mon feu Et me pénètrent lentement Libérant doucement De mon plaisir, le tendre aveu
Nos langues qui se caressent au-delà de tes doigts Ont envie de tendresse et laisse parler leur émoi
Une flamme dans ton regard Ma main hésitante Nos respirations s'accélèrent Nos corps se tendent
Mes mains se font caressantes effleurent... du bout des doigts parcourent ta peau ... doucement

Ta main posée sur mon ventre, semble hésiter,
puis... reprend ses caresse et se glisse sur ma peau
Ton corps qui me rechauffe, tes jambes qui m'enserrent
soupirs, flammes dans le regard. Sourire sur ton visage


J'aime l’odeur de tes mains quand tu me caresses, de liqueurs et de sucre mêlés ;
J'aime l’odeur de ton corps quand tu t’approches, d’animal aux aguets et de végétaux mêlés ;
Je devine l’odeur de nos draps quand je vais avec toi m'y glisser, de fraîcheur et propreté mêlées ;
Je devine l’odeur de ton sexe quand tu vas me pénétrer, nos deux corps mêlés.

De mes seins qui t'affolent, je veux qu’ils soient l’oasis de nos orgasmes
Je veux que mon soleil t’enflamme, qu'il te brûle, te vide de ton corps.
Fais moi retrouver ce frisson ultime De tes mains sur ma peau
Retrouver le bouillonnant tumulte De mes sens éveillés.

Je veux que tu me donnes ce tout petit peu de toi qui vaut tant pour moi,
L'extrait, L'intime, Le sublime, l'élixir, l'essence,
La quintessence, le zeste, Le divin, Le céleste,
Ma langue se fait saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir intense, appuyé, infini,


Laisse mes mains caresser ton arbre divin, et flatter tes bourses pleines,
Sens mon doigt, sur l’extrémité qui se dessine,
Regarde, il se dresse, il grandit, il se gorge de ta sève chaude
qui va bientôt pouvoir jaillir dans ma rose humide !
(Fleur de plume)

Je parie qu’une hausse de ton ferme penis me fera le calice de ce mat qui se hisse.
Je gage que l’étroitesse de ma rose forteresse Causera les délices de ta tendre verge
Et que dans ma douce fosse, ta petite bosse Plongeant en mon mucus aura vite le tonus
de ce que l’homme pourchasse : La corne dure et grosse d’un fier rhinocéros !
(Arthémisia)

Je lèche ton vit de mes lèvres gourmandes, je caresse tes bourses lentement
Ma langue est douce comme l’eau, crue comme une bouchère, rouge comme un gigot
Ta pointe est un coucou criant, ton vit sanglote de ma salive
(Georges Bataille)

Je saisis à pleine main ton membre vainqueur, un met de choix s'offre à moi
me délectant de douceur et de chaleur toute de braise et d'émoi par mes vas et viens enjôleurs.
J'attend ta jouissance te défiant du regard en sortant ton dard de ma bouche ...

Entre mes lèvres ouvertes tu as tendu ta tige, mais, c'est ma main qui s'est saisi de l'érection de ton vit
et qui, à ma bouche gourmande, l'a porté pour mieux en posséder la vigueur épicée
puis, de ta jouissance jaillie en fracas et pertes, honorer ainsi mes courbes offertes...

Je veux te prendre, toi que je tiens haletant contre mes seins, les yeux de noirs de consentement ;
Je veux te posséder toi mon amant, Je veux te prendre jusqu'au coeur !...Je veux te prendre !...
Rouler ma nudité sur ta nudité, Te fixer, te dévorer les yeux jusqu'à l'âme,
Te vouloir ... Et n'être qu'une femme Sur le bord défendu de la félicité !... (Lucie Delarue)