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dimanche 14 décembre 2025 - 22h00rech / rep
-amour poetique 01

-amour poetique 01
(taille reelle)
mon bien aimé (01) ()
Toute de dentelles vêtue, révélant mes courbes à ton œil amoureux
Je suis prête à être effleurée de tes mains, lentement, jusqu’à nue.
Ma douce lingerie est prête à glisser consentante, t'offrant mon corps de femme,
paré de mes deux seins généreux qui attendent tes lèvres et tes mains,

J’aime le naturel, la soie et la dentelle, ou alors rien du tout, excitante et rebelle
J'aime la tendre caresse de tes mains sur ma douce lingerie, J’aime ce contact soyeux
J’aime ce doux tissu que tu fais glisser dans mes creux. J’aime savoir ton esprit excité.
Ai-je des dessous ou suis-je dénudée ? A toi d’imaginer, ce dont mon corps a envie

Mon corps frémit sous le satin, éveil de sensations troublantes sur mon sein,
Ecoute le bruissement de la soie qui glisse sur ma peau, depuis hier fievreuse
Je me sens déjà pleine du désir de toi. Je m’égare à nouveau je te connais à peine
Et pourtant déjà l’excitation coule dans mes veines

Sous ce voilage transparent, mon corps dévoilé te fait frissonner d'émoi, désirs éveillés
Bouffée de chaleur en toi, coeur en cavalcade lorsque tu vois mes cheveux ainsi, tomber en cascade.
Tu découvres par transparence, mes pointes en tension frôlés par ce doux tissu, captant ton attention
Tes yeux suivent le parcours de mes courbes tendres jusqu'à un si doux velours, où tu aimerais m'étendre.

A l'approche de tes pas, rayonnement de lumière, mon corps et mon parfum envahissent l'alcôve.
Etoffe légère, délicate et de soie les lueurs du soir, la font étinceler.
S'il te plait, fais tomber mon voilage, et dénude mon corps De ta bouche qui butine,
Musique douce aux oreilles, fais jouer tes accords et viens te perdre dans mes bras, déjà minuit sonne.

Ma robe ouverte glisse à tes pieds t'offrant mon corps de femme aux braises alanguies,
Parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, ocres rouges sanguines, trouble appel dans la nuit.
Ma langue se fait saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir si intense appuyé, infini,
Amenant à toi, ma chair nue, découverte, balayée par un vent brulant d’Arabie.

Ôte ma dentelle cette nuit est à toi , Conduis-moi a l’Olympe, A l’étreinte là où s écoule le divin,
Partons dans les brumes, Enrobée de satin de lune,
Dévoile les courbes de ma chair, Celle d’une brune pour te plaire,
Vite mène moi dans le firmament, Où la jouissance, berce les amants,

Corps à corps vivant la passion, Que s’imprègnent les parfums de pulsion,
Tu seras mon seigneur , et moi juste une fleur, Que cette nuit soit éternelle, enivrant le ciel,
Où je verserai des larmes prunelles, Mène moi à l’orgasme sous l'ardeur de nos baisers,
Le jour se découvre, voilà une belle journée

Viens écouter le chant de l’eau qui coule sur ma peau,
Viens goûter la rosée perlant sur mon bourgeon du printemps,
Viens embrasser mes lèvres mouillées d’élixir parfumé.
Viens, je t’attends. (Dentelle)