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dimanche 14 décembre 2025 - 21h56rech / rep
--ma bien aimee 14

--ma bien aimee 14
(taille reelle)
ma bien aimée (14) ()
Sois femelle primale ! Ta vulve ouverte m'appelle à m'introduire en toi...Tes jambes écartées, j'approche de l'entrée
J'avance mon sexe en toi, écarte bien tes lèvres ! Je te sens toute ouverte, prete pour m'accueillir.
Je Plonge, je converge, j'écris mon va-et-vient !Je renonce à la maîtrise !
Je me glisse dans ton ventre. Je m'enfonce Laisses moi te serrer avec mes jambes,
Le sang afflue dans ma verge, palpite contre tes berges, je t'investis pleinement : un lac dans un étang !
Enfin à fond en toi je largue les amarres et tiens ferme la barre qui dans ton ciel flamboie !
Cap sur tes mers profondes, mon sous-marin te sonde !
Je cherche la fusion ultime et trouve le cheminde chaque courbe intime
je vais et je viens, j'ondule et je coulisse roi de la glisse le long de tes lèvres
jusqu'à ton onctueux bijou d'orfèvre. Ô lieu de toutes les fièvres !
où je resterais des heures comme dans un rève
Ah ! vois ma grosse mine écumer ta cyprine ! Ah ! tes mains coquines s'emparent de ta poitrine !
Ah ! Ma verge est comme folle - souple tentacule - et dans ton large col j'enfourne mes testicules !
Ah ! c'est tout ton être que je pénètre ! De ta bouche rose s'échappent de longs soupirs,
tes pupilles sont closes sous le poids du plaisir. J'accélère la cadence : dans nos sexes en transe
l'orgasme et la jouissance montent en puissance ! Mes veines gonflées palpitent dans ton ventre,
s'y concentrent prêtes à exploser.
Dans une ultime secousse je décharge une chaude mousse, me déverse, m'écoule, bouillonne, te faisant jouir, rugir : lionne !
Orgasme à son paroxysme Fusion, fièvre et cataclysme !


Un souffle, un gémissement, un frisson, un soupir, Une plainte étouffée, de légers tremblements et puis, un presque cri
Je te sens trembler et tu m'entends gémir. Et ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise, et ces frémissements qui n'en finissent pas.
je viens enfin plonger de toute ma puissance dans ton corps qui bat comme un cœur affolé...
Je me soulève un peu pour mieux venir me perdre au plus profond de toi, dans une symphonie de plaintes et de soupirs
nous entamons une danse lascive ou effrénée Où commence ton corps, où se finit le mien? on ne peut le dire,
ne devenant qu'un seul au cœur de ce délire
Une ultime envolée, nous touchons aux étoiles, j'étouffe tes sanglots, tu avale mes cris, nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes
et, nos corps agités par de violents frissons, nous mourons foudroyés au sein du firmament... Et nous restons ainsi, confondus, emmêlés,
collés, anéantis, du dernier de nos souffles au plus petit frisson, accrochés l'un à l'autre jusqu'à l'apaisement. (Yourie)

De ton corps farineux où pompe l'huile acajou des rouages précieux de tes yeux à marées
de ton sexe à crocus de ton corps de ton sexe serpents nocturnes de fleuves et de cases
de ton sexe de sabre de général de l'horlogerie astronomique de ton sexe à venin
de ton corps de mil de miel de pilon de pileuse d'Attila
de l'an mil casqué des algues de l'amour et du crime (Aimé Césaire)

C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse,
C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises,
C'est, vers les ramures grises, Le choeur des petites voix.
O le frêle et frais murmure ! Cela gazouille et susurre,

Cela ressemble au cri doux Que l'herbe agitée expire...
Tu dirais, sous l'eau qui vire, Le roulis sourd des cailloux.
Cette âme qui se lamente En cette plainte dormante,
C'est la nôtre, n'est-ce pas ? La mienne, dis, et la tienne,
Dont s'exhale l'humble antienne Par ce tiède soir, tout bas ? (Paul Verlaine)




J'inonde ton corps du torrent tropical des caresses ruisselantes dont je veux te couvrir,
J'explorerai les ports de tes grâces nuptiales D'une langue ondulante et jusqu'à te râvir.
Je baiserai ta bouche, y trouvant ma saveur, Je saisirai la souche de mon désir fébrile
Pour écarter les lèvres pleines de saveur En y laissant la sève d'un plaisir érectile.
Pour que tes yeux se plissent, que ton regard se trouble,
Je te laisse incertaine de ta possession Qui te frôle et se glisse et presse ton bouton.
La mousse de ta fontaine se mélange à son double Lorsque d'un coup de reins tu captures les miens,
Quand l'émotion de fondre nous fige et nous retient.
En posant ma poitrine sur la tienne que je presse, J'emprisonne tes jambes en te serrant les fesses;
Nous gémissons ensemble d'une tendre détresse, Pris d'une passion commune pour ce qui nous oppresse.
Je ramène mes genoux aux côtés de tes hanches, Tes yeux deviennent fous sous cette invasion franche,
Je me redresse un peu pour caresser ton corps Et te laisser tanguer entre mes cuisses ouvertes.
Tu y allumes un feu qui m'éblouit bien fort Mais j'aime te regarder courir droit à ta perte,
La pointe de tes seins redressée fièrement.
La danse de tes reins accélère, plus rythmée, Je cueille une auréole, je serre l'autre des dents,
Tes nerfs soudain s'affolent, tu t'affaisses essouflée. (Nish )



Attention ... J'accélère ! ... Plus vite ! ... Ton corps a faim de moi, je le vois !
Je me lâche, je jouis en toi ! Je cède à la volupté, Je ne me retiens plus !
j'enflamme nos corps, et nos sens. Je t'offre moi ma liqueur douce amère,
qu‘elle jaillisse en toi et remplisse ton ventre.

Tu me sens ! Mon corps vibre et se tend ! Onction bénie ! ... Je continue ! Je t'inonde de moi !
Ma sève humide se repend dans ta chair en vagues chaudes et c'est bon !
Tu t'abreuves de moi, je continue ! Encore ! ... bien au fond ! ... Je te remplis de moi !

Je reste bien au fond de toi. Restons l'un dans l'autre, enlaces, emboités, délicieusement !
Je te garde dans mes bras encore quelques instants, Ne bouge pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
Entre nos jambes coule tout l'humide de notre feu. Mon sperme chaud coule doucement entre tes cuisses
Mon foutre t'inonde, tu en trembles de plaisir, c'est si bon, tu ne trouves pas ?

Regarde moi dans les yeux. Tu es ouverte comme jamais, et tu as encore faim de moi.
Je m'approche à nouveau, je m'enfonce doucement, je glisse bien au fond de toi.
Et maintenant, j'accélère, ... plus vite ... Bien au fond ! Et je fuse dans ton ventre
le plaisir d'aimer, de se faire aimer et d'en jouir. Tu sens ? c'est de nouveau le paradis.

C'est un moment fort où se reveille l'eau qui dort Un moment clair où je me confonds a ta chair
C'est le feu et la soie C'est le vent qui court sous la peau
Et c'est t'apprendre avec les doigts qui me rend tout chose
C'est comme un mal en moi qui m'effraie qui me tord
Sens m'encore et fais moi perdre pied Dans ces eaux troubles fais-moi plonger
Me garder en toi le souffle court figer la pose Les yeux noyés comme deux mutants sous hypnose
C'est comme un mal en toi qui te pèse et te mord Baise m'encore et fais-moi tournoyer
Dans ces eaux sombres fais-moi plonger C'est se taire et fuir s'offrir à temps
Partir avant de découvrir D'autres poisons dans d'autres villes
Et en finir de ces voyages immobiles. (Etienne Daho)

Tu es haletante Le corps arqué d’envie La peau nue et ardente Sans même un alibi
Mes pulsions délirantes Me soufflent des envies Qu’une raison défaillante Ne peut teindre d’oubli
Déjà mon âme nue Clairement te désire Alors même que la mue n'est pas commencée
La savante alchimie Qui fait se changer Le plus doux des amis En chasseur assoiffé
Une vague mécanique Dans mes reins échauffés Alimente le cric de mon organe dressé
Mes yeux illuminés De toute ta beauté Viennent alimenter Le processus engagé
Mes mains dans une secousse Viennent à la rescousse Presque sans demander Sur la pointe des pieds
J’effleure ton corps, ta peau, ta bouche, tes seins. Et l’envie lancinante Se fait douleur
La tension enivrante devient torpeur J’entre dans ton ventre Presque comme un voleur
Je tombe à l’eau En plein rouleau Surfant sur ta peau Harmonie des tempêtes !
Je ne sais plus te dire Combien de temps Nous restâmes errants Sur ces vagues de plaisir….
Tu explosas, puis moi. Tu retombas, puis moi Je mourus encore une fois

Je suis ta flèche, fichée dans ta chair, ton corps est frémissant, tendu comme un arc.
Je remue en toi la terre et le feu, la mer et le vent.
Ecoute nos corps qui respirent et vivent de plaisir, J'ondule, tu m'aspires, je râle, tu gémis.
nos draps se froissent, nos pensées s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.

Je m'enfonce en toi, te penetre, te comble, le plaisir monte en vagues, ton ventre est en feu.
Je me retire, laissant le vide. Tu te débats, je te reprends. complètement, passionnément.
Mon corps collé au tien, je te pénètre de nouveau, totalement. Me sentir en toi, grossir, durcir et m'allonger, investir ton ventre chaud.
Tes jambes écartées pour mieux me recevoir; tes jambes resserrées pour mieux me retenir
la jouissance qui monte en toi femme révélée Je t'investis, brutalement, sans concession, je te finis. Tu jouis.
Enflammée jusqu'au cœur. Je t'ai essoufflée, et nos yeux sont heureux. Je t'aime !

Aimons, foutons, ce sont plaisirs qu’il ne faut pas que l’on sépare ;
La jouissance et les désirs sont ce que l’âme a de plus rare.
D’un vit, d’un con et de deux cœurs, naît un accord plein de douceurs,
Que les dévots blâment sans cause. Amaryllis, pensez-y bien :
Aimer sans foutre est peu de chose, foutre sans aimer ce n’est rien. (Jean de La Fontaine)

Par l'aqueduc de sang, mon corps dans ton corps source de nuit
ma langue de soleil dans ta forêt, ton corps qui pétrit blé rouge, moi
Par l'aqueduc d'os, moi eau, moi nuit moi forêt qui avance,
moi langue, moi corps moi os de soleil
Par l'aqueduc de nuit, source de corps toi nuit du blé,
toi forêt dans le soleil toi eau qui attend, toi qui pétris les os
Par l'aqueduc de soleil, ma nuit dans ta nuit mon soleil dans ton soleil
toi qui pétris mon blé, ta forêt dans ma langue
Par l'aqueduc du corps l'eau dans la nuit ton corps dans mon corps
Source d'os. Source de soleils (Octavio Paz)


Que tu es superbe en ton désordre, Quand tu tombes, les seins nus,
Qu’on te voit, béante, te tordre Dans un baiser de rage, et mordre En criant des mots inconnus ! (Alfred de Musset)

Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer Au son de nos soupirs, et les murs de la chambre
Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés, reflétant la bougie et ses chauds rayons d'ambre
Puis sur ma langue coule, échappée du foyer Ardent qui nait en toi, cette vague qui roule
Jusqu'au fond de ma gorge, dont j'aime à festoyer Lorsqu'en petits sursauts ton corps sous moi s'écroule

Et tu m'aspires fort et je laisse jaillir Une chaude liqueur, le fruit de mon orgasme;
Sous tes baisers brûlants je me sens défaillir Sur ton corps agité de quelques derniers spasmes (Djoe L'indien)

Tu te renversas, râlant sous ma caresse ;
Ta poitrine oppressée et dure de tendresse haletait fortement avec de longs sanglots.
Ta joie était brûlante et tes yeux demi-clos ; Et nos bouches, et nos sens, nos soupirs se mêlèrent
Un cri d'amour monta, si terrible et si fort Que des oiseaux dans l'ombre effarés s'envolèrent
Ainsi que deux forçats rivés aux mêmes fers Un lien nous unissait, l'affinité des chairs. (Guy de Maupassant)

Ô Spasmes, mélange du diable avec l'Ange
Sous le même linge où battent nos coeurs
S'exalte un échange de vives liqueurs. (Paul Valery)



j'étouffe ses sanglots, elle avale mes cris, nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes
et, nos corps agités par de violents frissons, nous mourons foudroyés au sein du firmament...
Et nous restons ainsi, confondus, emmêlés, collés, anéantis, du dernier de nos souffles
au plus petit frisson, accrochés l'un à l'autre jusqu'à l'apaisement.

Comme une lame de fond amenant la vague ... Je sens petit à petit monter une rivière.
Au plus profond de ton corps, je t'inonde de moi comme la lave crachée d'un volcan déchaîné…
Les salves se succèdent irradiant nos sens. De nouveau, tu t'effondres
et laisse ton corps mollement glisser entre mes mains. Je murmure ton nom, tu murmures le mien…
nous nous aimons !