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dimanche 14 décembre 2025 - 21h56rech / rep
--ma bien aimee 13

--ma bien aimee 13
(taille reelle)
ma bien aimée (13) ()
Ton écrin si précieux si souple et vigoureux, tel un poulpe m’enserre, se détend, se resserre.
Mon sexe dans le tien, nous sommes à l’unisson de ce rythme sauvage qui nous cause ravage.
Tes doux cris de supplique pour mieux que je te lisse, mes tendres gémissements et ma verge qui se tend.
Je ne suis plus qu’un phalle qui violemment t’empale et boute dans ton trou, où tu me tords le cou.
Les vagues du désir s’en viennent me saisir, avivant durement comme poutre ma folle envie de foutre.
Et puis nous défaillons, ensemble nous jouissons du con et de la pine :
doux cocktail de sperme et de cyprine. (Jean-Claude)

Comme la vague irrésolue Je vais et je viens entre tes reins
Et je me retiens - Tu es la vague, moi l'île nue. Je te rejoins
L'amour physique est sans issue Je vais et je viens entre tes reins
Et je me retiens - Non ! maintenant ! Viens ! (Serge Gainsbourg)

C'est un lent mouvement parcourant le bassin Telle la houle ondoyant dans son doux va et viens
Et qui vous donne envie d'alors prendre la mer Et de jouer ainsi comme la fille de l'air.
C'est un pas chaloupant filant un nœud marin Qui s'en vient bien troublant réveiller les instincts
Et de la promenade, les voiles se balancent Et dans toute la rade, on mouille de plaisance. (Gérard Salert)

Brûler de caresses et de jeux, de corps à corps jusqu'à l'épuisement
Ouïr tes encore et tes gémissements, savourer le plaisir que nous nous donnons ;
Me laisser aller, à ta langue, si sensuelle de troublants aveux,
Et quand tu t'empales et tangues, si belle, trop bonne ! mon dieu !

Ah ! Dieu que tu es belle, si lisse, humide, offerte, fondante !
Tu m'excites quand, d'une queue tendue et bien ferme, en toi j'entre
C'est bon la vie, l'insouciance avec toi mon amour :
Profiter de nos résonances, même juste un petit jour ;

Prendre le temps de se dire la belle passion qu'on se porte
Et jusque dans nos soupirs, comment loin on se transporte ;
Et recommencer nos ébats purs bonheurs Jusqu'à ce que sonne l'heure
De nous séparer, envoûtés de savoir que l'on va se revoir... (Cyr)


Au rythme de mon corps, tu te plies sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive
Au plus profond de toi, mon sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux.
Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance.
Naître à nous-mêmes en même temps.

Ecoute nos corps qui respirent et vivent de plaisir, J'ondule, tu m'aspires, je râle, tu gémis.
nos draps se froissent, nos pensées s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Je glisse en toi, je pénètre ta chair, un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir.
Tu me serres, me dévores. Tu m’enroules, me défais, je plonge, me retire.

Tu avales mon corps. Je me penche vers toi, Je vais et je viens, des vagues de plaisir,
des montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine.
et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller.
Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.

Je vais, je viens, tu m'absorbes. Je n’en finis pas. Tu cries, tu râles, je brâme.
Je m'enfouis en toi, je descends, et descends. Je saisis ta bouche chaude, j'y introduis ma langue,

Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures.
Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Je m'enfonçe, tu me guide, de ta tendresse. De ton envie.
Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. Je caresse tes joues empourprées de lumière.
Tes oreilles bourdonnent. Ta tête s'embrase. Jusqu'à l'épuisement. Rien d'autre jusqu'au silence.
Le point jamais atteint. Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin.

Je m'enfonce en toi, te penetre, te comble, le plaisir monte en vagues, ton ventre est en feu.
Je me retire, laissant le vide. Tu te débats, je te reprends. complètement, passionnément.
Mon corps collé au tien, je te pénètre de nouveau, totalement. Me sentir en toi, grossir, durcir et m'allonger, investir ton ventre chaud.
Tes jambes écartées pour mieux me recevoir; tes jambes resserrées pour mieux me retenir


Ton corps comme un arc ploie sous mes assauts. Oh ma reine !
De tes seins lourds et chaleureux qui m'affolent, laisse moi en faire l’oasis de nos orgasmes
Laisse moi glisser en toi. Quittons un peu le monde Je veux te soumette à mes assauts
mes mains te rendent honneur, se plaquent sur tes chairs,

De ton corps je veux tout. Donne moi ce frisson ultime de tes mains sur ma peau
Retrouver le bouillonnant tumulte de mes sens éveillés. Laisse mes lèvres te savourer te sucer, t’engloutir.
Laisse ma bouche déguster les épices de nos salives qui se mélangent. Crions le plaisir de nos corps
Ton soleil m’enflamme, me brûle, je vide ma joie en toi, dans ton nid parfumé, je te mouille de mon nectar.
(Luciano - Bertino le Pascalois)


C'est un moment fort où se reveille l'eau qui dort Un moment clair où je me confonds a ta chair
C'est le feu et la soie C'est le vent qui court sous la peau Et c'est t'apprendre avec les doigts qui me rend tout chose
C'est comme un mal en moi qui m'effraie qui me tord Sens m'encore et fais moi perdre pied
Dans ces eaux troubles fais-moi plonger Me garder en toi le souffle court figer la pose (Etienne Daho)

Les yeux noyés comme deux mutants sous hypnose C'est comme un mal en toi qui te pèse et te mord
Baise m'encore et fais-moi tournoyer Dans ces eaux sombres fais-moi plonger
C'est se taire et fuir s'offrir à temps Partir avant de découvrir
D'autres poisons dans d'autres villes Et en finir de ces voyages immobiles. (Etienne Daho)


Quel âge peux-tu avoir, ma belle fée? Tes seins sont déjà lourds, et déjà durs contre moi,
tu te colles tu provoques, mon sexe devient dur, il danse avec le tien, il l'enlace il l'embrasse
il le presse et dans le noir, ta main s'y pose et tu serres, tu serres, je frémis, je bondis
de baisers en baisers tout le long de ton cou puis j'attrape ta bouche, tes lèvres sont humides

les odeurs de ton corps volent au-dessus des tables et tes jantes miroitent sur la piste glacée.
Sur mon cheval noir qui nous conduit au pas ta jupe est retroussée
et tes cuisses bronzées éclatent sous mes mains.
Le vent prend la musique qui tourne dans tes cheveux. (Pierre Vassiliu)

On arrive chez moi, tu m'écrases le bras tu entre dans la chambre
et tu te déshabilles, tu m'attrapes, tu m'agrippes et tu m'enfonces en toi
tu me veux tout entier, tu me manges, tu me bois, tu me veux,
et tu ris, et tu cris et tu jouis, tu jouis, tu jouis, (Pierre Vassiliu)

Nos deux corps se rapprochent, se touchent, se serrent. Nos vêtements se froissent, parfum de baisers.
Nos mains fourmillent, caressent, palpent. Chaleur. Suffocation. Ta fine robe du soir est relevée,
mon pantalon s'affaisse. Ma main te caresse, t'explore, précipices de saveurs.
Mon sexe se lève, cherche sa voie, s'immisce .... Pénétration.

Voici contre ma chair, ta chair brûlante et nue. J’oublie en tes doux bras qu’il fut des jours haïs,
Que tu m’abandonnas et que tu me trahis. Qu’importe si jadis le caprice des heures
Je ne me souviens plus de ce mauvais passé. Je ne me souviens plus que de ta face pâle
Lorsque tu fais le don suprême, dans un râle… Et voici, comme hier, ton corps entre mes bras.

Ordonne, je ferai tout ce que tu voudras. Comment ne point bannir toute ancienne querelle
Et ne point pardonner, en te voyant si belle? Comment ne pas t’étreindre et ne pas abolir
Le souci, l’amertume et le long souvenir, Et n’aimer point la nuit qui voit nos chairs liées,
Et mourantes d’amour et réconciliées ?…

Comme la feuille dans le vent je glisse sur ton corps Comme le plume d'un oiseau je caresse ta peau
Comme le chant des fleurs je fais battre ton coeur Comme la poussière d'étoile j'infuse en toi du bonheur
Je vais et je viens, un glissement onctueux, Des râles, bruits de succion, parfums d'orgasme.
Je crois que je viens ! Quelques aller-retour, râle assourdissant. Décharge. Oh ! Que c'est bon !

Quand, pris dans la douceur de ton intimité Je m’en vais et reviens au rythme de tes reins
De ton corps qui gémit aux arias de ma peau S’écoutent des sanglots de limbes de corolles
Qui font vibrer le vent, comme un frêle rideau Aux bruissements de l’air, se gonfle et puis s’envole.
En mille éclats de doigts, mes mains devenues toi Se sont mises à jouer un solo d’harmonie (Bertino le Pascalois)