arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
dimanche 14 décembre 2025 - 22h00rech / rep
--ma bien aimee 12

--ma bien aimee 12
(taille reelle)
ma bien aimée (12) ()
Viens avec moi au gré de mon humeur. Ferme les yeux, et suis-moi, ma princesse
Je t'emmène au pays du plaisir et du bonheur. Donne moi ta main. Aies confiance en la vie
Aujourd'hui, tu m'accompagne de nos envies. Ecoute le bruit de cette onde qui murmure
Sens le vent léger sur notre peau si pure. Allez, viens, tu aimeras, tu peux en être sûr.

Je tairai mes soucis, oublions nos tracas, Isolons notre amour en un lieu solitaire
En laissant ton corps au plus creux de mes bras J’abolirai le temps afin de mieux te plaire.
Restant lèvres en bouche inventons des baisers Varions les caresses avides de saveurs
Je me permettrai tout sans rien t'imposer Mêlant soyeuse sève et ardentes liqueurs (Carimo)

Laissons nous glisser tous les deux dans la joie de nos sens.
Mon désir se lève, tu le sens ... et je vois tes seins gonflés qui pointent vers moi
Approche tes lèvres des miennes, goute ma bouche chaude, introduis-y ta langue
mélangeons nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent

Respire, goûte la sueur qui perle sur ma peau, mon goût de mâle, mon odeur, ma chaleur.
ma bouche affamée qui cherche tes baisers, tes larmes salées que tu laisses s'écouler.
Laisse moi te prendre dans mes bras, te caresser sans cesse, Serrons nous l'un vers l'autre, pour offrir nos sens,
Allons dans notre chambre, et, sans tarder, allons nous aimer !

Je viens vers toi doucement, tendrement. Laisse moi venir en toi lentement, puissament.
Je veux m'enfoncer, jusqu'au fond de ton corps. Je veux que ma chair se melange à ta chair,
Je veux sentir ton souffle qui m'enveloppe et m'étreint, Je veux te donner mon jet de vie,
qu'il ensemence ta terre de ton ventre. Je veux que nous quittions le monde, fondus l'un dans l'autre.

Tu es comme cette feuille, toute de dentelles vêtue, révélant tes courbes à mon œil éffleurant,
prête à te dénuder pour moi, lentement, jusqu’à nu. Donne moi tes lèvres. Enflamme ma bouche
Je sens ton corps frémir sous le satin, éveillant des sensations troublantes sur tes seins,
Je sens le bruissement de ta douce lingerie qui glisse sur ta peau fievreuse

Je veux sentir en toi un désir animal, aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau
De tes lèvres douces, humides, à ta fleur intime, de la rondeur de tes seins, à la chute de tes reins,
De ta jolie petite faiblesse, à la courbe de tes fesses, j'ai le goût de ton corps,
de tous ses arômes, senteurs sucrées de longues nuits, parfums secrets et interdits. et plus encore

Je bande sans effort, verticalité sereine comme infinie...
Erection mystique dont tu t'empares
Pour la fixer dans le sel profond
de ton ventre nu. (Cyr)

Ton corps tout entier est prêt, je le sens, à se donner peu à peu, telle un offrande.
Telle une fleur au printemps, tu t'ouvres, tendre et humide, tu t'offres à moi, tu ouvres tes ailes pour moi !
Mes yeux brillent devant ton corps nu. Mon sexe vient à grandir aux portes que je viens d'ouvrir...
A mon désir ton corps m'est offert. Je veux le croquer maintenant !



Tes seins, mous et tendres, lourds et beaux, pendent sur moi comme des fruits murs et caressent mon torse
tu t'ouvres pour moi, tes yeux s'illuminent Tu me fais doucement entrer dans les onctuosités de ton ventre,
ton regard brille, ton visage s'éclaire Je vais et je viens avec joie et jouissance tu m'embrasses partout et me conduis au paradis
je ne sais plus où je suis nous sommes secoués d'un indicible frisson qui nous ébranle unis l'un à l'autre


Tu m'accueilles, et je viens ! Un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir.
Tu ondules, tu m'aspires, je râle, tu gémis. Tu me serres, me dévores. Je m’enfonce ... loin, très loin.
Tu m’enroules, me défais, je plonge, me retire, et reviens. Tu avales mon corps. J'aime tes caresses intimes
Le flux et le reflux, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine.
et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.
Je suis ta flèche, fichée dans ta chair, Tu as le corps frémissant, tendu comme un arc Je remue en toi la terre et le feu, la mer et le vent.
Au rythme de mon corps, tu te plie sans effort. J'ecoute ton corps qui respire et vit de plaisir,
ta chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent,
nos pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Regardes. Ecoutes. Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à nos peaux rougissantes.
Mon goût de mâle, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que tu laisses s'écouler.
Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de toi, mon sceptre devient roi,
se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux Se perdre dans l'espace immense Oiseaux légers au gré du vent.
Perdre doucement connaissance Naître à nous-mêmes en même temps.
Je m'enfonce en toi, te penetre, te comble, le plaisir monte en vagues, ton ventre est en feu.
Je me retire, laissant le vide. Tu te débats, tu me reprends. complètement, passionnément.
Ton corps collé au mien, je te pénètre de nouveau, totalement. Tu es prête ? Maintenant ! ... OUI !
Je t'ai investie, brutalement, sans concession, tu m'as finie. Je jouis.
Enflammée jusqu'au cœur. Je t'ai essoufflée, et tes yeux sont heureux. Je réchauffe ton corps de ma semence chaude,
Ne bougeons plus. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.


Ton corps s'offre peu à peu, telle une fleur au printemps. une eternité de douceur et de plaisir controlé.
Ton ventre est doux, chaud et etroit, Ton souffle est lent, je suis en toi et plus rien ne compte
Tu as les yeux fermés, offerte, la bouche entrouverte, une main enfouie dans tes cheveux,
je te caresse le visage, te mordille les levres, doucement le rythme s'accélère,
Tu es maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus ton regard,
sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant.
je sens le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore,
Ton corps est doux, ton frémissement est mien, ma beauté, ma princesse de feu...
tu me laisses explorer le brasier de ton ventre, ta chaleur infernale...
Tu t'ouvres comme l'orchidée. tu gemis, tu m'accueilles, tu m'aspires
Oh ma reine, mes mains te rendent honneur, se plaquent sur tes chairs.
Ton corps comme un arc ploie sous mes assauts. Tu cries ta jouissance.
Une étincelle. Le néant. Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse





Je viens en toi, je me glisse dans ta chair. Abandonnes-toi à moi, offre moi ton corps
Resserre un peu plus fort l'étreinte de tes bras, qui entourent et pressent mon coeur contre le tien
Je suis là, dans ton ventre ... Je prend le temps ... Je m'arrete ... Je reviens ! ... bien au fond
Sens mes tendres caresses intimes, mon sexe qui grossit dans ta chair.

Tu es douce ! Je me sens vivre au plus profond de toi ! J'investis ton ventre chaud !
Tu sens dans ton corps, mon sexe grandir, grossir et s'allonger, prêt à fuser, délicieuse intrusion
Non...Pas encore... Pas trop vite ! Je prend le temps ... Je profite de ton corps, tu profites du mien !
Je reprend ma course tendre au plus profond de toi, je veux encore vibrer dans ta chair, C'est si bon !



Collés l'un à l'autre, c'est une étreinte sans bruit. Je suçe dans ta bouche ta langue avec délice.
caresses imprécises qui égarent nos mains. mes doigts caressent ta peau si fine et délicate.
e m'abreuve du mouvement de tes cheveux. Je sens ta chair souple glisser contre la mienne.
J'entrevois la naissance d'un sein. c'est toi qui me guide vers ton intimité.

Je goute les prémices des sucs qui transpirent, j'ouvre patiemment une fente qui se gonfle de plaisir.
Je la sens frémir, goûter à ces caprices immobiles. tes seins contre ma poitrine.
le contact est chaud, tes pointes sont douces. Je m'avançe au creux de ton intimité, je m'enfonce en toi.
Je me laisse coulisser au creux de ta tanniere Je perçois ta liqueur douce, qui coule le long de tes chairs roses.

je te mouille encore plus, j'observe tes seins se tendre,
mon sexe fusionne au tien. Je te caresse au plus chaud de ton envie.
L'explosion vient de la succion du puit que tu m'ouvres.
Je me déverse en toi, longuement, diluant mon plaisir dans le tien, Te prendre et être pris. Échange total.



Nos vêtements se dérobent. l'émotion de la chair. Sous l'écume de chaque mot, l'océan de tendresse,
J'entre en toi en douceur comme on entre dans la vague. Mon corps dans ton corps. Tu te cambres vers moi.
cette plénitude que caresse ton souffle. Chaude comme un oiseau. Dans l'été indien, la chaleur de nos corps
Je suis en toi comme on est dans la vague. Nous nous frôlons l'un dans l'autre, nous glissons dans nos chairs.

Je suis ta flèche, fichée dans ta chair, ton corps est frémissant, tendu comme un arc.
Je remue en toi la terre et le feu, la mer et le vent.
Regarde. Ecoute, touche, respire, goûte, la sueur qui perle sur nos peaux rougissantes,
ton goût de femme, ton odeur, ta chaleur, ta bouche affamée qui cherche mes baisers. Les larmes salées que tu laisses s'écouler.
Au rythme de mon corps, tu te plies sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive
Au plus profond de toi, mon sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux.
Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance.
Naître à nous-mêmes en même temps.

Ecoute nos corps qui respirent et vivent de plaisir, J'ondule, tu m'aspires, je râle, tu gémis.
nos draps se froissent, nos pensées s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Je glisse en toi, je pénètre ta chair, un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir.
Tu me serres, me dévores. Tu m’enroules, me défais, je plonge, me retire.
Tu avales mon corps. Je me penche vers toi, Je vais et je viens, des vagues de plaisir,
des montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine.
et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller.
Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.
Je vais, je viens, tu m'absorbes. Je n’en finis pas. Tu cries, tu râles, je brâme.
Je m'enfouis en toi, je descends, et descends. Je saisis ta bouche chaude, j'y introduis ma langue,

Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures.
Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Je m'enfonçe, tu me guide, de ta tendresse. De ton envie.
Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. Je caresse tes joues empourprées de lumière.
Tes oreilles bourdonnent. Ta tête s'embrase. Jusqu'à l'épuisement. Rien d'autre jusqu'au silence.
Le point jamais atteint. Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin.

Je m'enfonce en toi, te penetre, te comble, le plaisir monte en vagues, ton ventre est en feu.
Je me retire, laissant le vide. Tu te débats, je te reprends. complètement, passionnément.
Mon corps collé au tien, je te pénètre de nouveau, totalement. Me sentir en toi, grossir, durcir et m'allonger, investir ton ventre chaud.
Tes jambes écartées pour mieux me recevoir; tes jambes resserrées pour mieux me retenir
la jouissance qui monte en toi femme révélée Je t'investis, brutalement, sans concession, je te finis. Tu jouis.
Enflammée jusqu'au cœur. Je t'ai essoufflée, et nos yeux sont heureux. Je t'aime !


Je repense à cette nuit, Je revis chaque moment de cette apothéose !
Tu te blottis contre moi, je te serre dans mes bras, Tu me réchauffes de ton corps
tu me caresses de tes seins lourds et beaux ils sont mous et tendres,
ils pendent comme des fruits murs j'effleure de mes lèvres tes mamelons pointus

ton regard brille, ton visage s'éclaire tu te cambres, tes yeux s'illuminent
tu me fais entrer dans la chaleur de ton nid. Tu montes et tu descend, tu glisses sur mon mat
tu vas tu viens avec joie et jouissance tu m'embrasses partout et me conduis au paradis
je ne sais plus où je suis

nous sommes secoués d'un indicible frisson qui nous ébranle
la vague se retire lentement nous laissant épuisés nous restons ainsi en silence sans bouger unis l'un à l'autre
pour nous redire dans les yeux je t'aime à la folie


Je suis en manque de toi, en manque de ton parfum, de ta bouche qui épouse mes rêves dans de délicieux va et viens
Retenir nos élans pour que la nuit n´en finisse pas, tout oublier sous mes doigts impatients, puis trouver ta voie sacrée
Je n´ai qu´un pays, celui de ton corps Je n´ai qu´un peché, ton triangle d´or Je découvre en toi Toutes les audaces
Lorsque tu dénoues tes jupons soyeux, je m´engloutis au fond de tes yeux Ta gorge étincelante, tes buissons secrets
Je ne pense plus qu´à me perdre au plus profond de toi, ta peau manque à ma peau. Je n´en peux plus
Je souscris à tous Ces plaisirs sublimes Et soudain tu trouves La caresse ultime qui arrache en moi un cri de victoire
Quand tu m´aimes (Herbert Leonard)

Quel âge peux-tu avoir, ma belle petite fée? Tes seins sont déjà lourds, et déjà durs contre moi,
tu te colles tu provoques, mon sexe devient dur, il danse avec le tien, il l'enlace il l'embrasse
il le presse et dans le noir, ta main s'y pose et tu serres, tu serres, je frémis, je bondis
de baisers en baisers tout le long de ton cou puis j'attrape ta bouche, tes lèvres sont humides
et tu t'agrippes à moi, et je te fais aller partout où je veux bien,
tandis que tout au bout de mes doigts, roule, s'étend, soupire le début de ton sein droit
qui se gonfle en sourire, rire, Tu ne portes pas de slip et mes mains se baladent
autour de tes poils chauds, tu tressailles, tu sursautes, et les yeux dans les yeux nous regardons au fond,
tout au fond de nous-mêmes, tu as compris ? Tu as compris je sais, puisque tu lis en moi tout ce que je te donne…
Incrustée et collée consciemment tu t'écroules et je trouve que c'est bien, et maintenant c'est toi qui dirige ma main, et tu pleures de joie,
Des couples nous regardent et sourient gentiment, je cherche comme un malade les clefs de l'appartement,
je finis mon cognac, nous traversons la salle, voilà que je vois double,
les odeurs de ton corps volent au-dessus des tables et tes jantes miroitent sur la piste glacée.
Sur mon cheval noir qui nous conduit au pas ta jupe est retroussée et tes cuisses bronzées éclatent sous mes mains.
Le vent prend la musique qui tourne dans tes cheveux. (Pierre Vassiliu)
On arrive chez moi, tu m'écrases le bras tu entre dans la chambre et tu te déshabilles, tu m'attrapes,
tu m'agrippes et tu m'enfonces en toi tu me veux tout entier,
tu me manges, tu me bois, tu me veux, et tu ris, et tu cris et tu jouis, tu jouis, tu jouis, (Pierre Vassiliu)